Bergson Dans Des Conditions Déterminées

15/03/12 Dissertation Exemple - Philosophie La dissertation est un exercice difficile car elle suppose la maîtrise d’une méthode et d’une structure déterminée. Nous vous donnons donc un exemple de dissertation, tant d’un point de vue méthodologique (forme) qu’éditorial (fond). Nous avons volontairement choisi un sujet de dissertation très classique : “La liberté est-elle une illusion ?” La liberté est-elle une illusion ? Travail préparatoire A) L analyse des termes du sujet : 1) La liberté

y_A^*,x_B^*,y_B^*) sont égaux : On peut utiliser l’égalité des TMS et la contrainte des ressources dans l’économie pour identifier l’ensemble des optima de Pareto. Attention ! Cette procédure est valide ssi les préférences satisfont les conditions énoncées. C’est le cas des fonctions d’utilité couramment rencontrées en économie. Contre-exemple : U_A= y_A,U_B= y_B Proposition Dans le cas où il y a 2 agents et 2 biens, et en supposant que les préférences des deux agents sont représentées

certaines pensées, de quelque nature qu’elle soit. En effet, un sujet conscient de lui-même devrait pouvoir justifier n’importe quelle réalisation de son psychisme. Or il semblerait que sa « conscience de soi » puisse ne pas elle-même se sustenter. Bergson en effet, affirma une théorie selon laquelle une ignorance à soi est nécessaire pour agir. En effet, un sujet est d’abord conscient du milieu dans lequel il vit, évolue et c’est ce même environnement qu’il lui permet d’acquérir une conscience de soi

savoirs). Le tome 3 porte sur La raison et le réel : la pratique (morale et politique). Le tome 4 comporte les œuvres étudiées : - les Méditations métaphysiques I et II de Descartes ; - le livre I du Contrat social de Rousseau ; - la conférence de Bergson : « La Conscience et la Vie », dans l’Énergie spirituelle Vous trouverez souvent, au début ou à la fin des cours, leçons ou études d’œuvre, le plan de la démarche adoptée par son auteur et, le cas échéant, un récapitulatif des indications bibliographiques

universelles de la morale, en tant que l’interdit du meurtre, tandis que l’éthique s’attacherait au particulier, ou que la morale ne prescrit que des lois générales qui doivent avoir un sens précis dans l’action, ce que donne l’éthique. Cela est vrai, à condition de ne pas couper l’une de l’autre. La morale prescrit les lois universelles de l’action, mais l’éthique fait entrer cette action dans le réseau de la particularité, et dans la visée de la vie bonne, selon la complexion propre à un individu. Quant

doit se présenter à lui comme une exigence, comme un impératif catégorique. La loi morale a pour Kant une valeur absolue c’est-à-dire que, à l’instar de Rousseau, il conçoit la conscience morale comme universelle, indépendante des variations des conditions de vie, du développement culturel, etc. Citons pour finir Alain qui dans la philosophie du 20ème siècle est l’un de ceux qui a le plus insisté sur l’importance de la conscience morale. Il conçoit celle-ci comme un retour sur soi, un redoublement

peut être appris d'après une règle quelconque». Les beaux arts doivent donc nécessairement être considérés comme des arts du génie. Que faut-il entendre par génie sinon « un talent qui consiste à produire ce dont on ne saurait donner aucune règle déterminée » ? Certes, l'art, comme toute production, exige des règles, mais celles ci ne pré-existent pas à l'œuvre. Aussi le génie peut être définit plus précisément comme le talent naturel de « donner des règles à l'art ». Il n'obéit qu'aux règles qu'il

communication suppose l'antériorité logique d'une pensée conceptuelle. Traité sociol., 1967, p.67. b) Connaissance discursive. Synon. raison.Un être vivant est un être observable, tandis que le tout de l'univers est construit ou reconstruit par la pensée (Bergson, Évol. créatr., 1907, p.15).Il faut que la pudeur, la honte, l'indignation, l'euphorie des idéaux, la sensation du juste et de l'injuste, soient des seuils infranchissables à la pensée (Valéry, Suite, 1934, p.79): 6. L'arsenal des opérations de l'esprit

L’indéterminisme ne constitue qu’une liberté insignifiante b. Le déterminisme n’est pas le fatalisme, bien au contraire c. Le déterminisme est nécessaire à notre liberté d. La facticité est la condition de la liberté 2. La liberté comme connaissance (Spinoza) 3. La liberté comme adhésion à soi (Bergson) IV. Liberté et morale A. Tu dois donc tu peux (Kant) B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) C. La liberté : un mythe nécessaire ? Conclusion Introduction La liberté… Quel joli

C'est donc cela une création qui fait intervenir le temps (cf Bergson) car, pour toute activité utilitaire, plus on la répète plus elle s'enchaîne répétitivement, moins on a besoin de temps pour la reproduire = Enchaînement rapide. Or l'art ne pourra jamais être réductible au temps, et c’est moins l’œuvre