Bienséance

toutes les caractéristiques du mouvement, l’homme honnête, la bienséance et perso nobles. Cette scène est la première rencontre des 2 perso Mme de Clèves et le Duc de Nemours, elle s’effectue a l’occasion du bal donné en l’honneur des fiançailles entre M. de Lorraine et Mme Claude de France. Nous aborderons dans une 1ère partie le classicisme de cette scène par l’évocation du coup de foudre, nous traiterons dans une seconde partie la bienseance sociale de cette scène et puis dans une troisieme et derniere

Vraisemblance et bienséance • Vraisemblance => cadre réel clairement établi : « Le Louvre » (emblème de l’architecture classique) et la cour « d’Henri II »  Ces 2 personnages vont assister à un évènement particulier « les fiançailles de la Dauphine » (où les plus grands du royaume assisteront « au bal » et « au festin royal »).  Raffinement présent, cadre somptueux  Rencontre : circonstances extraordinaire -> naît une passion hors du commun, cadre idéal en harmonie avec le couple • Bienséance => comportement

chevaleresques et héroïques- Fonctions : « séduire et effrayer »- excès et démesure | - règne autoritaire de louis XIV, codification des usages de la cour.0- simplicité- analyse intellectuelle (volonté d’analyser les passions), vraisemblance- la bienséance interdit de montrer la mort, la violence, le sang (rôle des messagers qui proposent des récits).- règle des trois unités, ordre, naturel.- Retour vers les classiques- valeurs de l’ « Honnête homme »..- Fonctions : « plaire, toucher et instruire

tragédie qui donne à voir des êtres hors du commun (issus de la mythologie, par exemple). Enfin, le théâtre classique impose la règle de bienséance, qui désignait au XVIIème siècle un ensemble de règles implicites qui avaient pour objectif de ne pas choquer le public. Sont exclus de la tragédie tout réalisme vulgaire, tout mot familier. Le respect de la bienséance va plus loin encore puisqu’il interdit que le sang soit versé sur scène, sont donc prohibés toute représentation de combats, duels, et de

modèle pour tous les romantiques. Le drame romantique accorde une grande place au thème de l'amour mais également une ouverture sur le monde et l'histoire. Ce nouveau genre va prendre beaucoup de libertés : refus de la règle des trois unités, des bienséances, mélanges de tons et de genres..Il s'affirme avant tout comme révolution par rapport aux formes et aux idées qui l'ont précédé. Nous allons maintenant voir en quoi Ruy Blas, représenté pour la 1ere fois en 1838 et écrit par Victor Hugo est un drame

d'action qui remet en question la bienséance: • Revirement de situation: valet se retourne contre son maître Ruy Blas annonce à Don Sallustre qu'il veut le tuer: «Monseigneur....», «Et de prendre une épée, une hache, un couteau» (vers 6) • L'action s'exprime à travers de nombreuse didascalies avec de nbr verbes d'action: «pousse; saisissant; se jetant...»  scène extrêmement vivante → énormément de mouvement • Scène qui remet en question la bienséance  violence physique: confrontation

intrigues secondaires doivent aussi trouver un dénouement dans l'unité de temps impartie. La bienséance. Elle consiste à ne représenter que ce qui ne choquera pas le spectateur. Les scènes violentes ou trop intimes sont donc écartées. Toutefois, certaines morts ont été conservées, telles que celles de Phèdre dans la pièce éponyme. La bienséance est conforme à la vraisemblance et à la morale. La bienséance dans les pièces classiques concerne aussi les activités basses telles que manger. Boileau l'expose

Et le Vème présente le dénouement malheureux, il résout les problèmes exposés dans le nœud de la pièce, en principe, il est malheureux dans la tragédie. La tragedie doit respecter des règles bien précises. La règle de la bienséance, l'acteur ne doit pas choquer le spectateur (pas de présence de sang sur la scène). De ce fait , violence et intimité physique sont exclues de la scène. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportés aux spectateurs

15- 17 "il y a de l'injustice", "la bienséance ne permet pas que j'en fasse d’avantage » -> incompréhension entre le Prince amoureux et la fiancée qui ne comprend même pas de quoi il parle => forme de naïveté car elle n'imagine pas ce qu'est aimer • l.20-21 "au lieu que la bienséance vous retienne, c'est elle seule qui vous fait faire ce que vous faites » -> ce que Mlle de Chartres perçoit comme des gestes et comportements conformes aux bienséances ne sont pas à ce point limités =>

particulier le théâtre mais aussi d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture.-Le classicisme se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’«honnête homme» respectant les règles de bienséances, c’est savoir ce qu’il convient de dire et de faire dans une circonstance donnée, c'est avoir le goût bon et les manières bonnes, comme on aurait dit à l'époque, l’homme cherche à formuler les règles idéales du comportement social sous le nom d'honnête