Bergson Dans Des Conditions Déterminées

conceptions non psychanalytiques de l’inconscient 2 A. L’inconscient psychique 2 1. La conscience moindre : les petites perceptions (Leibniz) 2 2. Inconscient et concentration (Kant, Condillac) 3 3. Inconscient et automatisme (Bergson) 3 4. Inconscient et mémoire (Bergson) 3 5. L’arrière-plan (philosophie analytique) 4 B. L’inconscient social 4 II. L’inconscient selon Freud 5 A. L’interprétation des symptômes 5 1. Les rêves 5 2. Les actes manqués 6 3. Les névroses 6 B. La théorisation de

"cette nécessité pour la conscience d'exister comme conscience d'autre chose que soi " (Sartre) N.B. Modalités de l'intentionnalité: cognitives, volitives, affectives. b) Deuxième caractéristique : la conscience est activité de synthèse Conditions requises pour qu'il y ait conscience: il faut qu'il y ait non seulement 1) un objet, mais aussi 2) un sujet et 3) qu'il y ait relation de l'un à l'autre: toute conscience est conscience d'UN sujet. Toute représentation mentale est en effet l'acte

générale de la liberté. La question du libre arbitre consiste à se demander si l'humain dispose d'une force spéciale capable de rompre la série déterminée des causes de façon à commencer absolument des séries. La question de la liberté consiste à se demander si tout dans l'univers, soit en l'humain, soit hors de l'humain peut se ramener à des séries déterminées. Il est clair que les partisans du libre arbitre doivent d'abord admettre l'existence générale de la liberté. Mais on peut refuser à l'humain

perception nécessite un apprentissage. Par exemple l’œnologue apprend à percevoir le vin, il a développer son gout.   Si l’est possible d’affuter sa façon de percevoir alors il est possible que notre façon de voir le monde est culturellement déterminée.   Nous avons l’impression que notre perception est une photographie fidèle au monde réel.   Le sujet sous entend que l’art aurait pour fonction de nous faire mieux percevoir la réalité. On pourrait alors apprendre à mieux voir. En quel sens

mouvements comiques, on privilegiera le comique du langage, qu'il soit verbal ou ecrit. La premiere partie donne une vision d'ensemble sur les composantes obligatoires du rire et du comique : des grands noms connus de tous ont ouvert la voie (BERGSON et FREUD), suivis d'autres qui ont exprime leur pensee dans le champ qui les occupe (FOURASTIE, KOFMAN, Dans la deuxieme partie, 1'enonce des theses va se particulariser, non seulement par les types de discours etudies (ironie, humour, parodie

volonté d’y remédier, et ainsi pourquoi pas à devenir un sujet conscient et maître de lui même de façon presque perpétuelle. La conscience de soi, par les différentes connaissances qu’elle offre au sujet conscient d’étudier, représente une condition nécessaire pour être maître de soi. Tout d’abord, être conscient de moi, c’est savoir que j’existe : je peux me penser pensant les choses. Mais c’est également une capacité de l’individu conscient de pouvoir se dédoubler, c’est à dire se

la nature uniquement les exemples qui les intéressent. Une qualité ou un défaut ne se révèle comme telle que sur fond d’une action nécessaire. Est-ce que les différences factuelles sont aussi naturels que ça ? Il est tout à fait possible que la condition naturelle soit en réalité le résultat de rapport de domination exercée pendant des milliers d’années. Dans le même temps où il affirme l’existence d’une nature masculine ou féminine, il insiste sur le fait d’éduquer son garçon comme un garçon et

production des choses qui n’est réductible ni à la nature ni à l’art. Proche de l’accident, le hasard est dépourvu de finalité mais imite la finalité comme lorsque le créancier rencontre son débiteur sur la place publique. Idée proche de celle de Bergson (1859-1941) qui définit le hasard comme un mécanisme qui prend l’apparence d’une intention. Aristote distingue tukhê qu’on traduit par fortune et automaton pour lequel on garde généralement le mot hasard; ce qui présente l’inconvénient d’utiliser

pensées déterminées et réelles que lorsque nous leur donnons la forme objective, que nous les différencions de notre intériorité. » Être conscient est se déterminer soi-même, entrer dans l’existence. « La pensée n’est pas vide, mais elle se détermine ». Cela signifie que la conscience prend une forme objective pour elle-même. « Donner la forme objective » à nos pensées, non les identifier à l’intériorité, mais au contraire les différencier de nous, est le premier pas hors de soi. La condition d’une

C'est cette conception d'une morale profondément influencée par la société, et donc par des facteurs socio-culturels, que reprend le philosophe français Henri Bergson à travers sa morale statique, théorisée dans Les Deux Sources de la morale et de la religion. Bergson définit en effet une morale conventionnelle qui imprègne, à une époque déterminée, tous les aspect d'une société : elle reflète les valeurs qui en sont le ciment, et qui donne à cette société sa coloration culturelle particulière. Parmi