Baudelaire Solitude

Karamoko Kaba Gr. 01 «Ces régions inconnues que ton cœur demande» Plan : iP : La solitude que recherche le narrateur favorise l’exposition d’émotions fortes contenues dans son cœur. iS1 : L’auteur compense son isolement social par une conversation fictive entretenue avec la nature.  iS2 : L’extrême tristesse que ressent le narrateur amène un désir de mourir. La solitude que recherche le narrateur favorise l’exposition d’émotions fortes contenues dans son cœur. L’auteur compense son

prendre conscience de qui l’on est. La solitude, elle, permet de se retrouver avec soi-même et de ne dépendre de personne et d’aucune influence. Elle peut cependant engendrer aussi la mauvaise foi, le fait de ne pas tout s’avouer sur soi-même et de se créer de petites améliorations. On peut alors se demander, et c’est ce dont nous allons traiter, si l’absence des autres permet-elle une pleine constitution de soi ? La réponse spontanée semble être que la solitude est un bon compromis pour être soi

d’obtenir l’aveu en argumentant en 3 fois : (10-15) chantage de la mort – Elle lui fait une double menace : elle commence par faire l’indifférente alors que Phèdre est faible (métaphore « faible lumière ») , elle menace de l’abandonner dans la solitude à sa mort : elle utilise 3 impératif : « mourez, gardez, cherchez » pour manifester sa colère parce qu’elle ne comprend pas le silence de Phèdre. (16-19) rappelle de la mort pour l’attendrir – Elle lui rappelle sa fidélité, sa confiance (16). Depuis

LA MULATRESSE SOLITUDE La mulâtresse Solitude (1772-1802) Solitude a existé, mais ce que l'on sait d'elle relève principalement de la légende. Elle est née vers 1772, d'un viol que sa mère a subit d'un marin sur le bateau qui l'emmenait en Guadeloupe. Elle vécue les huit premières années de sa vie avec sa mère, qui s'était enfuie de sa plantation. A son adolescence, elle choisit de lutter contre l'esclavage, devient nègre marron et prend le nom de Solitude. Ce commencement de liberté

servitude obligée, elles sont abandonnées de toutes et poussées par leur entourage dans une torture psychologique malsaine. Ces femmes, plongées dans l’enferment et l’ennui (ainsi que dans l’abandon totale des plaisirs physiques), sont confrontées à la solitude, qui pousse elle-même l’être-humain vers la folie car il est une créature sociale qui a besoin du groupe et de contacts. Autour d’elles, il n’y a que des personnes qui leur sont semblables ; elles partagent la même douleur. Mais au lieu de se rassembler

sol | Solitude quand tu nous tiens !!! | La solitude un fléau ? | | Fjer Souhayl | 04/05/2011 | | Introduction Le mot solitude est un emprunt au latin solitudo qui signifie lieu désert, vie isolée, état d’abandon, et de solus qui signifie absence, manque. C’est un fléau qui touche notre société depuis les premières pages de l’Histoire de l’humanité. On la définit même comme un problème social majeur qui s’étend dans la vie de tous les individus à un moment ou à un autre de

même de se tuer soi-même (sui-cide): on croit se débarrasser de la honte et en réalité on se fixe pour l'éternité dans une réaction passionnelle. La solitude ne fait d'ailleurs qu'accroître la honte car dans la solitude je retrouve autrui qui jamais ne me quitte* et j'ai perdu la possibilité de m'échapper dans le divertissement. Bien plus la solitude voit très vite le sentiment de honte se transformer en sentiment de la faute puis en remords parce que le juge n'est plus autrui qui peut se tromper

« Nous sommes tous dans un désert. Personne ne comprend personne. » (Flaubert) Parmi toutes les images qu’évoque la notion de désert, deux semblent vraiment pertinentes et universelles : la dureté du milieu et la solitude ressentie dans l’infini de ces étendues. Dans ces lieux sauvages et hostiles rares sont les oasis. Notre vie ne ressemble-t-elle pas plus à une succession de zones désertiques qu’à un jardin d’Eden ? L’être humain par nature est toujours en quête de relations et de reconnaissance

psychologique qui sera le sien. Aspect de son œuvre ulterieur. Observation de la ville à lobervation de NY : STREET IN PARIS CITY SCENE WITH LES POILUS LES DEUX PIGEONS NIGHT ON THE EL TRAIN THE EL STATION Les attentes de la sexualité et de la solitude, theme insistant EVENING WIND, 1921 NIGHT SHADOWS, 1921 Illusion du movement, que le spectateur va projeter en lui meme. La peinture commenca a se cristalisre quand il se mit à la gravure. AMERICAN LANDSCAPE. 1921. Conceptuel, Hoper est un

foncés et n’ose pas l’originalité. Des bijoux elle en porte peu ou pas non pas par peur de ne pas plaire mais peut être pour pouvoir passer plus inaperçue. Au contacte des autres, elle est timide, renfermée sur elle-même et elle préfère de loin la solitude, dans laquelle elle s’adonne avec plaisir à la lecture et au travail. À l’inverse, quand elle tombe amoureuse, ce n’est plus la personne sérieuse et mature que tout le monde connaît, mais bien une toute nouvelle femme comme retombée en enfance qui