Basileus

féal sujet et homme lige du seul empereur germanique, Godefroy de Bouillon refuse tout d’abord de prêter le serment d’allégeance exigé par le basileus de tous les chefs croisés. Il faut lui couper les vivres pour le faire céder. Il sacrifie enfin ses principes à l’esprit de croisade et prête à contrecœur le serment requis. Il s’engage ainsi à remettre au basileus tous les territoires ayant appartenu à l’empire byzantin qu’il pourrait enlever à l’islam. Triomphant et magnanime, Alexis Comnène témoigne

des affaires publiques, on appelle cela l'oligarchie. Enfin, lorsqu'il s'agit d'un groupe élargi d'individus, on parle de démocratie. La monarchie : Un individu seul décide de la gestion des affaires publiques de la cité. Le roi est appelé le basileus. Le pouvoir peut être absolu ou modéré, exercé par un homme seul, en accord avec les lois et les usages. C'est aussi un pouvoir au bénéfice des sujets, de la communauté. Ce régime fonctionne avec le consentement des gouverneurs. La monarchie n'est

l’aristocratie, la ploutocratie, la tyrannie et démagogie, l’anarchie et enfin la démocratie. *La royauté : on est passé de la société clanique, il y a eu le régime monarchique royal. L’organisation personnelle été composée du chef du clan (le roi ou le basileus) puis des phratries et tribus, puis la cité qui était l’organisation territoriale. *L’aristocratie : les anciens, chefs de famille, les plus en vue, seront les aristocrates, qui expulseront le roi et tiendront le pouvoir. Ils n’ont pas fait de grandes

Durak, prend Bagdad : c’est le début de la dynastie des Turcs Seldjoukides et du sultanat des Grands Seldjoukides. Le sultanat s’étend rapidement vers l’Ouest, au détriment des musulmans non Turcs, puis, après 1071 et la bataille de Manzikert où le basileus Romain IV Diogène est capturé par Alp Arslan, successeur de Tughrul Beg, sur toute l’Anatolie byzantine (les Turcs atteignent Nicée[4], aux portes de Constantinople, en 1078). Théoriquement unifié, le sultanat seldjoukide se fragmente en fait régionalement

serait autre que Néron lui-même selon l'interprétation la plus fréquemment donnée de cette gématrie. D'autre part l'écrivain nous déclare (cf. Ap 17,10) que lorsqu'il écrivait le sixième « Roi » était encore vivant. Or le sixième empereur romain (Basileus, en grec) fut précisément Néron selon la manière habituelle de compter des Anciens (cf. Suétone : Vie des douze Césars). Soit : 1. César 2. Auguste 3. Tibère 4. Caligula 5. Claude 6. Néron Cette manière de voir éclaire

(dire un seul) et arkhein (commander). C’est d’abord un gouvernement d’une seule personne, avant tout rapport à l’hérédité. L’hérédité c’est seulement un critère de sélection du monarque. Le roi peut être élu ou tiré au sort. Le monarque grec est le basileus. La royauté vient du terme romain rex. On parle de monarchie chez les grecs et de royauté chez les romains. On voit dans le gouvernement d’un seul celui qui incarne ce qui est droit et qui trace la voie à suivre. Le bon monarque est celui qui indique

Frédéric tenta de pénétrer dans la Vieille Rome pour se faire couronner roi, mais Manuel fit échouer l’entreprise : « Ne laisse pas à un autre ta gloire. », écrivait-il au pape. » Le seul homme digne d’être appeler empereur pour les Byzantins était le basileus. Cela marquait toujours un sens de supériorité de l’empereur byzantin face a l’empereur du Saint-Empire. Mais Byzance avait besoin du soutien de ce dernier pour faire face aux Normands. Le conflit s’intensifie sur les rapports avec la Papauté. L’empire

conflit des obligations religieuses soit tragiquement insoluble. Plus troublante encore est l’éventualité d’un conflit entre différents aspects d’une même divinité. Dans un moment difficile, lors du retour de son expédition, Xénophon sacrifie à Zeus Basileus (Zeus Roi) et accomplit scrupuleusement ce que les entrailles prescrivent (Anabase VII 6 44). Peu de temps après, et alors qu’il se bat toujours, il apprend d’un voyant que ses difficultés proviennent de Zeus Meilichios (Zeus Miséricordieux) : il

relations seront plutôt bonnes, en l’absence d’hostilité religieuse, alors qu’il existe un contentieux religieux avec Byzance. La papauté est toujours sous tutelle de l'Empire byzantin. Cependant, accaparé par sa lutte contre l'empire musulman, le Basileus n'a plus les moyens de protéger Rome menacée par les Lombards. La papauté se tourne donc de plus en plus vers les Francs54, en particulier vers la famille carolingienne que les papes soutiennent depuis l'époque de Charles Martel. La guerre entre

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique(législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples. Le concept émerge avec celui d'État, au Moyen Âge. Le souverain est donc au départ une personne identifiée (le représentant de l'État, le roi) puis se détache de plus en plus de sa personne pour devenir un concept théorique