Barbusse Narration

composants essentiels : la narration, qui est la manière dont l'histoire est racontée, et la fiction, qui est l'histoire racontée. La narration est le résultat du travail du narrateur, qui choisit l'ordre dans lequel il présente les événements, la façon de faire intervenir les personnages, etc. Le schéma narratif fait apparaître la trame de la fiction car il organise tout le déroulement des actions. 1. Les étapes de la narration et la séquence narrative a. Les étapes de la narration Traditionnellement

de faire (ex : les monologues au théâtre sont toujours délibératif). -Le genre démonstratif / épidictique bon-mal / beau-laid Les parties du discours : * L’invention concerne la recherche des idées * L’exorde – l’introduction * La narration – le développement des idées * La conclusion * La péroraison * Quels types d’arguments ? Dans la rhétorique antique les arguments avait pour nom preuves. Deux types de preuves : -Celle qui font appel à la raison des preuves logiques

par le sujet : → Quels sont leq attendus formels ? • Pour une lettre officielle: identité et adresse du dessinateur, idem pour le destinataire, date et lieu, formule de salutation finale, etc. • Pour un récit : utilisation du même système de narration que le texte-source si l'on vous demande de continuer un récit ; faire attention au passage du récit au discours direct (verbes de paroles, tirets, incises, guillemets, etc.) • Etc. → Se constituer un réservoir de procédés d'écriture en tout genres

une morale :   1ère : v1-v15 :L’orateur met en œuvre les recettes classique de la rhétorique (l’art de bien dire , de l’éloquence ) 2ème : v16-v30 : il s’agit de la séduction du public par l’usage de la fable.    I-Efficacité du récit : A) Une narration captivante : -Alternance entre passé simple ("courut" , "parla" , "recourut" .. ) et imparfait ( "écoutait" , "daignait" , "regardaient") ==> temps caractéristiques du récit.   -Ce récit met en jeu 2 personnages qui s'affrontent : "l'orateur" d'une

L’APOLOGUE : Def : Désigne cour récit, vers ou prose, racontant histoire comportant enseignement ou morale. C’est un texte narratif (voir discours narratif) mais aussi texte didactique (pédagogique) Spécificité de mêler les deux discours. *Narration à l’argumentation : Portée didactique repose caractéristiques -Choix des personnages. Animaux, végétaux ou humains. Représentatif catégories ou comportements. Cela permet une généralisation et assimilation. Personnage familiers, rappellent situations

celles des autres, par leurs gestes et attitudes, et non par les commentaires du narrateur ou des monologues intérieurs.   * Il y a 2 types de discours : * Discours descriptif (champ lexical de la nature, expansions du nom, présent de narration et imparfait. Verbes d’état ou descriptif. * Discours narratif : verbes au passé simple, verbes d’actions, indicateurs spatiaux- temporels. Le roman présente l’intérêt de reproduire des expressions du langage parlé * Situation d’énonciation :

certains personnages et leur action «riait de plaisir et pleurait de peur» L8. Puis le dénouement: Action au present de narration « il pousse l’enfant» L12 puis retour au passé simple «il n'y eut que la petite fille de l'extrémité »L14, accompagné de l’injustice « elle déclara que François l'avait jetée bas » L19. Les conséquences de cette injustice sont narrées avec un présent de narration puis du passé simple « ma mere et mon pere etaient heureusement sortis»L21. On a comme conséquence finale l‘image

outils d'analyse : 1. l'ellipse : Certains événements dans la narration sont passés sous silence et à ce moment on utilise une ellipse temporelle pour que le lecteur puisse se situer dans le texte. Exemple : « Le jour J (ellipse temporelle) arriva ». On peut supposer que les jours précédents n'ont pas été narrés. 1. le sommaire : on résume en quelques lignes des événements de longue durée. 2. la scène : le temps de narration est égal au temps du récit. On raconte les événements tels qu'ils

et profondeur d’analyse poussées. Elles sont, pour le temps, modernes. En effet, dans Paludes, on fait face à une multitude de narrateurs et donc de narrataires. Gide brouille les distinctions entre le narrateur et l’auteur, et le fait dans une narration à la fois enchâssée et enchâssante. La nature inter-textuelle du roman, qui inclut des résumés d'intrigue, des définitions orales, des entretiens du narrateur, des notes, personnelles, un agenda et d’autres encore, soutient cette forme de bivocalité

peut varier le rythme du récit ; ces variations se mesurent en comparant :      - le temps de la narration : il se mesure en lignes, pages, volume de texte ; - le temps de l’histoire : il se mesure en heures, jours, années de l’histoire racontée. Selon l’importance que le narrateur donne aux événements, il peut : |mettre en valeur un moment fort, important, de l’histoire |Temps de la narration |SCENE | |