Bergson Le Pouvoir De Faire Des Choix

ISTRES 2011/2012 BTS 2ème année CORRECTION DE LA SYNTHESE DE DOCUMENTSTHEME 1 : RIRE, POURQUOI FAIRE ? | A l’image de Triboulet, bouffon de Louis XII et François Ier, les bouffons en plus de divertir le souverain, jouent un rôle essentiel sur le plan politique en s’imposant comme une forme de contre-pouvoir, par l’expression de la voix du peuple. Mais ce contre-pouvoir, s’il s’exerce souvent en vue de corriger et de dénoncer, s’attaque parfois aux défauts humains en utilisant la moquerie

Fiche de lecture: Bergson: "La conscience et la vie" (Edition Magnard. Collection Texte et contexte). I. Henri Bergson (1859-1941): 1. Notice biographique: Henri Bergson naît à Paris dans une famille juive. Après un passage à l'Ecole Normale Supérieure, il est reçu second à l'agrégation de philosophie en 1881. Professeur dans différents lycées puis à l'ENS, il poursuit parallèlement un travail d'auteur. Après la publication de "Matière et mémoire" en 1896, il est admis au Collège de

propre de la vie et du vivant. C’est cet aspect du vivant qu’analyse ici Bergson en réfléchissant sur ce qui différencie la conscience de l’animal et la conscience humaine. Car en effet s’il ne nie pas que l’animal ait une conscience, il ne tombe pas non plus dans l’écueil de l’anthropomorphisme et insiste sur la différence de nature et non simplement de degré qui différencie la conscience animale de celle de l’homme. Bergson parle en effet, dès les premières lignes de ce texte, d’une différence

ce n’est pas contrarier les exigences spontanées de sa vitalité ? Est-ce que ce n’est pas lui imposer de mourir un peu. Dans Le Phédon, les amis de Socrate sont étonnés de sa sérénité. Socrate dit qu’il a passé sa vie à mourir, il dit que pour pouvoir concentrer il doit se libérer de son corps ; soma séma ; le corps est un tombeau. Il dit que le corps le harcèle en permanence, Socrate dit que pour philosopher il faut mourir à son corps. Est-ce que l’enfant qui ne peut pas bouger on ne lui impose

Auteur du XX eme siècle Henri Bergson publia son œuvre « L’énergie spirituelle » en 1919. C’est de celle-ci qu’est extrait le texte étudié. Centré sur la notion de conscience et de vie le problème centrale de l’extrait est de savoir si tous les êtres vivants sont des êtres conscients, ou si la conscience ne couvre-t-elle pas qu’une unique partie du domaine de la vie. C’est suite à ce problème que Bergson émet la thèse suivante : Et si tous les êtres conscients n’étaient pas tous vivants. Vien ensuite

il est question. »  Finalité de l’exercice définie par le bulletin officiel : « Le texte doit être choisi de telle sorte qu'il permette de poser, éventuellement de résoudre, un problème philosophique qu'il s'agit de saisir en lui-même. Pour le faire, et pourvu qu'il le fasse, le candidat n'est soumis à aucune méthode imposée ; il suffit que l'étude du texte n'en soit pas la paraphrase [répétition du texte qui ne saurait le rendre plus clair] et qu'elle soit ordonnée, c'est-à-dire qu'elle soit

de cas où cette probabilité est assez haute pour équivaloir pratiquement à la certitude. » Bergson, l’énergie spirituelle Intro : Peut-on savoir avec certitude qu’un être est conscient ? La conscience peut-elle se prouver par l’expérience ou le raisonnement ? Par l’analogie ? C’est à ces questions qu’il nous est proposé de réfléchir à l’occasion de ce texte de Bergson. L’auteur y défend la thèse selon laquelle on ne saurait produire aucun raisonnement ou argument

Explication de texte n°2 Le point de départ de la philosophie de Henri Bergson (1859-1941) est sa découverte de la durée. Le temps n'est pour lui qu'une succession d'instants mobiles et il oppose ce temps réel à un temps abstrait qu'il nomme « durée ». Celle-ci possède trois caractères principaux qui la différencient du temps abstrait, la continuité, alors que le temps abstrait peut être fractionné en moments distincts, l'indivisibilité, parce qu'elle constitue un tout et que son essence provient

Bergson Sartre Passé : Dimension du temps écoulé dans son irréductible irréversibilité. D'ordre biologique, pulsionnel, social, historique ou psychologique, le passé pèse sur l'homme dans le sens du déterminisme, mais, il structure aussi activement la personnalité sans laquelle la liberté serait impossible ou illusoire. La liberté qui peut d'ailleurs s'exercer à l'égard du passé lui-même, dans la mesure où le sens accordé au passé reste du choix de l'individu

plus ancien dans la mémoire de chacun de nous, comme dans celle de l’humanité. Nous nous en apercevrions si ce souvenir n’était recouvert par d’autres, auxquels nous préférons nous reporter. Que n’eût pas été notre enfance si l’on nous avait laissé faire ! Nous aurions volé de plaisirs en plaisirs. Mais voici qu’un obstacle surgissait, ni visible ni tangible : une interdiction. Pourquoi obéissions-nous ? La question ne se posait guère ; nous avions pris l’habitude d’écouter nos parents et nos maîtres