Bertrand Schwartz

orientations majeures du législateur à l’égard des jeunes Le point de départ officiel de la politique nationale en faveur des jeunes est affirmé au début des années 1980. L’élément déclencheur de cette politique fut le rapport Schwartz. En septembre 1981, le Rapport de Bertrand Schwartz intitulé « L’insertion professionnelle et sociale des jeunes », est remis au Premier ministre Pierre Mauroy. Selon le conseil national des Missions Locales, il préconise une politique d’ensemble concernant la qualification

I. La structure En septembre 1981, le professeur Bertrand SCHWARTZ mettait en avant l’importance de créer un « dispositif d’animation au plus près des jeunes, qui propose un accompagnement local, global et individualisé». Il étudia la question plus profondément et remit au Premier Ministre un rapport, en expliquant le développement du chômage des jeunes et les débouchés sans diplôme. Il précisa aussi la mise en œuvre d'une politique d'insertion sociale et professionnelle, reposant sur des structures

méthodes pédagogiques et la mise à disposition du réseau Greta comme lieu pour l’action de formation. 2. La Mission Nationale Nouvelle Qualification MNNQ La mission nationale nouvelle qualification a été créée à l’initiative de Bertrand Schwartz. Bertrand Schwartz, ancien élève de l’école polytechnique et ingénieur du corps des mines de Paris est né en 1919. Il devient directeur de l'École des Mines de Nancy puis délégué interministériel à l'insertion professionnelle et sociale des jeunes en

illustre cette différence. Le texte d’Olivier Schwartz analyse des chômeurs de longue durée et le texte de François Dubet La Galère qui parle des jeunes de banlieues. Ces deux études montreront que les deux groupes d’exclus « n’ont ni la même trajectoire, ni le même vécu, ni le même rapport au monde, ni le même avenir ». D’ailleurs Robert Castel développera la notion de « monde entier » pour illustrer l’exemple des chômeurs de longue durée d’Olivier Schwartz. La démystification de Robert Castel réside

« socio-professionnelle »Il est difficile de trouver une définition exacte du terme d’insertion socio-professionnelle. Essayons d’en dégager une au regard des différents éléments dont nous disposons : · Origine de l’insertion : rapport de Bertrand Schwartz (1981 ) pour l’insertion sociale et professionnelle des jeunes sortant de l’école sans diplôme qui fait prendre conscience de la globalité des phénomènes de précarité et d’exclusion, et qui marque le premier pas vers l’institutionnalisation

Les Missions Locales Définition : La mission locale est un espace d'intervention au service des jeunes. Les missions locales ont été créées par ordonnance en Mars 1982 à la suite du rapport Schwartz. Elle assure des fonctions d'accueil, d'information, d'orientation et d'accompagnement pour aider les jeunes de 16 à 25 ans à résoudre l'ensemble des problèmes que pose leur insertion professionnelle et sociale. Chaque jeune accueilli bénéficie d'un suivi personnalisé dans le cadre de ses démarches

l’Association québécoise des critiques de théâtre. De 2000 à 2004, il dirige le Théâtre de Quat'Sous à Montréal. C'est en 2005 qu'il fonde les compagnies de création Au carré de l’hypoténuse en France et Abé carré cé carré à Montréal avec Emmanuel Schwartz. Reconnaissance Ses nombreux succès outre-Atlantique, tels que Littoral (1997) ou encore Incendies (2003), lui apportent la reconnaissance du public et lui offrent la possibilité de revenir en France. L’ensemble de son travail sera à maintes

Au cinéma et à la télévision, avec Pol Cruchten, Jean Delannoy, Peter Greenaway, Serge Friedman, Elias Mehrige, Andy Bausch, Nicole Nadine Deppe, Sophie Langevin & Jako Raybaut, Béryl Koltz, John Strickland, Marina De Van, Carla Lia Mon�, Renaud Bertrand. Vincent Schmi� - Auguste Vincent débute sa forma�on à l’Ecole Florent avant d’intégrer le Conservatoire Na�onal d’Art Drama�que de Paris dans les classes de Viviane Théophilidès, Michel Bouquet et Gérard Desarthe. Au théâtre Vincent a travaillé

dans l’utilisation de ce concept pour désigner sans différenciation des individus sans lien véritable. Robert Castel va invoquer deux études qui présentent deux cas d’exclusion pour illustrer cela : une analyse des chômeurs de longue durée d’Olivier Schwartz en opposition à l’analyse des jeunes de banlieues dans l’étude La Galère par François Dubet. Le vécu, la trajectoire, les buts et les ressentis de ces deux types d’acteurs tous deux considérés comme des « exclus » sont en effet très différents, voire

à un emploi, aux chômeurs de longue durée incapables de se réinsérer professionnellement et aux familles précarisées qui ne tiennent plus dans les normes sociales en matière d’éducation, de logement ou d’accès aux soins. 1er octobre 1981  Bertrand Schwartz remet au Premier Ministre un rapport préconisant, face au développement du chômage des jeunes et aux sorties de l’école sans diplôme, la mise en œuvre d’une politique d’insertion sociale et professionnelle des jeunes, reposant sur des structures