Athenes Rome Differences Citoyennete

l'ampleur des besoins : seule une équipe largement interdisciplinaire était capable, nous ne l'ignorions pas, de mener à bien une bibliographie sur la femme, qu'elle prenne en compte toute l'Antiquité classique ou se limite soit à la Grèce soit à Rome. C'est dire que nous sommes conscientes des lacunes de notre travail ; c'est aussi poser la question de sa justification. Notre étroite spécialisation (histoire, littérature et épigraphie grecques) 6 AVANT-PROPOS constituait un sérieux handicap

originaire de Chalcis. Cette ville se situe sur l’île d’Eubée. Sa vie est ponctuée de voyages. En effet, à 18 ans (-366), il fais un séjour à Athènes où il devient l’un des plus brillant élève de Platon. En -343, il revient en Macédoine pour devenir le précepteur d’Alexandre. Mais à la mort de ce dernier, en -323, une réaction anti-macédonienne se produit à Athènes obligeant Aristote à s’exilé à Chalcis où il meurt en -384. Quant à son œuvre, la Politique, c’est un recueil de 8 livres assemblé après la

(CECA) est créée, pour une période de 50ans, avec la signature du traité de Paris par six pays : la République Fédérale d’Allemagne (RFA), la Belgique, la France, l’Italie, le Luxembourg et les Pays-Bas. En 25 mars 1957, deux traités sont signés à Rome par les mêmes six pays européens ayant participé à la création de la CECA. Le premier traité institue la Communauté Economique Européenne (CEE), qui a pour but la mise en place d’un marché commun, et le second la Communauté Européenne de l’énergie

............... 9 Cadre théorique I. L’INVENTION DE LA CITOYENNETE DANS LE MONDE ANTIQUE................................ 11 1. 2. LA CITOYENNETÉ ATHÉNIENNE ................................................................................................................. 11 LA CITOYENNETÉ ROMAINE ....................................................................................................................... 13 II. LA CITOYENNETE A L’EPOQUE CONTEMPORAINE.................................

assez vain de proposer un modèle méditerranéen de la ville », nous dit Bethemont, et pourtant, dans de nombreux ouvrages, l’idée de « ville méditerranéenne » va de soi (cf en biblio : Mégapoles méditerranéennes ou le numéro 246 de l’Ecole française de Rome), sans autre explicitation La dimension mythique de cette identité urbaine commune : dans quelle mesure le mythe entretient-il l’idée du modèle de la ville méditerranéenne et quel est son contenu ? Peut-on opposer simplement le mythe d’une civilisation

royaumes barbares. -1492 fin du moyen-age: La découverte de l'Amérique par CC. La découverte de ce continent entraine des changements des mentalité, économiques et commerciales, l'Amérique devient la modernité. Début du 16e: Rupture avec l'église de Rome. Arrivée du protestantisme avec des professeur itinérants, Bologne, Cologne etc, ils parlent tous le latin et ont la même méthode universitaire. L'Europe entre en crise car son unité s'effondre. -Les temps modernes -Les temps contemporains depuis

particulière qui repose sur une idéologie très présent à l'époque classique. LA grande rivale de la cité d'Athènes qui elle s'oriente vers la démocratie alors que les Spartiates se méfient de la Démocratie, assimilé à la démagogie d'utilisation du peuple. Athènes est un modèle stérile sans envergures, passe leur temps à parler sans se battrent, servent à rien. Mirage Spartiate, fantasme autour de se modèle. S'explique par le secret qui l'entour, retrouvé chez Rousseau, séduit par leur éducation donné aux enfants

accompagné dans ses fonctions par un conseil (composé de proches du roi qui expriment leurs avis) et c’est à la base de ces avis que le roi va prendre ces décisions (= la Thémis). Le peuple va se réunir sur la place commune appelée « l’Agora » située à Rome (le Forum). Les membres de cette assemblée sont les artisans, paysans et soldats. Ce peuple ne joue pas un rôle important et ne s’exprime pas, il intervient que si le roi met en place une norme contraire au sentiment du droit du peuple. Il y a différentes

mènent une vie commune en vue du bonheur collectif. Chacune d’elle - la cité - concevra sa propre application de la marche à suivre pour obtenir ce bonheur collectif. À Athènes, la primauté était donné à la communauté, tout un chacun étant impliqué dans les décisions politique, que ce soit par le vote ou le tirage au sort ; à Rome, cette implication de tous échouera, après avoir connu un régime monarchique, la mise en place d’élections fera émerger une élite et creusera un fossé entre dirigeants

à l’écriture des deux grands poèmes fondateurs de l’hindouisme : le Mahabharatha (IVè s. ACN) et le Ramayana (IIIè s. ACN)5. À l’image de ce que nous trouvons en Égypte, l’Inde védique accorde donc une place sacrée à la parole. Toutefois, une différence majeure apparaît : certains extraits des œuvres ésotériques sont joués à des occasions laïques pour instruire le peuple et assurer une cohésion citoyenne, une forme d’identité indienne. Ce sont les premières occurrences où théâtre ésotériques et