Bergson Dans Des Conditions Déterminées

possibilité de parler ne se réduit pas aux dispositifs neurobiologiques et organiques, qui en sont , en quelque sorte une condition. Le langage = la faculté de s’exprimer et de communiquer. La langue = la forme particulière que prend l’exercice de cette faculté au sein d’une société (chinois, anglais, italien etc.) La parole = la mise en œuvre individuelle du langage dans une langue déterminée. MAIS langue et parole ne supposent pas essentiellement la voix, en effet un sourd-muet ne peut pas émettre de

raison sans méthode ni logique : la pensée rationnelle s’inaugure donc justement par le refus des préjugés et des arguments d’autorité et du consensus, sur lesquels le préjugé prend appui. Elle suppose un examen critique de son propre pouvoir, de ses conditions et de ses limites. La science naît donc avec le doute, l’esprit critique et l’esprit du libre examen ; elle se maintient et ne peut se développer sans eux. Le dogmatisme peut affirmer qu’il existe de bons préjugés, mais justement c’est une affirmation

chez l’animal, « l’instinct trouve à sa portée l’instrument approprié »,l’homme a la « faculté de fabriquer des objets artificiels, en particulier des outils à faire des outils » (Bergson : Évolution créatrice) Signe et témoin de son appartenance culturelle, l’activité technique tend à la réalisation d’une fin déterminée, elle nécessite un projet :l’anticipation du but à atteindre, l’adaptation de moyens à une fin ; certes l’homme possède la main : « elle semble bien être non pas un seul outil, mais

c’est une belle jeune fille. Cette définition pèche contre les règles de la raison puisque Hippias utilise dans la définition le terme à définir et qu’au lieu de proposer une définition générale, il se contente de donner un exemple particulier. Une condition est nécessaire à une bonne définition: qu’elle soit universelle. Or la définition d’Hippias ne satisfait nullement au critère de l’universalité. Socrate va la réfuter en indiquant qu’une jument peut aussi être belle, comme une lyre ou une marmite

d’autres formes de connaissances, pour autant que la science ne prétend pas être autre chose qu’une connaissance ( elle pourrait prétendre être une pourvoyeuse de valeurs morales, par exemple,-cf C. Royer, ou l’instance suprême qui déciderait des conditions d’organisation de la société, en prétendant ainsi assurer le bonheur des individus, une attitude que l’on qualifierait de “scientiste”.) NB 3: Si la science est bien un discours rationnel, elle manifeste en premier lieu la caractéristique de

 à composer des familles  d'esprits, à repérer les divers groupes qui se distribuent et s'équilibrent  dans une  littérature.  Evidemment  le  génie  qui  naît, qui  se  produit,  et  qui produit, implique d'abord une différence, une rupture avec tout le  reste : condition de son originalité, c'est­à­dire en somme de son être.  Mais l'œuvre une fois née, une fois grandie, une fois imitée, une fois  critiquée,  peut  être  classée  dans une série,  être  pensée  dans  un  ordre  littéraire, dans une famille, avec des ascendants et des descendants

L’indéterminisme ne constitue qu’une liberté insignifiante 18 b. Le déterminisme n’est pas le fatalisme, bien au contraire 18 c. Le déterminisme est nécessaire à notre liberté 19 d. La facticité est la condition de la liberté 19 2. La liberté comme connaissance (Spinoza) 19 3. La liberté comme adhésion à soi (Bergson) 20 IV. Liberté et morale 20 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 20 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 20 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 21 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques

L’indéterminisme ne constitue qu’une liberté insignifiante 18 b. Le déterminisme n’est pas le fatalisme, bien au contraire 18 c. Le déterminisme est nécessaire à notre liberté 19 d. La facticité est la condition de la liberté 19 2. La liberté comme connaissance (Spinoza) 19 3. La liberté comme adhésion à soi (Bergson) 20 IV. Liberté et morale 20 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 20 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 20 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 21 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques

L’indéterminisme ne constitue qu’une liberté insignifiante 18 b. Le déterminisme n’est pas le fatalisme, bien au contraire 18 c. Le déterminisme est nécessaire à notre liberté 19 d. La facticité est la condition de la liberté 19 2. La liberté comme connaissance (Spinoza) 19 3. La liberté comme adhésion à soi (Bergson) 20 IV. Liberté et morale 20 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 20 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 20 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 21 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques

le nuage est resté parfaitement le même. C’est donc ton jugement qui a profondément modifié ta perception du réel. La perception sensible n’est jamais neutre : nous avons aussi notre responsabilité dans ce que nous voyons. Auteurs : Henri Bergson Pensée L’intuition est une façon spécifique d’accéder au réel. Tandis que notre perception ordinaire utilise des concepts pour classer les objets, l’intuition accède à la durée qui traverse la matière même des choses et en constitue l’individualité