Balbec

année à Balbec", au cours de laquelle le héros fait, par l'intermédiaire d'un peintre, connaissance de jeunes filles et tombe amoureux de l'une d'elles, nommée d'abord Maria, puis, après rature, Albertine. Ce plan mentionne des scènes où elle intervient: "Jeu de furet. Espoir. Déception. Scène du lit. Déception définitive"; et dans une partie suivante, située "à Paris": "Visite d'Albertine où elle me chatouille [...] Visite d'Albertine [biffé]". Enfin semble suivre un nouvel épisode à Balbec où l'on

utiles, et infiniment plus touchantes par la manière ( qui était un mélange de la plus haute intelli­ gence, du plus grand cœur, et d'un rare bonheur d'expres­ sion), me furent adressées par le grand-duc héritier de Luxembourg. Je l'avais connu à Balbec où il était venu voir une de ses tantes, la princesse de Luxembourg, alors qu'il n'était encore que comte de Nassau. Il avait épousé quel­ ques mois après la ravissante fille d'une autre princesse de Luxembourg, excessivement riche parce qu'elle était

Forcheville. Quand elle part en croisière avec les Verdurin, Swann sent son amour mourir. VII- Troisième partie : Nom de pays : Le nom Marcel se souvient, parmi les chambres évoquées lors de ses nuits d’insomnies, celle du Grand-Hôtel de Balbec. Il rêve de Balbec et de ses vécus là-bas : la tempête, l’église … En 1897, ses parents lui promirent de l’emmener voyager en Italie. Les noms des villes normandes et Italiennes le font rêver… Malade, il doit cependant renoncer à tout projet de voyage, de

troisième manière du peintre qui s'appelle Elstir. Soit en transposant le trivial en solennel, soit en employant le procédé inverse, Proust est toujours sûr de nous faire rire. On se rappelera cette merveilleuse description du foyer du Grand Hôtel de Balbec où « un peuple florissant » de jeunes chasseurs se tenait, surtout à l'heure du goûter comme les jeunes Israélites dans Athalie. « Mais je ne crois pas, dit Marcel, qu'un seul être eût pu fournir même la vague réponse que Joas trouve pour Athalie

le soir ils ne dinaient pas à l hotel ou,les sources électriques faisnt sourdre à flots la lumière ds la grande salla àm manger,celle ci devenait comme une immense et merveilleux aquarium devant la aproi de verre duquel la populatiion ouvriere de Balbec,les pecheurs et aussi les familles de petits bourgeois,invisible ds l'ombre,s'ecrasaient un vitrage pour apercevoir,lentement balancée ds les remours d'or,la vie luxueuse de ces gens, aussi extraordinaire pour les pauvres que celle de poissons et

une famille bourgeoise parisienne vers la fin du XIXe siècle, veut devenir écrivain. Cependant la tentation mondaine le détourne longtemps de son objectif premier. Attiré par le mirage de l'aristocratie ou des lieux de villégiature à la mode (comme Balbec, ville de la côte normande), il grandit en même temps qu'il découvre le monde, l'amour, l'existence de l'homosexualité. La maladie et la guerre, qui le couperont du monde, lui feront prendre conscience de l'extrême vanité de la tentation mondaine

vie courante comme une scène de roman?» (III, page 33) - « cette robe de chambre qui sent si mauvais [...] et qui est sombre, duveteuse, tachetée, striée d’or comme une aile de papillon » (III, page 43) ; - celle d’Albertine : son « polo noir » de Balbec, coiffure de femme sans bords, puis les robes d’Elstir que Marcel lui acheta (II, page 1055), « les brimborions de la parure » lui causant « de grands plaisirs » (III, page 32) ; - celle des femmes en 1916 : « Comme par l’ensemencement d’une petite

voit des éléments de la peinture de Botticelli, de Mantegna, de Giotto, et il commet le péché ruskinien de l’idolâtrie. Chez Proust en 1904 cette idolâtrie est surtout sur Balzac( Charlus est un idolâtre de Balzac. Ex( Charlus dans le train pour Balbec, Charlus qui est le typique lecteur balzacien qui connaît toute la Comédie humaine pense ò la Préface de la Bible d’Amiens de Ruskin – ce qui prouve un point de contacte entre le personnage et Montesquiou, mais loin d’avouer que Charlus et Montesquiou

incomprises par son entourage. Il rencontrera alors les Swann, et il tombera amoureux de Gilberte, la fille d’Odette et Charles Swann, mais leur relation se désintégrera jusqu’au jour où il quittera la France pour aller à Balbec. Dans la seconde partie, le narrateur nous raconte sa vie à Balbec, où il a d’abord du mal à se faire des amis, et où sa seule compagnie reste pendant longtemps sa grand-mère. Mais après quelque temps, il rencontre plusieurs jeunes filles, dont Albertine et Andrée. Il tombe amoureux

uniquement, avec une moyenne de 45 couverts par jour. L'hôtel possède ses propres « bains de mer » (transats et parasols) et s'adressent uniquement à la clientèle séjournant dans l'établissement. Le restaurant « Le Balbec » Situé dans le la salle Marcel Proust, « Le Balbec » est un restaurant semi-gastronomique d'une capacité maximale de 130 couverts. La carte se compose de trois menus : 34€, 39€ et 49€. Des plateaux de fruits de mer sont servis les vendredi et samedi pour un tarif de 43€.