Bergson Descartes

Introduction Ce texte de Bergson, philosophe français de la fin du 19è et du début du 20e siècle traite de la conscience et montre que l'intensité de la conscience varie en fonction de nos actions. En effet la conscience, qui conduit à la conception d'un sujet à part entière, capable de réfléchir, de penser sur lui-même et sur le monde, se manifeste-t-elle toujours de la même manière ? Si la conscience est toujours présupposée dans toute pensée et dans toute action, nous n'avons pas toujours conscience

Quelle est la fonction principale de la conscience ? C'est la question que se pose Bergson dans l'extrait de La conscience et la vie auquel nous allons nous inétresser. Selon l'auteur, après description du terme de conscience, il nous indique qu'elle sert au premier lieu à la mémoire, à l'anticipation mais également au fait que nous agissions. Bergson décrit la conscience, de peur que donner une défintion d'elle vienne assombrir son propos. Il pose que la première fonction de la conscience est

la pensée et le corps. (Contrairement à Descartes qui disait que la Pensée est indépendante de toute chose extérieure, Bergson affirme ici que les idées et le physique d'une personne ont un rapport.)Mais ce point n’a jamais été contesté par personne, et il y a loin de là à soutenir que le cérébral est l’équivalent du mental, qu’on pourrait lire dans un cerveau tout ce qui se passe dans la conscience correspondante. → Dans cette première constatation, Bergson n'affirme rien de nouveau. Ce constat de

française ” Bersot 16. L’“entrain français et l'esprit voltairien ” E. Lavisse 17. “ L'âme française. ” Croiset 18. “ Idéal français et idéal humain ” E. Boutroux 19. “ La pensée française et l'idéal classique ” Henri Bergson 20. “ L’enseignement français ” UNIVERSITÉ DE PARIS Comité de Patronage des Étudiants COURS DE CIVILISATION FRANÇAISE À L'USAGE DES ÉTUDIANTS ÉTRANGERS LETTRES – DROIT Semestre d'hiver: du 3 Novembre 1920 au 28 Février

nous verrons ensuite s'il est possible d'opposer leurs arguments a d'autres en nous interrogeant sur ce qui finalement, défini un être humain. I LES ANIMAUX ONT TOUJOURS ETE CONSIDERES COMME DES ETRES SANS CONSCIENCE. Au 17eme siècle, René Descartes et d'autres philosophes de l'époque s'interrogeaient sur la conscience des animaux et plus précisément sur la part de conscience qu'il y aurait ou pas en eux. Cette réflexion les a poussé a une conclusion selon laquelle les animaux seraient dépourvus

proprement parler. Mais selon les postulats, il est tout de même possible de concevoir le néant. I. Analyse cartésienne D’après DESCARTES l’homme est « comme un milieu entre Dieu et ce néant » (Les Méditations métaphysiques, §4). Pour lui, la seule et unique vérité première, universelle, est : Je pense donc je suis (en latin cogito ergo sum). L'être, selon Descartes est indissociable de sa pensée : pour penser, il faut être, car si l'on n'est pas, il nous est impossible de penser. S'il n'est pas

Depuis toujours l'animal intrigue l'Homme, car c'est un être vivant qui d'après Descartes est démunie des toutes consciences. Or dans ce texte Bergson admet l'existence d'une conscience animale. Mais alors, en quoi consisterai celle-ci ? Cette conscience animale a-t-elle les mêmes fonctions que celle propre à l'humain ? Dès la première ligne du texte le philosophe admet que l'animal peut avoir une conscience cependant radicalement différente de celle de l'Homme. Il s'explique ensuite en disant

revenir comme saisi de lui-même. Avant René Descartes, le terme de conscience était généralement lié à l’action et entendu dans le sens de conscience morale désignant ce retour sur soi par lequel nous savons que nous agissons, en même temps que nous portons un jugement sur nos actions. La conscience morale implique donc la reconnaissance de certaines valeurs et la libre adhésion à ses valeurs. En ce sens, on dit qu’elle est normative. Selon Henri Bergson, philosophe français du XIXème-XXème siècle

identité (rapport au temps) • La conscience est inscrite dans le temps. Elle est permanente par delà tous les changements. On n'est plus aujourd'hui celui que l’on était hier, on se sent encore soi-même, c’est le paradoxe de la conscience. • Selon Bergson , la conscience est un fil tendu entre le passé et l'avenir (mémoire et anticipation). Pour être soi-même, il faut à chaque instant présent être capable de se souvenir de soi. Le présent est pour la conscience un point de convergence entre deux mémoires

Si nous sommes conscients et pouvons tre conscients de ltre, nous ne pouvons tre conscients de la conscience des autres. Jusquo stend donc la conscience Tel est le problme que rsout Bergson dans cet extrait deLa conscience et la vie. Le philosophe veut montrer que la conscience peut tre attribue tous les vivants, bref, quelle appartient la vie. Pour cela il analyse la conscience en nous pour montrer comment il est possible quun vivant qui semble plutt inerte peut tre rput dou dune conscience endormie