Bienséance Le Cid

tragi-comédies (Le Cid, 1636), pastorales, tragi-comédies pastorales ou pastorales comiques. Il n'y a pas de règles : le style est tout à fait libre. Les dramaturges célèbres sont alors Calderón en Espagne, Shakespeare en Angleterre et Corneille en France. A partir de la seconde moitié du XVIIème siècle, sous le règne de Louis XIV, un idéal esthétique et humain va peu à peu émerger et s'opposer au baroque : c'est le classicisme. Cet art est régit par des règles (unités au théâtre, bienséances et vraisemblance)

utilisé par La Commedia dell’Arte joué par les italiens. Celui là n’est pas crédible car on ne porte pas de masques dans la vie réelle. Ainsi que la bienséance est un autre des événements pas véridiques, dans la vie réelle la mort peut être vue, elle n’est jamais cachée ou résumée par quelques lignes de paroles formulées par un personnage. La bienséance est utilisée lors de la mort d’Hermione dite par Pylade dans le dernier acte d’Andromaque de Racine ainsi que la mort de Pyrrhus dite par Oreste.

Les personnagesDon Rodrigue (Rodrigue) : fils de Don Diègue et amant[3] de Chimène. Cid est un surnom de guerre qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. Chimène : fille de Don Gomès et maîtresse[4] de don Sanche et de don Rodrigue dont elle est aussi l’amante. Don Gomès (le comte) : comte de Gormas et père de Chimène. Don Diègue [de Bivar] : père de don Rodrigue. Doña Urraque (l’Infante) : Infante de Castille[5], secrètement amoureuse de don Rodrigue.

Britannicus, Esther … De Jean Racine Tragicomédie : Style dejeu dramatique ou d’écriture theatrale alternant ou melant divers genres theatraux : Comique, tragique, mélodrame, farce ou autre peuvent s’y cotoyer. Exemple de Tragicomedie du 17eme sicle : Le Cid de Corneille Comedie-ballet : Genre dramatique, musical et choregraphique, la comedie-ballet est inventé par Moliere en 1661 pour sa piéce Les Facheux. Melant la musique et la dans dans une action unique, la comedie ballet traite des sujets contemporains

un succès immense en janvier 1637 avec Le Cid, ce drame occupe tous les esprits parisien de l’époque. Suite à la sortie de cette pièce Corneille se voit affronter la jalousie de ses rivaux, qui lui reproche entre autre de n’avoir pas respecté les règles d’or du théâtre (bienséance, vraisemblance) et de n’avoir pas respecté les trois unités (temps, lieu, action). Ainsi que d’avoir copié des auteurs espagnol tel que Castro ou Guillén. Cette querelle du Cid dura presque trois ans. En 1640, il écrit

sicèle-  Définition : Le classicisme est un mouvement qui s'oppose au baroque car ils posent de nombreux fondements rigoureux.  Le mot en lui même signifie "excellent" du latin "classicus". Les auteurs du classicisme posent les règles de la bienséance, de l'honnêteté et de la politesse. Ils se veulent clair et concis préférant se baser sur le général que le particulier.  C'est aussi le mouvement de la raison et des règles, de nombreux principes sont posées comme la hierarchisation des "styles

registres de langue, au nom de la sacro-sainte règle de la bienséance (voir plus bas). - L’établissement de règles et de contraintes, et ce dans tous les genres littéraires. Citons pour le théâtre la règle des trois unités (unité de lieu, de temps et d’action) édictée par Boileau dans son Art poétique : « Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli/ Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli .» La règle de la bienséance est également établie, au nom de la vraisemblance : il

La comédie et la tragédie au XVIIe siècle I Les règles de la tragédie classique au XVIIe siècle A La vraisemblance et la bienséance 1 La vraisemblance Vraisemblance La vraisemblance désigne la cohérence qu'une pièce de théâtre doit avoir. Elle sert à renforcer la réalité d'une pièce : le spectateur doit pouvoir la considérer comme vraie. Cela ne veut pas dire que les faits sont véridiques, mais qu'ils sont crédibles. Dans Bérénice de Jean Racine, la vraisemblance veut que Titus n'épouse pas Bérénice

tragédie classique respecte la règle des trois unités (unité d’action, unité de lieu et unité de temps). Elle doit respecter la vraisemblance et la bienséance. Le dénouement d’une tragédie est généralement tragique (par exemple la mort). Elle est composée de 5 actes. Racine et Corneille sont les grands auteurs de la tragédie classique (avec par exemple Le Cid pour Corneille et Phèdre pour Racine). La comédie cherche à divertir le spectateur, à le faire rire. Contrairement à la tragédie, dans la comédie

traverse l’esprit d’un personnage en présence d’un autre personnage qui ne l’entend pas, son étymologie a parte n’impliquant pas un éloignement physique ; en fait véritable adresse au public ». D.E.T. Bienséance  : « la bienséance renvoie au code éthique du public (ce qui est convenable et non choquant) et constitue, avec la vraisemblance, l’une des contraintes culturelles qui conditionnent la mise en intrigue du sujet et la représentation. » B. L.