Bergson Le Pouvoir De Faire Des Choix

A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre

préparatoire A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi

physique) Nouménale : pour soi (Hegel)= réflexivité, être doté d’esprit, capacité d’introduire entre lui et tte autre chose la pensée (Pascal) ➢ Analyse du pouvoir de dire JE (Kant) - représentation de l’hme à lui-mm (dématérialisation au profit d’une pensée abstraite), sujet pensant, réflexivité = supériorité ontologique (seul être à faire retour sur soi) - une personne =connotation morale, réflexivité ( jugement moral, autonomie (gouverner par la raison), responsabilité = auteur de ses actes

douce à la douane. L’écriture minimaliste de Minuit : Deville, Echenoz, Redonnet, Toussaint. Amsterdam, Rodophi 1997, p. 16. 4 Michèle Ammouche-Krémers, « Entretien avec Jean-Philippe Toussaint », op. cit., p. 27. 5 Un septième texte, qui s’appelle Faire l’amour sera publié en septembre 2002 aux Éditions de Minuit. 6 Jean-Philippe Toussaint, Monsieur, Les Éditions de Minuit, 1986. 7 Jean-Philippe Toussaint, L'Appareil-photo, Les Éditions de Minuit, 1989. 8 Jean-Philippe Toussaint, La Réticence, Les

d’avoir peur du progrès technique ? 2. Objets techniques (machines, ordinateurs…) et techniques comme savoir-faire (techniques artistiques, spirituelles) ; la technique (du grec technè) comme « art de… » (ex : la technique rhétorique = art de bien parler). 3. Parce que le monde est technique, il condamne à s’en remettre aux experts, techniciens. D’où la constitution d’un nouveau type de pouvoir : la technocratie. Technocrate : « Homme d’Etat ou haut fonctionnaire qui fait prévaloir les facteurs techniques

aspects, s’avérer comme un bienfait, dans le sens où il est profitable à l’homme et peut constituer une possibilité d’ouverture sur le monde. Dans les sociétés primitives, le travail était perçut comme une activité comme une autre, destinée à faire vivre. Il participe au bien-être de l’homme dans la mesure où il est considéré comme étant un but de vie à atteindre. La relation entre activité et objectif est alors vécue comme un divertissement, un passe-temps et non pas motivée par l‘appât du gain

Notion: Conscience : il n'est pas si facile de définir la conscience. Bergson * estimait ainsi que toute définition de la conscience « serait moins claire qu'elle » : « Vous pensez bien, écrivait-il, que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi constamment présente à l'expérience de chacun de nous. » En un sens, en effet, la conscience ne m'est pas extérieure : "ma" conscience n'est pas une chose ou un "être", c'est l'activité par laquelle il y a des choses et des êtres. On peut d'ailleurs

règles et d'interdits qui supposent une maîtrise des instincts et des pulsions. L'actuelle sécularisation des sociétés occidentales soulève donc une question cruciale: nos sociétés postmodernes peuvent-elles échapper au règles de l'individualisme, et faire pièces aux fanatismes de tous bords? Oui répond le philosophe André Comte-Sponville, dans l'Esprit de l'athéisme, à condition que nous sauvegardons le sens des valeurs partagées, car une société peut tenter de vivre sans religion, mais elle ne peut

préparatoire A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous sesdésirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi

le concept ne préexiste pas à l'oeuvre, qu'il faut d'ailleurs distinguer du produit fabriqué selon des contraintes techniques. C'est l'inspiration qui dépossède l'artiste lors du processus créatif. Pour Paul Valéry, il n'y a pas de recette pour faire un chef-d'oeuvre. Il convient de différencier l'artiste de l'artisan. Ce dernier reproduit de façon conventionnelle ce qu'il a appris. Ainsi celui qui copie un artiste n'est pas un artiste lui-même, mais un habile artisan. En ce sens l'art académique