Autodafé

est le motif de l'autodafé. Dans la première partie de la phrase, des éléments hétérogènes sont placés dans une relation de causalité : "un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale", c'est "de donner au peuple un bel autodafé". Dans la deuxième partie de la phrase, même relation de causalité absurde : "Le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu" devient "un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler". La manie optimiste d'appliquer

=> l'action s'immobilise 1. Situation initiale - Quand ? Après le tremblement de terre - Où ? Lisbonne - Qui ? "Les sages du pays", "l'université de Coïmbre" : les héros ne sont pas encore rentrés en scène : effet de surprise - Quoi ? Un autodafé 2. Péripéties (2ème paragraphe) - Il y a une certaine variété dans les rythmes et la manière de raconter. Pauses descriptives : imparfait : l.11-12 : / prison + l.14-16 : / costumes Par moments le rythme s'accélère. Exemple : l.12 : "huit

et déceptions qui peuvent contribuer à la rédaction de ce conte. (FIN DE LA PARTIE VALABLE POUR TOUS LES TEXTES). Dans cette œuvre, nous étudierons le chapitre 6, dans lequel se déroule un autodafé à Lisbonne, pour éviter qu'un nouveau tremblement de terre ne se produise. Comment peut se caractériser cet autodafé et quelle est la dénonciation ? Dans un premier temps, nous verrons qu'il s'agit d'un événement absurde et, dans un deuxième temps, quelle est la dénonciation. 1) Le point de vue _ mis

d'arrêter Pangloss et Candide et de faire un autodafé pour arrêter les tremblements de terre. L'arrestation parait absurde car ça prend un aspect trop général. A chaque chapitre il y a une critique de Voltaire. Problématique: Comment Voltaire réussi t'il a mener une critique de l'inquisition dans ce récit symbolique? I- Une lecture historique 1) évènement qui ont réellement eu lieu: Tremblement de terre à Lisbonne en 1755. L'inquisition qui a fait un autodafé le 20 juin 1756. Suivre et punir les

prévalaient à l’époque, ainsi que les injustices et les préjugés. Voltaire utilise un registre profondément ironique. Pour ce faire, il utilise des figures de styles que sont qui sont les figures de style comme l’antiphrase « un bel autodafé » ou bien l’hyperbole « un autodafé pour un simple délit » qui est une grande exagération et il utilise des amplifications comme des gradations, , qui ne sont pas sans rappeler le registre épique et parvient de ce fait à tourner en dérision les troupes. Ainsi, en

reproche à l’inquisition d’être sans rapport avec la foi. Pour réaliser cela, il présente une cérémonie religieuse qui met en jeu la vie des hommes comme un spectacle carnavalesque, vidé de tout contenu spirituel. L’expression « donner au peuple un bel autodafé » n’est pas sans rappeler la formule des empereurs romains «  munus dare populo » (donner au peuple des jeux du cirque)par laquelle ils essayaient d’apaiser la populace en le divertissant, et en la détournant des vrais problèmes. La parade n’a rien

heureux de se retrouver, et en quelque seconde ils se détestent et veulent se tuer. Enfin on pourrait parler aussi du pouvoir de l’Eglise au chapitre sixième pour empêcher les tremblements de terre on fit un autodafé, « […] que de donner au peuple un bel autodafé […] », un bel autodafé et une antiphrase, « […] que le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu en grande cérémonie […] », il y a une périphrase par rapport à l’autodafé. «  […] tous deux furent menés séparément dans des appartements

renvoie au règne de la raison et du savoir, ceci est organisé par des savants - présence du connecteur logique « en conséquence » ---> tout est logique - efficacité assurée, ton de la certitude : « moyen plus efficace » ; « secret infaillible » ---> autodafé est la solution parfaite au problème du tremblement de Terre - champ lexical religieux (spécialisé) : « san-benito », « mitres », « procession », « sermon », « faux-bourdon », « prêché », « absous », « béni » ---> l’évènement est organisé par la

Chapitre 6 de Candide ou l’optimisme : Vocabulaire : Autodafé : à la fois proclamation d’un jugement prononcé par l’Inquisition et don exécution (souvent par le feu) Inquisition : Institution ecclésiastique confiée par l’église au Dominicains en 1233 par le pape Grégoire IX pour en finir avec l’hérésie des albigeois. Leurs tribunaux religieux condamnaient pour un certain nombre de motifs : pratiques alimentaires interdites (musulmans, juifs), les liaisons sexuelles réprouvés et la non dénonciation

l'inquisition. Le chapitre raconte avec une tonalité ironique une cérémonie, un autodafé dont Candide et Pangloss sont les involontaires victimes. Nous comprenons vite les objectifs de Voltaire qui sont la lutte contre l'intolérance, la dénonciation de la superstition et la dénonciation de l'optimisme. Un autodafé est une cérémonie ou l'on brûlait les hérétiques. L'inquisition est un tribunal religieux où l'on proclamait les autodafés. On pourra analyser successivement la tonalité ironique: Tout ce qui