Bear Stearns

in the United-Kingdom. The crisis began in Britain with the Northern Rock bank, which was affected by the current malfunctioning money market, and it was nationalised on February 17 2008. The next one was the United-States(US) investment bank, Bear Stearns that was bought by its competitor, JP Morgan. “The largest bankruptcy in history” was the Lehman Brothers’ one with a $613bn of debt, which has caused the panic on the stock-market. This bankruptcy was followed by the “biggest bail out-of a private

citer quelques exemples : - Le numéro 1 des assurances, a perdu 45% en une semaine de sa valeur et 79% en un an ; - Lehman Brothers ; quatrième banque d’affaire de Wall Street a perdu 45% de sa valeur en une seule journée et 94% en un an ; - Bear Stearns, cinquième banque de Wall Street, est rachetée le 16 Mars 2006 par JP Morgan Chase avec l’aide de la FED. On peut aussi citer la chute de quelques indices boursiers (du 01/01/2008 au 24/10/2008) : - Le CAC 40 baisse de 43,11% (France) ; - DAX

début de la crise, la Banque d’Angleterre a été contrainte, en février 2008, de nationaliser (temporairement) la société de crédit immobilier Northern Rock, tandis qu’en mars 2008, la Fed a dû secourir la cinquième banque d’affaires américaine Bear Stearns. On peut également ajouter à cette liste le plan du Trésor américain pour protéger Freddie Mac et Fannie Mae, les deux principales agences de refinancement de l’immobilier américain. Fin juillet 2008, le Congrès américain estimait à 25 milliards

afin de doper les performances de leurs fonds d'investissements ou OPCVM. Ces fonds se sont trouvés en difficulté du fait de la chute de la valeur de leur actif. L'effondrement de la valeur de deux fonds d'investissements de la banque américaine Bear Stearns, relevé le 17 juillet 2007, a donné le signal de la crise de défiance. L'annonce, intervenue le soir même d'une séance record à la NEW York Stock Exchange (14 000 points atteints en séance), va donner le signal de la baisse32(*) Ce sont désormais

de 12 milliards (6 fois plus élevé qu’en 2008), loin devant ses concurrents. Mais ce fut en 2007 que GS surpris la planète financière : malgré la crise profonde qui touche ses concurrents, provoquant la faillite (Lehman Brothers) ou le rachat (Bear Stearns) de ses concurrents, la banque affiche tout de même un résultat positif. Par le nombre de deals traités en fusions acquisitions, ses revenus en trading (100 millions de dollars de gains journaliers pendant 82 journées de suite en 2009), mais aussi

total dans le stage. Après avoir réussi avec brio son stage chez Dean Witter, on va constater que Chris Gardner n’en reste pas là et souhaitera toujours gravir les échelons. En effet, un an après avoir travaillé pour Dean Witter, il rejoint la Bear Stearns Company en 1983, et fondera en 1987 sa propre boite portant son nom : la Gardner Rich & Co dont il revendra une petite partie de ses actions pour plusieurs millions de dollars en 2006. Il est ensuite devenu chef de la direction et fondateur de

plus en mesure de financer ses actifs suite à la crise des liquidités européenne. Une troisème étape fut celle de la banque d’investissement Bear Stearns rachetée par la troisième plus grande banque des Etats-Unis , JP Morgan Chase & Co, en mars 2008. En effet sous le poids d’une crise de confiance et d’une perte de valeur à cause de la conjoncture, Bear Stearns se voit en chute libre. Cette chute se voit d’autant plus rapide lorsque l’assurance contre le défaut de la banque triple son prix. Quelques

d'administration[6], Frédéric Oudéa devenant directeur général[7]. Jean-Pierre Mustier, alors responsable de la banque de financement et d'investissement (BFI) de la Société générale, quitte également ses fonctions, remplacé par un ancien dirigeant de Bear Stearns, Michel Peretié. Le 6 février 2008, suite à cette perte de 4,9 milliards d'euros, la banque annonce qu'elle va recevoir de la part de l'administration fiscale française un milliard d'euros[8], au titre d'un trop perçu d'impôt sur les sociétés[9]

gérant du fonds It Funds Technology Global, « nous sommes en ce moment dans un contexte où les marchés financiers sont tout sauf efficients. Les rumeurs foisonnent, sans aucun moyen de séparer le bon grain de l'ivraie. L'écroulement boursier de Bear Stearns, qui a conduit à sa faillite, a paru suffisamment suspect pour que la SEC déclenche une enquête afin de déterminer si les traders ont utilisé des moyens « illégaux »' pour pousser le titre à la baisse en faisant circuler de fausses rumeurs. Dans

banque américaine Bear Stearns, révélé le 17 juillet 2007, a donné le signal de la crise de confiance. C- Les conséquences de la crise : La crise financière liée à l’explosion des prêts hypothécaires américains à risque paraît s’inscrire dans la durée et les autorités s’accordent sur l’incertitude qui plane à la fois sur l’étendue des pertes et sur son terme prévisionnel. Plusieurs institutions financières ont déposé le bilan : c’est le cas des deux Banques américaines Bear Stearns et Lehman Brothers