Avortement Utilitarisme

privée, etc. Et le droit français actuel regorge de principes hérités de la culture chrétienne : c’est particulièrement évident pour le régime matrimonial (monogamie) et pour le droit de la vie (bioéthique) : suicide, euthanasie, contraception, avortement, opérations médicales sur l’homme (usage d’embryons, clonage, mères porteuses). Le socialisme constitue une forme laïque de l’injonction chrétienne à secourir les pauvres et à pratiquer l’aumône. Enfin, la structure même du droit, dans sa logique

numérique. Ensuite, vient la doctrine de L’Utilitarisme de 1861, aujourd’hui cette théorie est représentée péjorativement, comme une doctrine cynique, et pas éthique, elle valoriserait le triomphe personnelle, mais c’est faux. Selon la doctrine utilitarisme, la première base du bonheur pour l’homme c’est d’assurer son bien-être, c’est pourquoi on parle aussi de Welfarism. Ce bien être passe d’abord par le confort matériel, et donc l’utilitarisme a souvent été réduit à une doctrine matérialisme.

regard de ce que l'on a dit plus haut 2 caractères essentiels, d'abord il est empreint de la pensée de Beccaria et il est marqué par l'utilitarisme et ensuite il se caractérise par sa sévérité (peines de bagne qui sont très lourdes en raison de cet utilitarisme qui l'inspire). L'idée qui sous-tend la sévérité des peines de ce code est celle selon laquelle le délinquant est un être doué de raison, et qu'avant d'effectuer l'infraction il fait un bilan coût-avantage entre le bénéfice potentiel à tirer de

utilisateurs. Il faut s'inquiéter davantage de ce pragmatisme fort répandu qui n'est pas étranger à la crise actuelle de l'éducation, et de la civilisation nord-américaine elle-même. Une éducation humaine sérieuse s'accommodera toujours mal d'un utilitarisme à court terme. Après le scandale d'une nature physique polluée et même destructurée par de tels comportements, on verra peut-être bientôt grandir ce reproche tragique du poète Milton : They try to buitt a living, but they dont know how to live

récompenses", "traité de législation civile et pénale". Bentham soutient que les actions des humains sont exclusivement guidées par l'intérêt. Bentham fonde le droit de punir de l'Etat sur un but exclusivement utilitaire. Bentham confère à son utilitarisme une expression quasi mathématique, en ce qu'il faut calculer la peine de telle façon que le délinquant potentiel ait intérêt à ne pas commettre l'infraction. Autrement dit, il faut que le profit qu'on peut retirer de l'acte soit inférieur à la

voie : il y a 5 travailleurs sur la voie et les freins ne fonctionnent pas. Mais, à la dernière minute : une voie de service sur laquelle on peut tourner où il y a un seul travailleur. → Que faire ? On peut tourner, et ainsi minimiser les pertes. Utilitarisme. Maximiser la somme du bonheur et du bien-être des individus, l’utilité agrégée (J. Stuart Mill). Une deuxième histoire. Mais, voici une autre histoire. Notre tramway roule toujours, mais cette fois on est un passant sur un pont au-dessus de

Pénale. Bentham, plus encore que Beccaria soutient que les actions humaines sont exclusivement guidées par l’intérêt. Il fonde le droit de punir l’Etat sur un but exclusivement utilitaire. Son apport peut être résumé en 3 idées : Il confère à son utilitarisme une expression quasi mathématique, il faut calculer la peine de telle façon que le délinquant éventuel ait intérêt à ne pas commettre l’infraction. Il soutient qu’il faut prendre en compte l’ensemble des circonstances et donc pour la même infraction

[argumentation par les conséquences | |négatives]
Il faut militer pour la peine de mort, parce qu’elle élimine la récidive. [argumentation par les conséquences positives] | |L’argument pragmatique peut être rejeté pour son utilitarisme ; en effet, il se soucie peu des principes, pour ne s’intéresser qu’aux | |conséquences pratiques, et peut être critiqué comme immoral. | |

meilleure cela dit, il ne prêche pas l’utilitarisme. (Définit par Jeremy Bentham; Selon lui le travail du juriste consiste à rechercher les lois les plus convenables au désir de sa clientèle, les mieux à même de maximiser les plaisirs des individus (Utilitarisme)). Pour Platon, le but n’est pas de satisfaire les appétits individuels (l’ordre, la sécurité) mais bien de chercher à obtenir la justice. Selon Platon, la justice s’exerce autant à l’intérieur d’un homme que d’une cité. C’est une question de

mais en approfondissant le côté « univers glacé, égoïste et matérialiste »103, il est un des précurseurs d’un genre dénonciateur d’un monde du gadget, de l’ersatz industriel (terme que reprendra plus tard MORRIS pour nommer le capitalisme) et d’un utilitarisme matérialiste qui commence à triompher au début du XIXème siècle. Il montre les travailleurs comme de vrais « animaux domestiques » ce que vont reprendre bientôt toutes les grandes anti-utopies. Il est également un des premiers à proposer un eugénisme