Bergson Dans Des Conditions Déterminées

monde ambiant, celui de la réalité quotidienne, affirme que nous nous rapportons à chaque chose sur le mode de l'utilité : avoir conscience qu'il y a un marteau posé sur l'établi, c'est pouvoir viser le marteau en tant qu'il a une signification déterminée, et la signification du marteau, c'est son usage, c'est-à-dire servir à enfoncer des clous. Ainsi, à même notre attitude naturelle, nous n'avons pas une conscience « neutre » de la réalité qui nous entoure ; il faut bien plutôt affirmer que nous

science réalise sa première révolution aux XVIème siècles avec Copernic Galilée et Newton. Les grandes découvertes scientifiques modernes attestent la créativité de la raison sur le plan théoriques et pratiques .L’esprit n’est plus une structure déterminée d’avance comme chez Descartes et Kant. La psychologie des sciences atteste aujourd’hui que la pensée scientifiques est une construction rationnelle et objective de la réalité qui dépasse de loin l’objectivité sensible des choses. B- Méthodes

des mains'' Aristote. La main chez l'homme, c'est l'outil. Elle peut tout faire (Langage des signes, dialogue avec autrui). ''La main c'est l'outil d'avant les outils'' Aristote. La main est l'expression de l'intelligence/matérielle de l'homme. Bergson : être humain, il défini l'être humain comme un Homo Faber (Puissance de ''l'intelligence fabricatrice''). b. L'ouvrier, l'artisan, l'artiste Toute les activités humaines reposent sur la technique compte tenu de la définition donnée précédemment

par exemple quand on a mauvaise conscience ; ou a contrario elle donne une haute estime de soi lorsqu’on a bonne conscience. La conscience morale, c’est cette voix intérieure qui nous détourne de mal agir et nous incite à bien agir. Elle est la condition de la liberté et de la responsabilité inséparables de l’action morale ; autrement, c’est parce que l’homme possède la conscience qu'il peut être considéré comme un sujet libre et responsable de ses actes, donc comme un sujet moral. Dire de l’homme

Corps physiques perçues par nos sens ou enregistré par des instruments techniques et dont la physique dégage des lois matérialistes. Epicure : Tout ce qui existe est composé d’atome y compris l’âme. Marx : Nos pensées et nos croyances sont déterminées par nos conditions matérielles d’existence y compris les croyances politiques. Esprit : Quelque chose d’immatériel qui serait la pensée ou la conscience. Platon : «  Le corps est le tombeau de l’âme », la croyance en l’immortalité de l’âme est un beau risque

l'expression de Fichte. On voit par là qu'ils ne répètent pas la pensée de Hannequin (dont l'ouvrage métaphysique principal est un Essai critique sur l'hypothèse des atomes dans la science contemporaine). Car ils sont l'un et l'autre des héritiers de Bergson, par rapport auxquels ils se situent avec nuances... Tout ceci pour dire que le spiritualisme français - dont ils sont des représentants d'une haute valeur - ne se laisse pas enfermer dans un moule unique, mais est l'unité d'une diversité. On opposait

contraignantes mais aussi parlante (active)dans le sens ou un énoncé ne se construit et ne prend du sens qu’au fur et à mesure qu’il est crée, c’est à dire au fur et à mesure que je cherche mes mots.Or, chercher ses mots c’est rendre toujours plus déterminées nos pensées alors qu’elles sont fugaces et evanéscentes, c’est structurer la pensée et tenter de la délimiter ; c’est chercher à se connaître mieux : à se révéler puisque « penser et être » c’est la même chose disait Parménide.Ainsi, structurer

serait le carpe diem (« cueille le jour ») d'Horace, dans l'insouciance de ce qui adviendra, dans la préférence accordée aux plaisirs présents et à la fuite des souffrances ; ou, à l'inverse, chercher à lui donner un sens, une orientation, une forme déterminée, autrement dit ne pas se laisser aller au fil de l'eau, métaphore ordinaire du temps qui passe mais aussi de la vie qui s'écoule irrésistiblement et irréversiblement. Ces injonctions contradictoires recouvrent l'opposition entre d'une part une énergie

Sartre; nous agissons dans des circonstances qui comportent des éléments auxquels nous ne pouvons rien changer ou que nous ne souhaitons pas. Et pourtant c’est dans ce cadre que nous sommes appelés à nous « sentir libres ». La sérénité à l’égard des conditions de notre agir peut nous permettre de retrouver une forme de spontanéité qui commence en se libérant de la peur. • Un retour à la spontanéité? Est-il pour autant plausible de revenir à une innocence

effet, les bêtes peuvent offrir un spectacle que nous jugeons beau (un paon qui fait la roue, le chant d’un oiseau, une toile d’araignée), mais elles agissent alors sans intention esthétique: elles ne cherchent pas à produire du beau mais sont déterminées par leur instinct à réaliser quelque chose qui a une utilité. Ainsi le paon ne fait la roue qu’à la saison des amours, car sa nature commande ce comportement utile à la reproduction. Seul l’homme est donc capable d’art: c’est-à-dire de créer quelque