Barricade

célèbre cabaret appelé Corinthe. Grantaire, Bossuet et Joly s’y trouvaient. Tout à coup, ils entendirent un tumulte. C’était l’attroupement dirigé par Enjolras. Tous se rassemblèrent et décidèrent que cette rue était l’endroit parfait pour bâtir des barricades. Une fois, qu’elles furent construites et que les postes furent assignés, plus personne ne bougea. Mais rien ne venait, Enjolras alla donc trouver Gavroche et lui demanda d’aller observer ce qui se passait. Avant de partir, Gavroche lui annonça

des combats entre l' armée et les insurgés. Le soldat de la Garde royale : Ce cadavre est un soldat de la Garde royale de Charles X. Le roi a dissous la Garde royale quelques jours plus tôt. Il a cependant laissé leurs armes aux soldats. Les barricades : Cet élément du décor est le symbole même du combat. Sur une des planches, le peintre a signé son nom en rouge, couleur du sang des insurgés. Les plans Le premier plan est occupé par les corps des victimes et des blessés : c'est une avant-scène

représentant la liberté. Elle guide le peuple français à travers la révolution ver la liberté. Le support du tableau est : huile sur toile. La foule converge vers le spectateur, dans un nuage de poussière, brandissant des armes. Elle franchit les barricades et éclate dans le camp adverse. A sa tête, quatre personnages debout, au centre une femme. Déesse mythique, elle les mène à la Liberté. A leurs pieds gisent des soldats. L’action s’élève en pyramide, selon deux plans : figures horizontales à la

Pendant une semaine, les combattants de la Commune luttent quartier par quartier, maison par maison, barricade par barricade. Le 26 mai, la résistance est à son comble, tandis que les exécutions sommaires par les versaillais se multiplient à mesure qu’ils avancent dans Paris. Le 27 mai, c’est le massacre des fédérés au milieu des tombes du Père-Lachaise. Le 28 à une heure, la dernière barricade tombe. Le lendemain, le fort de Vincennes capitule et ses neuf officiers sont fusillés sur-le-champ.

européen s’embrase à nouveau, de Vienne à Venise en passant par Prague et Berlin : c’est le « printemps des peuples », explosion simultanée de populations privées de nation et de droits politiques. Les révolutions de 1848 ont en commun, outre les barricades, un style romantique qu’incarnent les chants ou les habits et appelé « quarante-huitard ». Comme en 1789 et plus encore en 1830, les soulèvements qui ont éclaté à Paris ont mis en branle la contestation violente dans les capitales des États voisins

600000 habitants et se trouvait de 100 à 280 mètres d'altitude. Elle s'étendait sur plus de 60 kilomètres carrés sur la rive droite de la Volga. Elle se trouvait au centre d'un dense réseau de vois ferrées, et possédait d'immenses usines comme Barricade, Octobre Rouge, et la plus grande usine de tracteurs de l'URSS(qui produisait depuis 1941 les chars T-34 de l'Armée Rouge, supérieurs aux Panzers). C'était un noeud de communication important entre les réserves de pétrole du Caucase(c'est en partie

aussi d’un tableau de caractéristiques générales ! (Elève les actions au niveau national). Répertoire montre la volonté de changer les choses, et le régime établis pour le bien de tous. Cela nécessite donc certaines violences. B. Les Barricades Les barricades sont un exemple de violences prises par le peuple en vue de se défendre/ se protéger de quelque chose. Leur réapparition au XIXeme siècle qui n’avait pas eu lieu depuis le XVIIème siècle traduit une résurgence de violences. Elle traduit

grand-père afin d’avoir son autorisation pour l'épouser. Marius ne tire de son grand père que des railleries, désespéré, il se rend à la barricade de la Chanverire avec ses amis de l’ABC et tente de faire parvenir une lettre à Cosette qui a disparu, mais c’est Jean Valjean qui la lira. Après la lecture de la lettre de Marius, Jean Valjean se rend lui aussi à la barricade, afin de récupérer le prétendant de Cosette. Jean Valjean se voit charger de la garde le l’inspecteur Javert qui est fait prisonnier

révolutions en hiver « dit le roi Louis Philippe le soir du 23 février 1848 lorsque la rue semble se calmer après une journée d’émeute. Il se trompe car en 1848 la liberté n’a pas de saison, les Parisiens oublient le froid et la pluie en dressant des barricades et la révolution commence le 23 février. L’année 1848 évoque surtout l’établissement du suffrage universel et l’abolition de l’esclavage, pourtant c’est aussi la naissance de la IIème République qui est la plus courte et la moins connue. Mais cette

quatre étudiants sont condamnés à la prison. C’est pour réclamer leurs libérations et la réouverture de la Sorbonne que les étudiants, dans la nuit du 10 au 11 mai construisent des barricades dans le quartier Latin à Paris.( 1ere nuit des barricades) L’infernal engrenage est enclenché, le bilan humain de la nuit des barricades est lourd. En quatre heures de combats, les affrontements on fait 367 blessés. Le 11 mai, George Pompidou prend des mesures d’apaisement: la libération des étudiants emprisonnés