Bicouche lipidique

rôle actif dans l’établissement des liaisons « hydrogène » qui sont à la base du stimulus sucré. Ce modèle présente quatre caractéristiques principales : ← Il défend l’hypothèse du récepteur unique AH-B/X qui serait situé dans la bicouche lipidique de la cellule sensorielle. ← Pour accéder au site récepteur, la molécule doit avoir une taille minimale. Le volume spécifique Vs (volume par unité de masse de la solution) permet de discriminer les différentes saveurs (Birch, 1994) :

Introduction Le contrôle de l’homéostasie énergétique fait appel à des corrélations hormonales et nerveuses complexes dans lesquelles l’insuline occupe une place prépondérante et unique à certains égards. Aucun des trois grands métabolismes (glucidique, lipidique, protéique) n’échappe au contrôle de l’hormone, qui les oriente dans le sens de l’anabolisme et s’oppose aux effets cataboliques de nombreux autres facteurs. Très schématiquement, l’insuline favorise la mise en réserve de glucose sous forme de glycogène

: PROTEINE PERIPHERIQUE = PROTEINE EXTRINSEQUE MEMBRANE PLASMIQUE = BI-COUCHE LIPIDIQUE PROTEINE TRANSMEMBRANIRE = PROTEINE INTRINSEQUE Contient : – Protéine : 55% : – Traverse la membrane plasmique de part et d’autre : protéine trans-membranaire (intrinsèque) – Localisé sur une seule face de la membrane plasmique : protéine périphérique (extrinsèque). – Lipides : 35% – Phospholipides : Bicouche – Cholestérol : stabilisateur de la membrane plasmique – Glucides: 10% – Polysaccharide

très complexes et notamment des bicouches qui se replient en vésicules. Une bicouche est une paroi, plongée dans l'eau, dont les deux faces sont composées de têtes hydrophiles, les extrémités hydrophobes étant rassemblées à l’intérieur de la bicouche. Une vésicule est un petit sac plein d’eau, qui flotte dans l’eau, et dont la paroi est une bicouche. Les cellules des êtres vivants sont des vésicules très élaborées. Leur paroi est essentiellement une bicouche lipidique, mais elle est beaucoup plus complexe

ou – pareil que les Gram + avec petites différences. Il y a une ancrage du peptidoglycane qui est à la membrane externe, et non à la membrane interne (contrairement au gram +). La membrane interne ressemble la membrane interne chez les Gram +, bicouche de phospholipides avec protéines ancrées avec même type de fonctions associées avec ces protéines. Ensuite une mince couche de peptidoglycane qui reste liée à la membrane externe via une protéine qu’on appelle lipoprotéine spécifique, lipoprotéine

de l’organisme sont délimitées par une membrane plasmique hydrophobe permettant le maintien de l’intégrité cellulaire, la compartimentalisation ou encore la régulation des échanges cellule/environnement. Cette membrane est constituée par une bicouche lipidique et forme une barrière physique semi-perméable entre le milieu extracellulaire et le cytoplasme et est constituée majoritairement de lipides. Parmi ces lipides, on retrouve les canaux ioniques qui sont en réalité des protéines transmembranaires

neuromédiateurs dans la fente synaptique) . Schéma A, p297 6) Fixation sur des récepteurs Les neuromédiateurs se fixent sur les récepteurs  qui se trouvent sur la membrane post-synaptique. Chaque récepteur est inséré dans la bicouche lipidique. . Le neuromédiateur (ligands)  : clé c’est la spécificité d’interaction Le récepteur : serrure Chaque neuromédiateur a un récepteur particulier. Le récepteur est une protéine qui a une configuration spatiale déterminé Le couplage

entre eux ou avec des atomes d’oxygène, d’hydrogène, d’azote, de phosphore ou de soufre. On distingue quatre grands types moléculaires : les glucides, les lipides, les acides aminés et les acides nucléiques (figure 2). Mises à part les molécules lipidiques, l’assemblage de petites molécules permet de former des molécules de grande taille, ou macromolécules (n glucose → 1 glycogène). Figure 2 Les quatre grands types de molécules biologiques A : Glucides (Glucose). B : Lipides (Acide palmitique)

dérivée des membranes cellulaires, cytoplasmique, golgienne, ou nucléaire selon les virus. En effet, les virus à péplos terminent leur multiplication dans la cellule par bourgeonnement. Des glycoprotéines d’origine virale s’insèrent dans la bicouche lipidique caractéristique des membranes cellulaires. Ainsi, la capside et le génome d’un virus enveloppé comme le virus de la grippe s’assemblent en une nucléocapside sous la membrane cytoplasmique. Le virus va sortir de la cellule (ou plutôt être

I-15-Les nez artificiels: Un nez artificiel est constitué d'un ensemble de capteurs chacun faiblement sélectif à un composé chimique. Il existe des capteurs de type oxydes métalliques, de type polymères conducteurs et des biosenseurs à base de bicouches lipidiques. Ces capteurs sont associés à un dispositif de traitement des informations par réseau de neurone formel de type percepteur multicouche. Après une période d'entraînement, supervisée à l'aide d'une règle de rétropropagation de l'erreur, ces