Bâle II

le niveau de risque et la performance de la banque. Ce résultat indique qu'une hausse du niveau de risque de la banque conduit à une baisse de la performance et réciproquement. Ce résultat s'inscrit dans la filiation des préconisations du Comité de Bâle et souligne l'intérêt d'une réduction de la prise de risque en vue d'améliorer la performance de la banque. Chapitre 1 : les risques bancaires : définitions et Mesures Introduction Les risques bancaires sont nombreux et divers. Nous allons

1- Des fonds propres d'une meilleure qualité Un des objectifs de Bâle III est qu'en cas de perte des banques, ces dernières soient mieux protégées, en augmentant la qualité des fonds propres.  Les banques devront alors : Augmenter la part du Common equity dans le Tier 1, ce qui équivaut aux actions ordinaires, et aux réserves (ce qui revient à augmenter les reports à nouveau). Les Banques doivent déduire du Tier 1 les intérêts minoritaires, les participations dans les autres banques et les actifs

DISPONIBILITES REF Completed Y, N N/A objectif : s’assurer que les disponibilités sont bonafide Obtenir les rapprochements bancaires et les filer Obtenir les relevés de banques suséquents Obtenir les journaux de banques subséquents Indiquer la fonction des comptes de banques 1. Etats de rapprochement bancaires X indexer les soldes banque mentionnés sur l’état de rapprochement avec le lead A/AA et le relevé bancaire au 31/12 Footer au centime l’état de rapprochement Analyser les

fin des années 1980, après les sauvetages des caisses d’épargne, les régulateurs américains et mondiaux se sont inquiétés de la détention d’actifs risqués ainsi que du développement des activités hors bilan. Une concertation au sein du comité de Bâle aboutit à un accord en 1988 qui recommande un nouveau type d’exigence en capital. Ce ratio tient compte du risque des actifs. En 1989, des directives de la commission européenne ont défini un ratio de solvabilité européen très proche du ratio Cooke

LA REFORME DE BÂLE III RÉSUMÉ La crise financière qui a fortement impacté l’économie mondiale ces dernières années a mis en évidence les faiblesses du cadre réglementaire applicable et la nécessité de mettre en place un nouveau système de régulation financière avec une réforme de la réglementation tant microprudentielle que macroprudentielle. Une réforme du cadre prudentiel est voulue intégrale par le Comité de Bâle afin de l’adapter à un environnement bancaire devenu incertain

internationales sont définies par le Comité de Bâle. L'objectif est de préciser le niveau de fonds propres minimum que doit respecter chaque banque, en fonction des risques qu’elle encourt, pour éviter le risque systémique, c'est à dire l'effet "château de cartes" : la défaillance d'un seul élément entraînant très rapidement l'effondrement de l'ensemble. En renforçant chaque maillon, par l'obligation de respecter un ratio de solvabilité contraignant, le Comité de Bâle entend assurer la solidité de l'ensemble

comme plus spécifiquement des professionnels de l’intermédiation financière. En effet, tant l’acclimatation des normes comptables internationales (IAS ou IFRS) en Europe dès 2005, que le raffinement progressif des documents consultatifs du Comité de Bâle, deuxième du nom, au sujet de la réforme du ratio de solvabilité bancaire, participent de l’accompagnement de la mondialisation des transactions financières. Force est aujourd’hui de reconnaître que la Tour de Babel comptable, où chacun des organes

Le Règlement 97-02   Inspiré des démarches internationale (Comité de Bâle) et européenne (Institut Monétaire Européen), le Règlement 97-02 du Comité de Réglementation Bancaire et Financière (CRBF) du 21 février 1997, applicable depuis le 1er octobre 1997, a marqué une étape nouvelle dans la définition et la mise en œuvre du contrôle interne dans les banques françaises.   1. Le champs du contrôle interne selon le 97-02 Il est défini par l’article 1 du Règlement et comprend notamment :

corporis fabrica libri septem (À propos de la structure du corps humain en sept livres[1]) est un traité d'anatomie humaine que l'on doit au médecin et anatomiste brabançon Andreas Vesalius (André Vésale, 1514-1564). Il a été rédigé en 1543, publié à Bâle, TITIEN L'Homme au gant. Vers 1520. Huile sur toile, 100 x 89 cm. Musée du Louvre, Portrait de Thomas More. Hans Holbein le jeune 1527, Tempera sur bois. New York. 1534 Huile sur bois H. 53 ; L. 37,5 cm Acquis en 1892 Inv

Introduction. p.2 I. Histoire et caractéristiques. p.4 a) Rappel historiques. b) Quelques généralités. II. Atouts et Spécificités du système bancaire suisse. p.12 a) Présentation du système bancaire suisse. b) Les avantages du système bancaire suisse sur le système français. c) La Suisse est-elle un paradis fiscal ? III. Faiblesses et limites du système bancaire suisse. p.21 a) Le secret bancaire et ses fondements. b) Les faiblesses