Au-delà du principe de plaisir

ce qui est juste, et aussi ce qui doit être fait par chacun de nous au-delà de la justice, sur le terrain de la charité. La règle de droit, elle, a pour but à la fois d’obliger à respecter ce qui est juste, sans pouvoir dépasser la justice, et de nous donner la sécurité. Il est indispensable, pour que la vie en société soit possible, qu’il existe une règle, une règle de conduite. Si chacun de nous suivait son bon plaisir, chacun deviendrait un ennemi pour son voisin. Mais si la nécessité d’une

etc.). Inconscient Préconscient Conscient 3. La deuxième topique Dans un ouvrage consacré à la psychanalyse, DESPRATS-PEQUIGNOT nous rappelle que FREUD a cherché à rendre compte d’une économie psychique se trouvant orientée par un audelà du principe de plaisir. Ce qui s’exprime, c’est un retour à l’inanimé, c’est une pulsion de mort. [...] [...] Ainsi, on connaît l’aspect topique (système psychique), et à cela s’additionnent l’aspect dynamique (les conflits) et l’aspect descriptif (le contenu refoulé)

priori(antérieure à toute expérience). L'espace et le temps sont ainsi les formes a priori de la sensibilité, car ils sont les cadres antérieurs et nécessaires à toute perception. Il existe également douze catégories de l'entendement, principes ordonnant l'expérience (comme le principe de causalité). Il faut donc s'interroger sur le statut de la métaphysique : l'homme ne peut connaître que les phénomènes (les objets tels que nous les percevons) mais ne connaît ni les choses en soi, ni les noumènes (idées métaphysiques

l'inconscient, le préconscient et le conscient l'inconscient fait référence à ce qui dans la personne lui échappe : ses désirs ou pulsions qui sont d'origine physiologiques et cherchent leur satisfaction immédiate. Parce qu'ils sont ainsi régis par le principe de plaisir et ne souffre pas de contrainte, ces éléments, qui ne font l'objet d'aucun travail psychique conscient, sont séparés des autres éléments du psychisme par une censure très forte : on dit qu'ils sont refoulés. Le préconscient regroupe les éléments

loi et devant la loi) permettent une démocratie directe. Cf. Chapitre 1 : LES PRE-SOCRATIQUES : LES INITIATEURS (p. 9) Les physiologues d’Ionie Un principe est ce qui vient en 1er, c’est la 1ère proposition dont découlent des conséquences par déduction (qui doit être bien faite). C’est la base de la méthode philosophique (principe illimité : « apeiron », esprit formateur de toute chose ; pas forcément très claire  elle sera précisée ; c’est l’eau pour Thalès, l’air pour Anaximène, les

sur lequel il n’a aucun pouvoir (le corps, la réputation…). Pour Epictète la liberté et le bonheur se trouve dans la maîtrise de soi même et non dans l’appropriation qui lui est étranger. Texte : Epicure, Lettre à Ménécée. 1) Pour Epicure, le plaisir se trouve dans l’apathie, c'est-à-dire l’absence de douleur ou de souffrance physique et dans l’ataraxie c'est-à-dire l’absence de trouve ou de dérèglement de l’âme. 2) Pour Epicure, ne défend pas l’abstinence ou du renoncement total de la vie. Il

paraît frappée d’une ambiguïté : comme recherche théorique sur les principes fondamentaux de la pensée et de l’action, elle semble se détourner des sciences et des arts utilisables pour résoudre les problèmes techniques de la vie pratique (agencement des moyens en vue de réaliser des fins déterminées dans un contexte particulier), mais elle se présente aussi comme une recherche du souverain bien, de la sagesse pour tout homme, par delà ses soucis quotidiens et l’urgence de la satisfaction de ses désirs

fait un plaisir de la refuser. Sénèque a la réputation de quelqu’un d’ombrageux, de mélancolique et de riche compromis avec le pouvoir. Question : comment se fait-il que quelqu’un de malheureux, mais en même temps de très puissant, quelqu’un de sombre, ait fait un traité sur le bonheur ? Est-ce que le stoïcisme a quelque chose à nous apprendre sur le bonheur, étant donné que cela semble être l’apanage de l’école rivale : l’Epicurisme, défini comme un hédonisme, c'est-à-dire une quête du plaisir ? Ou

discerne seulement par des idées et par leur juxtaposition et leur comparaison. Donc, pour juger ces systèmes, il suffit de considérer s’il est possible, par la seule raison, de distinguer le bien moral du mal moral ou si ce ne sont pas certains autres principes qui concourent à produire cette distinction. Si la morale n’avait naturellement aucune influence sur les passions et les actions humaines, il serait vain de prendre tant de peine pour l’inculquer et rien ne serait plus stérile que cette multitude

sont pourvus de qualités naturelles, et aucun interdit ne leur est fixé pour que jamais ne leur vienne l’idée de le franchir. Le péché originel en ce lieu n’existe pas. le type de vie que l’on y mène : De plus la vie à Thélème s’organise sur le principe de la liberté, en conformité avec leur nature. Leur vie n’est pas ordonnée selon des lois ou des contraintes mais selon leur « bon vouloir et leur libre arbitre ».Le rythme de vie de chaque membre est respecté par tous. Ces gens sont dans une abbaye