Banane plantain

produits locaux, comme le plantain, le manioc ou d’autres tubercules. Faisons maintenant, si vous le voulez bien, le tour de nos productions végétales et animales afin de savoir où nous en sommes. D’abord les productions végétales: - Pour ce qui est des cultures vivrières, à forts enjeux de sécurité alimentaire, on a pu noter une légère croissance de production depuis quelques années. Cela est valable pour le riz, le maïs, le mil et le sorgho ainsi que le plantain, le manioc et la pomme

Légumes : aubergines, banane, betteraves, carottes, cerfeuil, chicorée, chou, citrouille, épinards, laitue, salades, pissenlit, poireau, tomate, topinambour… Fruits : abricots, amandes, cerises, figues, framboises, fraises, goyave, groseilles, mangues, melon, mûres, olives, oranges, pêches, prunes, pruneaux, raisins, rhubarbe… Cures : *un repas normal remplacé par une grande ration d’un légume ou fruit cité *une monodiète de 24 heures Utilisation de glucides à IG bas : banane verte, haricots rouges

fertiles, on y cultive le café (arabica, robusta), le cacao, le thé, le tabac, les cultures vivrières pour approvisionner les grandes villes  (mais, haricot, arachide, macabo). Dans le plateau Sud Camerounais : Ici on trouve le macabo, la banane, la banane plantain, le manioc. Les cultures commerciales sont dominées par le cacao, le café, le tabac, canne à sucre, palmier à huile. Dans les plateaux de l’Adamaoua : L’agriculture est secondaire et pratiqué par les minorités Dourou et baya. On y trouve :

et le cacao dominent l’économie de la région (les deux tiers des surfaces cultivées), mais sont aussi présents le palmier à huile, l’hévéa et le cocotier. Les cultures annuelles couvrent 25 pour cent des surfaces cultivées (mais, riz, manioc, plantain, etc. en intercalaire avec le cacao généralement). L’agriculture est basée sur des pratiques traditionnelles extensives de défriche-brûlis et donne de faibles rendements. Ces pratiques conjuguées à la croissance rapide de la population ont mené

souvent habités par la communauté noires, et la population laisse résonner les tambours. Le merengue et le calypso relèvent leur lien et leur proximité avec la culture caribéenne. La cuisine vénézuélienne se fait surtout avec du riz, des bananes plantains, des haricots et de la viande. Il y a des spécialités comme : - citons les empanadas - le pabellon criollo qui est le plat principale, avec du bœuf en lamelle et du riz.

affectent la forme d'un immense abat-jour posé sur le sol. Cet auvent collectif, doté d'une place centrale, se nomme le shabono, ce qui correspond simultanément au pourrissement des bois de charpente, à l'épuisement des jardins — où ils cultivent la banane plantain, le maïs, le manioc, la canne à sucre, la papaye, le tabac et certaines plantes magiques — et aussi à l'appauvrissement des zones de chasse, qui s'étendent sur un rayon de 10 km environ autour de la grande maison. Leur territoire est situé au

Ainsi, les plantations laissées par les ALLS sont récupérées et regroupées pour former la CAMEROON DEVELOPMENT CORPERATION (CDC) On note le développement des cultures vivrières comme l’igname, le maïs et le plantain. Il y a l’introduction des cultures d’exportation comme le thé et la banane Le développement des grandes plantations existantes et la création de nouvelles autour du mont CMR, ces plantations industrielles sont détenues par PERM crée en 1920 et la CDC en 1946 La construction des routes

carotte, champignons, chicorée sauvage, chou, cresson, épinard, mâche, persil, pissenlit, poireau, raifort, rhubarbe, abricot, ananas, châtaigne, datte, melon, noix, olive, orange, poire, pomme, prune, raisin. Tisanes de gentiane, houblon, ortie, plantain, prêle, noyer, romarin, thym. Vitamines B4, B7, B9, B12. Complément : Argile. Angines Consommer céleri, chou, navet, poireau, thym, cassis, figue, mûre. Tisanes de thym, sauge, eucalyptus ; et en gargarismes : aigremoine, bistorte, bouillon

réserves forestières exploitables, on observe, depuis 1990, une augmentation des coupes et des exportations (3,2 % du PNB). Aux productions de latex, d'huile de palme, de banane et d'ananas s'ajoute celle des plantes vivrières, d'introduction récente (maïs, soja, riz), ou traditionnelles (igname, manioc, mil, sorgho, banane plantain). La pêche porte sur un peu plus de 100.000 t de poisson par an. L'élevage est peu développé. Mines et industries Très insuffisante, la production de pétrole offshore

fallait se débrouiller avec ses propres moyens locaux . La préoccupation majeure était de remplir les ventres affamés. On mangea beaucoup de racines (ignames, patates douces, dachines/madères, choux/malangas), de ti-figues/ti-nains, de poyos, de bananes plantain, de légumineuses (lentilles, pois boukoussou, pois savon/chousse ...), de fruits à pain. Comme chair, il y avait la morue salée. La viande et le poisson étaient rares, réservés aux plus aisés. Chacun possédait un petit jardin où était cultivé