Bienséance

de leur temps et de leur caste aristocratique 2°) Bienséance derrière ce respect se dévoilent 2 attitudes différentes L’expression de ces sentiments, quoique passionnés, respecte les codes de bienséances (il est malséant de s’abandonner sans pudeur, sans retenue à la franchise, aux excès) Bienséance régie par la vie de la cour -> dans toutes les précautions oratoires de la princesse, on trouve des allusions aux codes sociaux de bienséance : « retenue » « délicatesse »  « honte » -> Recours

Hermione sa vengeance. Enfin l’acte V est celui des actions fatales : meurtre de Pyr., suicide d’Herm. Folie d’Oreste. II-Vraisemblance et bienséance : 1-La règle de vraisemblance : « Jamais au spectateur n’offrez rien d’incroyable/Le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable/…/L’esprit n’est point ému de ce qu’il ne croit pas ». 2-La règle de bienséance : « Mais il est des objets que l’art judicieux doit offrir à l’oreille et reculer des yeux » (Boileau) La tragédie a une gravité, une solennité

Travail à la maison pour le mardi 7 février 1 La pièce vous semble t-elle respecter les ''règles'' du théâtre classique (trois unités, règle de bienséance et de vraisemblance) ? La pièce respecte les règles du théâtre classique au niveau des trois unités : L'unité d'action est composé d'une seule intrique principale et les sujets secondaires doivent êtres liés au sujet principale. L'exposition met en place l'intrigue, l'obstacle et les péripéties. Pour le Tartufe, l'intrigue principale

mélange de registre tragique et de registre comique, pour plus de complexité. Selon les romantiques la vie est faite de comique et de tragique, ainsi les œuvres du drame romantique rendent compte du réalisme. Les romantiques refusent la règle de bienséance : par souci de réalisme, ils tiennent à montrer sur scène ce qui existe : la mort, les suicides… Comme dans la pièce de Ruy Blas de Victor Hugo : Ruy Blas ayant enfin avoué son amour impossible envers Dona Maria de Neubourg, reine d’Espagne, se

l’ébranlement de la maîtrise de soi, l’identification au destin tragique des personnages. L’art de plaire et de séduire • Il fait appel au talent rhétorique du dramaturge : il doit emporter l’adhésion du spectateur, respecter les règles de la bienséance. • L’intrigue ne peut pas être immorale au point de choquer. - 2 - Le temps, le lieu, l’action. La tragédie classique est d’abord un théâtre régulier qui est soumis à des règles très strictes. Elle entretient des rapports étroits

VALEURS Norme : règle de conduite ou de comportement qui détermine ce qu’un individu est censé accomplir en référence à des modèles culturels établis soit au niveau des usages, des mœurs, des lois. Usage : coutume, code de politesse ou de bienséance, de fêtes (anniversaire, tenir la porte…). Ne tombe jamais sous le cou de la loi. Mœurs : règles de conduite à très forte connotation morale et/ou sexuelle. (Homosexualité, alcoolisme, comportement délinquant) (dépend aussi des lois). Loi

est révélateur des sentiments, ici, Trivelin nous révèle combien le langage des gestes et des expressions est révélateur des sentiments. En effet, le plus souvent, il ne rapporte pas les propos, parce que les propos échangés sont conformes à la bienséance et ils ne dévoilent pas toujours – et sans doute pas souvent – les sentiments. A la ligne 3, l’exclamation de la comtesse : « Que vous êtes badin ! » paraît bien anodine, elle suggère que le chevalier lui tient des propos de salon, sans qu’il y

règles, la bienséance, la vraisemblance, et les trois unités (unités de temps, de lieu, et d'action). La bienséance (adjectif bienséant) - ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. Elle est donc variable d'une époque à une autre et d'une culture à une autre. (Pensez à l'évolution de ce qu'on montre à la télévision au cours des 30 dernières années.) On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre

évite tout mélange des genres. • L'unité de lieu : l'action doit se dérouler dans un lieu unique. • L'unité de temps : l'action doit se dérouler en un jour, en 24 heures, certains ajoutent du lever au coucher du soleil. 2 - Les bienséances Les bienséances désignent un ensemble de règles qui avaient pour objectif de ne choquer le public ni sur le plan moral ni sur le plan esthétique. Les actions violentes ne devaient pas être montrées au spectateur, qui devait se les imaginer par le récit

déroulement d’une histoire réelle). c. La règle de bienséance     Le souci de plaire est au cœur de l’esthétique classique : l’auteur se veut donc en harmonie avec la morale et les goûts de son public de manière à rencontrer son adhésion. La personne royale est, bien entendu, l’arbitre suprême du bon goût. S’instaure dès lors une règle tacite : celle des bienséances (= conduites en accord avec les usages). Il en existe de deux sortes. • La bienséance dite « interne » : elle prescrit que le comportement