Bienséance Le Cid

théâtre &la complexification de l’intrigue romanesque | - utilisation de maximes,-litotes (pour respecter la Bienséance)- parallélisme & symétrie | - dialogue argumentatif-ironie, implication du lecteur- éloquence | Ecrivains & œuvres | D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ;D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’IllusionComique,1636) ;Viau (Œuvrespoétiques,1621) | Corneille (Le Cid,1637), Raci-ne(Andromaque,1667), Molière(L’Avare,1668), La Fontaine(Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères

l’effet, de la complexité. - Il développe une nouvelle vision du monde : un monde instable, en désordre, en chaos, qui change, qui est éphémère (qui dure pas longtemps) et qui n’a pas de règles ; - Les auteurs célèbres : * Corneille (le Cid, Horace). * Shakespeare (Roméo et Juliette, Le Songe d’une nuit d’été) ; * Calderon. -La Préciosité : Roman, Poésie lyrique - Mouvement culturel et littéraire français du XVIIème siècle (1610 à 1660) ; - Il repose sur la volonté de

chef-d’œuvre demeure Le Cid), genre apprécié dans la première moitié du xviie siècle mais sorti des mœurs du public sous le règne de Louis XIV. À la même époque, Jean-Baptiste Lully met au point avec Philippe Quinault une forme de spectacle hybride, la tragédie en musique ou tragédie lyrique, qui donnera naissance au genre de l’opéra français. La tragédie française classique se devait de respecter la règle des trois unités : de lieu, de temps, et d’action, mais aussi celle de la bienséance (pas de combats

l’alexandrin -l’antithèse, les effets de - utilisation de maximes, maximes, -multiplication des métaphores contraste et l’hyperbole -litotes (pour respecter la -la citation de la Bible et des et des allégories, -le théâtre dans le théâtre & Bienséance) textes de l’Antiquité, -création de mots nouveaux la complexification de - parallélisme & symétrie -interpellation du lecteur l’intrigue romanesque T. More (L’Utopie,1516), Erasme (Eloge de la folie,1509), Ecrivains & Rabelais (Pantagruel

marin, cela, qui pourrait paraitre invraisemblable aujourd’hui, ne contredisait pas la règle de vraisemblance, puisqu’il était fidèle aux données du mythe grec. Nicolas Boileau « Le vrai peut quelque fois n’être pas vraisemblable. » -règle de bienséance (découle du principe de vraisemblance) : Respecter le goût du public, ne pas heurter sa sensibilité, ni les codes de bonnes manières. Ce souci d’ordre moral et esthétique s’accord avec le sens de la mesure, de la sobriété et de l’élégance qui caractérise

reste imprégnée des préjugés à son encontre. Afin de plaire au roi et de s’assurer un public, il présente sa pièce en impliquant des personnages de haut rang. Enfin, Rotrou permet à ses personnages de prononcer des paroles éloignées des règles de bienséance. D’ailleurs, la pièce joue sur l’ambiguïté d’une part du rôle joué par Fabrice et d’autre part, du rôle du roi, fortement remis en question. Inventio : Au moment où a été écrite la pièce de La Bague de l’oubli, le choix des sujets des comédies

fut codifiée de la manière suivante : - la règle des trois unités : la pièce doit se dérouler en 24 heures (unité de temps), en un lieu (unité de lieu) et ne contenir qu’une action principale (unité d’action). - la règle de vraisemblance et de bienséance : le sujet doit paraître vrai puisque le théâtre se voulait une imitation de la vie réelle. En outre, la pièce doit être convenable, elle ne doit pas choquer le spectateur. d. La querelle des Anciens et des Modernes On désigne par cette expression

Sophocle représente aux yeux d’Anouilh un prétexte pour ne pas se conformer aux règles habituelles du théâtre, ce qui est particulièrement évident dans le prologue on peut donc dire que le prologue d’Anouilh est de « l’anti-théâtre ». Question 2 Le Cid est une tragi-comédie du 17ème siècle écrite par Corneille, qui relate les exploits de Don Rodrigue, jeune noble espagnol. Le conflit entre Don Gormas, père de Chimène, et Don Diègue, père de Rodrigue, qui se disputent le titre de précepteur du fils

soutenir, Je le remets au tien pour venger et punir. (Acte I, scène 4) La réparation d'un affront public doit se faire en public ; dans son "examen de la pièce", Corneille évoque en détail ces problèmes de mise en scène, de vraisemblance et de bienséance ; cette dernière exige que le duel n'ait pas lieu sur scène mais soit censée se dérouler en coulisse : "J'achève par une remarque sur ce que dit Horace, que ce qu'on expose à la vue touche bien plus que ce qu'on n'apprend que par un récit. C'est

qui précède le tragique, juste avant la mort. Les trois unités : Unité de temps : < Aristote. Cette règle sera discutée en Italie au XVIème, elle sera également objet de débat en France au XVIIIème. Corneille fera triomphé cette règle avec Le Cid. Racine, toutes ses pièces = quelques heures. Phèdre : une journée. Unité de lieu : règle créée par les théoriciens italiens au XVI, dans le but de rapprocher l’espace et la temporalité de la fiction / temporalité du spectateur. Selon D’Aubignac