Bergson Dans Des Conditions Déterminées

Transmissibles : que l'on peut apprendre à quelqu'un, que l'on peut transmettre par apprentissage, par opposition à ce qui relève du talent, du génie ou de la chance. * Résultats jugés utiles : les moyens mis en œuvre le sont en vue d'une fin, déterminée à l'avance, et qui ne peut être atteinte que par ces moyens. Les fins visées ne s'imposent pas d'elles-mêmes : on se les donne après les avoir jugées utiles pour nous. Ce qui signifie que chaque fois que dans une activité quelconque, on peut

rejoins Henri Bergson (l’Evolution créatrice, PUF, 1907, p.138) qui affirme que « L’homme est un homo faber » (homme fabricateur d’outil). Ce, pour dire que seul l’homme a la capacité de fabriquer des objets artificiels ; « lui seul sait fabriquer des outils à faire des outils » tout en les variant à chaque fois. Avec l’homo faber, on comprend bien que la fabrication est au service de l’intelligence. Notons que ce rapport étroit entre fabrication/homme/intelligence dont parle Bergson, faisait déjà

du temps. Ce qui est plus intimement lié à l’histoire, non du cinéma, mais de la pensée, c’est, nous dit Deleuze, la modification des conceptions du temps — le passage du cinéma à une problématique d’ordre transcendantal ne reposant pas sur une condition empiriquement vérifiable liée à son simple développement interne, c’est à un ensemble de facteurs disparates qu’il doit son émergence, lesquels font intervenir notre propre régime de croyance —, notre forme moderne de scepticisme, en quelque sorte

il y a toute la distance du fermé à l’ouvert. Ce n’est pas une différence de degré, mais de nature. Radicale aussi, par conséquent, est la différence entre la conscience de l’animal, même le plus intelligent, et la conscience humaine. » Henri BERGSON, L’évolution créatrice. Sujet 2 Dégagez l'intérêt philosophique de ce texte à partir de son étude ordonnée « Les choses de la nature n'existent qu'immédiatement et d'une seule façon, tandis que l'homme, parce qu'il est esprit, a une double

possible de nier l’existence du temps ? Le temps est partout. Il nous entoure. Nous sommes soumis aux effets du temps tous les jours : quand on se regarde dans un miroir, les rides, les cheveux gris ne sont que des faibles rappels quant à notre condition humaine et mortelle. Notre « temps » est ainsi compté. Serait-il alors possible de nier l’existence d’une telle force, d’une telle puissance qui domine pratiquement tous les aspects de notre vie quotidienne ? Cette question est aussi ancienne que

absence pure et il n'y a quelque chose qui se donne qu'avec cette responsabilité. Il s'agit donc de se séparer de cette pensée de l’Être qui se donne ce dont la pensée doit répondre sans avoir le pouvoir de le poser : le « sans pourquoi » de la condition humaine. Ce renoncement à la pensée de L’être comme Présence nous ouvre à la possibilité d'une autre pensée de l'imitation où ce qu'il s'agit d'imiter n'est pas de l'ordre du donné, de ce qui se présente, mais de la trace singulière. La pensée

est le propre de l'être humain, on peut donc considérer qu'il est en fait guidé par un déterminisme interne et que toute création humaine est en cela naturelle, commandée d'avance. L'homme perdrait ainsi ce statut d'artisan libre puisqu'il serait conditionné par son essence et la nature des choses, vouées au développement technique... Y a t-il donc une emprunte de l'homme sur la vie, en d'autres termes : la vie est-elle un art? → Si l'on ne peut que constater l'œuvre de l'homme omniprésente dans

contacter pour nous faire part de vos difficultés et de l'évolution de votre réflexion. Sartre, L'Etre et le néant « Je choisis non mon être, mais manière d’être. » Contre tous ceux qui nient la liberté sous prétexte que notre existence est déterminée par toute sorte de causes que nous ne maîtrisons pas, en un mot contre ceux qui invoquent le déterminisme pour mettre en cause l’existence de la liberté, Sartre fait remarquer que la liberté ne prend précisément de consistance qu’au sein de situations

comprendre le texte ..........................41 Texte 7 : E. HUSSERL (1859-1938) ............................... 42 Pour mieux comprendre le texte ......................... 43 Texte 8 : H. BERGSON (1859-1941) .............................. 44 Pour mieux comprendre le texte ......................... 46 Texte 9 : H. BERGSON (1859-1941) .............................. 46 Pour mieux comprendre le texte ......................... 48 Texte 10 : M. PROUST (1871-1922) ............................... 49 Pour mieux

hiérarchise les êtres vivants selon qu'ils possèdent une âme végétative (qui rend possible la génération, la nutrition et la croissance des plantes, des animaux et des hommes), un âme sensitive (condition de la sensation et de la locomotion chez les animaux et les hommes) et une âme intellective (condition de la pensée, chez les hommes seulement) .La nature obéit, dans son ensemble, à un plan qui explique, sa structure hiérarchique. De la pierre à l'homme, on peut classer selon le degré de complexité