Beau Dommage

sentiment du Beau et du Sublime - Emmanuel KANT, Critique de la faculté de juger, 1790 Emmanuel KANT est à l'opposé de la théorie de BURKE sur le Beau et le Sublime, qui donne une dimension empirique au sentiment du Beau et au sentiment du Sublime. KANT, lui, est plutôt dans une perspective transcendentale du Beau et du Sublime. Pour lui, l'expérience connaît plusieurs aspects, mais à l'état naissant, cette expérience est identique à tous, ce qui fait que le jugement du Beau et du Sublime

est belle, ce que l’on veut savoir, ce n’est pas si l’existence de cette chose a ou pourrait avoir quelque importance pour nous-même ou pour quiconque, mais comment nous en jugeons en la considérant simplement. Si quelqu’un me demande si je trouve beau le palais que j’ai devant les yeux, je peux toujours répondre que je n’aime pas ce genre de choses qui ne sont faites que pour les badauds ; ou bien comme ce sachem iroquois, qui n’appréciait rien à Paris autant que les rôtisseries ; je peux aussi

un cas beaucoup plus général. Si nous pouvons être libre sans faire ce que nous voulons c'est supposer que nous nous en avons pas la possibilité. Et c'est donc se demander si on peut être libre sans en avoir les moyens ? . Car en effet, c'est bien beau de dire , "je fais ce qui me plait alors je suis libre" mais faudrait il déjà en avoir les moyens. En parlant de moyens , je parle de la capacité, le courage de se dire" je veux être libre alors je quitte mon travail " ou bien " je quitte ma femme

Philosophie Kant, Critique de la faculté de juger, § 32 Dans La Critique de la faculté de juger, Kant consacre toute une partie au jugement de gout, fondement principal de l’esthétique. Comme l’a définit Baumgarten, l’esthétique est la science du beau. Science nouvelle qui, de surcroit, peut amener l’homme vers un autre type de connaissance : celle qui relève du sensible. Contrairement à Descartes qui pense que les sens ne peuvent pas faire l’objet d’une science absolue car ils ne donnent accès

l’écart du mécontentement et du chagrin, avec ses bêtises. Lorsque Platon dautait si la place de la femme se trouvait parmi les êtres doués de la sagesse, ou parmi celles manquées de la sagesse, il voulait seulement montrer la bêtise incomensurable du beau sexe(sexe faible)” (p.25, L’éloge de la folie, Editura Antet) Quoique l’idée d’autres fois est changé aujourd’hui, que la femme a obtenu l’égalité des droits avec les hommes, il y a aussi des gens qui pensent encore comme Platon. Le psychologue

Thème : L’Art et le Beau : Platon : Hippias mineur Kant : La critique de la faculté de juger, L'Analytique du Beau. Mishima : Le Pavillon d’Or Victor Hugo : Le Chef d’Œuvre inconnu Introduction  La Beauté, ou le Beau : Déf : notion abstraite liée à de nombreux aspects de l’existence. Couramment : Comme l’amour : la beauté est un qualificatif marquant une opinion Employé constamment, souvent à tort à travers Belle femme, belle idée, beau match, beau costume…  Pente naturelle

 Nous sommes en présence du sonnet : « La beauté » de Charles Baudelaire, écrit en alexandrin, extrait des fleurs du mal qui est  un des recueils les plus importants de la poésie moderne . Ce poème est rédigé en 1857, à l’époque du romantisme et de la révolution poétique ou de grands auteurs comme Baudelaire vont apportés un changement aux contenus de leurs œuvres afin d’y accorder une plus vaste liberté et ouverture d’esprit. Ici la beauté est considérée par Baudelaire comme artificielle. Dans

certaine représentation à un sentiment de plaisir. Nos facultés sont émues on trouve donc le développement d’un goût due aux sentiments. 2) Le jugement de goût est désintéressé : Le plaisir ne se réduit pas à l’agréable (=lié au besoin vital). Le beau est libre à l’égard de l’utilité vitale. Le plaisir ne se réduit pas à une connaissance. Il est le lieu d’un jeu de nos facultés : l’imagination fait bien appel aux sens mais de manière distanciée. Il y a un jeu entre ce que je vois, ce que je ressens

peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées,

tout près. Assise sur ma grande chaise, Mi-nue, elle joignait les mains. Sur le plancher frissonnaient d’aise Ses petits pieds si fins, si fins. — Je regardai, couleur de cire Un petit rayon buissonnier Papillonner, comme un sourire Sur son beau sein, mouche au rosier. — Je baisai ses fines chevilles. Elle eut un long rire tris-mal Qui s’égrenait en claires trilles, Une risure de cristal… Les petits pieds sous la chemise Se sauvèrent : « Veux-tu finir ! » — La première audace permise