Bale 3 Maroc

convergence vers les critères du Comité de Bâle, la liquidité excessive du marché bancaire marocain est un véritable obstacle. Le potentiel de développement du secteur bancaire est encore important. Mais il faut offrir de nouveaux instruments financiers à la clientèle et convaincre celle ci de l'intérêt d'une réallocation de l'épargne. DÉPÔT BANCAIRE ET REVENUS PAR HABITANT, 2004 SECTEUR BANCAIRE MAROCAIN 14 Comparativement à son niveau de développement, le Maroc présente un rapport dépôt/habitant élevé

TECHNIQUE DU MASI SECTEUR DE L’IMMOBILIER CGI ALLIANCES SECTEUR DES BATIMENTS ET TRAVAUX PUBLICS LAFARGE HOLCIM SONASID SECTEUR DES TELECOMS MAROC TELECOM SECTEUR DES BANQUES BCP SECTEUR DES ASSURANCES WAFA ASSURANCES SECTEUR DU TOURISME RISMA SECTEUR DES MINES CMT SECTEUR AGROALIMENTAIRE COSUMAR LESIEUR HOLDING DELTA HOLDING TABLEAU DE SYNTHESE 27 25 22 20 18 16 14 12 8 3 3 4 5 GUIDE DES VALEURS 2009 I. FONDEMENTS DE NOTRE APPROCHE Le contexte particulier du marché boursier de Casablanca courant

inancements disponibles notamment le  recours au marché des capitaux.      Le recours au financement par le biais du marché de la dette privée profite du    tassement de l’activité des crédits  Tableau 1 – Evolution du Financement au  Maroc       A  partir  de  2008  et  dans  un  contexte  économique  relativement  difficile,  les  banques  deviennent  plus  regardantes  dans  l'octroi  des  prêts,  impactant  ainsi  la  configuration  du  marché  financier  marocain.  En  effet

Cycle Engagement de Crédit Encadré par : Mme. SIBARI Présenté par :EL ALAOUI Mohammed amine LOUKSSANI Khaoula MESSAOUDI Meryem Année universitaire : 2011/2012 Sommaire Introduction……………………………………………………..3 Partie I : Les risques du système bancaire 1) Prise de connaissance générale du secteur audité :……………………………4 a. Système bancaire b. Organisation générale c. Réglementation 2) Risques bancaires :…………………………………………………………….7

de la trésorerie 1-les versements sur place 2-les versements déplacés 3-vente de devises 4- les dotations autorisées 5- la mise à disposition ordinaire et express DAP III- Les décaissements de la trésorerie 1- Les retraits sur place 2- Les retraits déplacés 3- Le règlement de DAP 4- L’achat de devise Partie III : Les opérations bancaires du back office 1 - les virements 2- la remise des chèques à l’encaissement 3-la remise des chèques déplacés 4-la décision sur les chèques 5-l’émission

BANQUES ISLAMIQUES M Umer Chapra Tariqullah Khan Etude Spéciale No.3 © BANQUE ISLAMIQUE DE DEVELOPPEMENT INSTITUT ISAMIQUE DE RECHERCHES ET DE FORMATION 2 3 LISTE DES ABREVIATIONS OCAIFI CBCB CSF SDDG AIBI AICA CNCI NCI SCI BID CISF MMIIB AIIE FMI OICTV IIRF FCCF LOFSA OCDE OCI PPP NDDS : Organisation de Comptabilité et d’Audit pour les Institutions Financières Islamiques. : Comité de Bâle sur le Contrôle Bancaire. : Conseil des Services Financiers. : Système

DERAIN, 1906, Houston Museum of Fine Arts, Huile sur toile 129,5 cm x 195 cm Biographie Henri Matisse Henri Émile Benoît Matisse, peintre, dessinateur et sculpteur français, naît le 31 décembre 1869 au Cateau-Cambrésis. Il décède le 3 novembre 1954 à Nice. Sur les conseils de son père, Matisse s'oriente vers la profession de juriste qu'il abandonne en 1891 pour se consacrer entièrement à la peinture. Il étudie à l'Académie Julian de Paris, avec le peintre traditionaliste Adolphe

MAROC : STRATÉGIE DE CROISSANCE À L’HORIZON 2025 DANS UN ENVIRONNEMENT INTERNATIONAL EN MUTATION Pierre-Richard Agénor Karim El Aynaoui Maroc Stratégie de croissance à l’horizon 2025 dans un environnement international en mutation OCP POLICY CENTER Maroc Stratégie de croissance à l’horizon 2025 dans un environnement international en mutation Pierre-Richard Agénor Karim El Aynaoui À Propos d’OCP Policy Center OCP Policy Center est un think tank marocain « policy oriented », qui a pour mission

marocaine De 21 banques en 2000, le Maroc n’en compte plus que 17 en 2005. La concurrence apparaît dans le secteur en 1998 et les banques connaissent, depuis, un resserrement de leur marge d’intermédiation, qui nourrit une dynamisation de concentration. La rentabilité globale et la situation prudentielle des banques généralistes commerciales sont satisfaisantes, ce qui garantit leur capacité à s’adapter aux nouvelles normes imposées par les dispositifs de Bâle II qui entrera en vigueur dès 2007

une certaine frilosité d’accéder aux autres modes de financements disponibles notamment le  recours au marché des capitaux.     Siham Elouarzaz  elouarzaz@cdgcapital.ma    Mohamed Chbani  mohamed.chbani@cdgcapital.ma            Tableau 1 – Evolution du Financement au  Maroc       MMDH  Dettes privées  Crédits bancaires  2009  37,3   41,9  2010   71,8  53,4   Le recours au financement par le biais du marché de la dette privée profite du    tassement de l’activité des crédits  A  partir  de  2008  et  dans  un  contexte