Beau Dommage

Les Yeux d'Elsa Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boireJ'ai vu tous les soleils y venir se mirerS'y jeter à mourir tous les désespérésTes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoireÀ l'ombre des oiseaux c'est l'océan troubléPuis le beau temps soudain se lève et tes yeux changentL'été taille la nue au tablier des angesLe ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blésLes vents chassent en vain les chagrins de l'azurTes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luitTes yeux rendent

a : la nostalgie : chant d’ombre est empreint de nostalgie. De la seine en chine, la douleur de la séparation ne fait qu’augmenter car le séjour européen est agressif. Le poète n’éprouve qu’un seul rêve, celui de reconquérir son terroir natal pour revisiter son royaume d’enfance, l’exile européen est une véritable déception et le poète pour calmer et apaiser sa fureur angoissante se lance dans l’entreprise de l’inspiration poétique pour remonter vers les véritables sources authentiquement ancestrales

décrire et classer à la manière scientifique enlève la complexité et la transcendance d’une personne ou d’une chose qui est décrite. Au lieu de simplement dire que la personne est belle ou que l’objet est beau, les symbolistes préfère suggérer le fait que la personne est belle ou que l’objet est beau simplement en décrivant ces caractéristiques, comme le fait Charles Baudelaire dans cette citation : « Qui dégagent leur aile et prennent leur essor, / Teintés d’azur, glacés de rose, lamés d’or. » Cette

sont les choses qui sont laides ? Voyons, peux-tu me dire ce qu'est le beau ? ". N'ayant pas réussi à répondre à cette question (car Socrate " ne sait rien " !), il va donc profiter d'être en compagnie d'un savant, Hippias, qui prétend savoir ce qu'est le beau. Il va revêtir le personnage de celui qui l'a mis dans l'embarras, et poser à Hippias les questions qu'il aurait posées à Socrate s'il avait prétendu savoir ce qu'est le beau. Socrate : dis-moi maintenant, étranger, poursuivra-t-il, ce que

au commun des mortels. Puis il a ouvert ses temples et orné les cathédrales d’anges et de démons pour édifier les croyants avec pour apothéose l’art initié par la contre réforme. C’est pour honorer le Divin que l’Homme a crée l’art, il a voulu beau cet hommage, élevant ainsi sa propre pensée. Lui donnant un cadre propre à la méditation. La Quête de la Sagesse est soutenue par la Force qui puise son réconfort dans la Beauté. Mais la Beauté n’a-t-elle pour fonction que de décorer

toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l'éternelle chaleur. Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d'un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes. Dans l'ardent foyer de ta chevelure, je respire l'odeur du tabac mêlé à l'opium et au sucre; dans la nuit de ta chevelure, je

L’art de Y.REZA. Dans le cadre du cours du français nous avons dû lire « l’art » de Yasmina Reza mais aussi LE GOUT DES AUTRES de Voltaire. Les deux œuvres parlent du « Beau » mais de manière différente, nous allons donc comparer ces deux œuvres et tirer les avantages et les inconvénients de chacun d’entre eux. Tout d’abord, la forme est déjà différente, Voltaire présente un texte de deux pages et demi sous forme de petite histoire où il joue le rôle du narrateur ; alors que l’œuvre

 Du Macabre à la Beauté Grotesque ou comment l’art à travers les siècles a pu manier le beau et le laid pour tendre au sublime . Des Danses macabres aux vanités de Damien Hirst , macabre , sublime et grotesque ce sont à travers les siècles liées , dans l’idée de faire vivre au spectateur comme au lecteur , un miroir de vanité , c’est l’autre et soi dépeint de façon atypique , choquante et inattendue pour faire comprendre de prime abord à l’humain qu’il n’est rien d’autre que tel , un être

l’œuvre. On dénote une certaine profondeur sur le côté droit du tableau, la pièce s’étend vers une salle à manger avec un escalier. Evidemment, Ensor ne tient pas à respecter les règles préétablies, qu’ils dénoncent d’ailleurs ici, qui régissent le beau artistique. En outre, les symétries des figurants et la perspective ne sont pas respectées. Pour terminer, on remarque aisément qu’Ensor proscrit la beauté esthétique pour se tourner vers une revendication forte de ses sentiments les plus alarmants

surtout que dans celui-ci, le regard n’a pas l’élément principal de la rencontre comme on le voit à la ligne 6 « il ne l’avait mal regardée ». Puis vient la figure de style sur la comparaison avec un vers de Racine « un vers qu’il ne trouvait même pas un beau vers, ou enfin dont la beauté lui semblait douteuse, inexplicable, mais qui l’obsédait » et le fait « qu’elle fut appelée Jeanne ou Marie…Mais Bérénice. Drôle de superstition. Voilà bien qui l’irritait. ». Donc même malgré que la beauté de la femme