Betise Bourgeoise

plusieurs nouvelles publiées dans le colibri (journal de Rouen). A 16 ans il écrit « les mémoires d'un fou » qui rappelle les passions pour la femme et avec ses amis créer le personnage du Garçon. C'est un personnage qui est l'incarnation de la bêtise bourgeoise que l'on retrouvera dans Charles et faisaient des sketch avec ce personnage (bourgeois ridicule). Il obtient son bac a 18 ans et entre a la faculté de droit a Paris et ne réussira sa première année (comme Charles). Il ne voulait pas faire des

formulation cinglante « ces vieux singes de cour », tandis que La Fontaine évoque plus sèchement au début de sa fable la « société » établie entre le lion et la génisse la chèvre et la brebis) ; les textes C et D visent l’i nanité des mœurs bourgeoises, dans des circonstances sociales plus ou moins rituelles (che z Verlaine, le titre – « L’Enterrement » - 12FRESEAME-LRM1-C Page 2 sur 8 du sonnet annonce une galerie de brefs portraits t out à fait homogène ; dès le début du poème de Rimbaud

révolutionnaires (l.33) * "Puisqu'on était victorieux, ne fallait-il pas s'amuser !" (l.32) : satire du peuple ⇒ F comme Baudelaire interroge lecteur : La démocratie est-elle le règne de la bêtise ? œuvre de F hantée par cette question et même dans Bouvard et Pécuchet ou bien Madame de Bovary où l'idée de bêtise bourgeoise reprise. Dans cet extrait, Flaubert joue sur la satire des parisiens révo. Il s'appuie sur l'illusion du vrai, sur un contexte historique précis, sur des personnages témoins de l'évènement

critique de la bourgeoisie : • «tous» (v.3) et «clubs d’épiciers» (v.13) → pas un seul n’échappe à la règle. • «traînent leurs grosses dames» et «officieux cornacs» (v.9-10) hommes > femmes → reprise de l’idéologie bourgeoise. • «bêtises jalouses» (v.4) → mesquinerie bourgeoise. • «soulignent tous les couacs» (v.9) → ils ne viennent que pour repérer les défauts pour médire → rabaisser l’orchestre. • «réclame» (v.12) et «épatant» (v.17) + métaphore «pend à ses breloques à chiffres» (v.8) →

Gustave Flaubert Réaliste ou pas ? * Principes de Gustave Flaubert : « tout sacrifié à l’art » pour « bien écrire le médiocre » et dénoncer la bêtise humaine. * Refus de la fidélité au réel * « On me croit éprit du réel, tandis que je l’exècre, […] J’ai fait madame de Bovary pour embêter Champfleury. J’ai voulus montrer que les tristesses bourgeoises et les sentiments médiocres peuvent supporter une belle langue. » Lettre à Edma Roger des Genettes du 30 Octobre 1856. * Madame de Bovary :

Dénoncer la Bêtise Dans sa Correspondance, Flaubert revendique l'impersonnalité de son roman. En revanche, plusieurs procédés montrent qu'il n'est pas impartial. Avec Madame Bovary, il a "inventé" ce que l'on appelle un réalisme pessimisme. En effet, son combat de prédilection et universelle est le combat contre la Bêtise. Dans l'ensemble du roman Flaubert n'épargne personne. Deux personnages sont l'archétype de la Bêtise, Homais et Bournisien, mais aucun autre personnage n'y échappe. La Bêtise semble

utilise le prénom Cathos pour que les personnes fasse un rapprochement entre ce personnage et Catherine de Scudéry qui était une précieuse célèbre. Cathos et Madelon sont deux bourgeoise qui n’assume pas leurs rangs social car elle souhaiterait faire partie de l’aristocratie, Molière les faits passer pour des bourgeoises pédante qui rebute leurs amant car elles sont contre les aspects du mariage (il ne se peut rien de plus marchand que ce procédé) et trouvent ces deux seigneurs peu dignes de leur

le-prix-Nobel-quand-ses-contemporains-cèdent-aux-honneurs ( il s’agissait bien , maintenant qu’il était mort et donc silencieux de lui assigner l'identité forcément postiche de l' «intellectuel engagé». Il n’était plus là pour vous renvoyer la bêtise bourgeoise de vos propos. On le statufia, on le mit en une, on le mit en chiffres («quinze mille pages»!), on disséqua l'individu pour vendre du papier, on traqua dans l'urgence le scoop et la photo inédite, on multiplia les témoignages et les indiscrétions

milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec minutie et objectivité. Il s’oppose au romantisme et veut faire de la littérature le reflet de la réalité en dépeignant la société : l’importance des classes moyennes, ouvrières et bourgeoises, le déclin de la noblesse, avec l’importance de l'histoire et du contexte, parfois avec des connaissances scientifiques (naturalisme). Ce mouvement veut en effet faire de la littérature le reflet de la réalité en dépeignant la société. Stendhal

illusion. A travers cette 1re partie, l’auteur dénonce la bêtise des familles bourgeoises qui croient protéger leurs filles en leur cachant les choses de la vie. Finalement ils ne font que cultiver leur naïveté et leur ignorance qui les mènera vers une fatalité et pas des moindres. Il revient aussi sur le grand impact de la littérature chevaleresque sur ses lecteurs, qui a fait beaucoup de victimes émotionnelles. Cette littérature bourgeoise qui tend à tromper le peuple. Jeanne la jeune femme :