Bienséance

Procédés : Les règles classiques : elles découlent du souci d'ordre et de raison, alliés au goût des codifications esthétiques et morales. Les bienséances : Volonté de respecter les exigences intelectuelles et morales du public. La bienséance externe correspond au désir de ne jamais choquer la sensibilité ou la morale des spectateurs. La bienséance interne est la volonté de garantir la conformité des personnages avec l'histoire et la légende, et la cohérence de leur évolution tout au long de l'intrigue

Plan : LE THEATRE A L’EPOQUE CLASSIQUE : Introduction : I. Définition et origine : II. Caractéristiques: III. Les genres théâtraux : 1. La tragédie : 2. La comédie 3. Le drame : IV. Les règles du théâtre: a. La bienséance : b. La vraisemblance: c. Les trois unités : Conclusion : Les exposants : * Djiby Sow * Ndeye Aminata fall * Moustapha Timbo * Astou Sarr * François –k- Mendi * Fatou Mboup * Mariama Ba EXPOSE: Le théâtre

La règle des trois unités - L’unité de temps : une journée de 24 heures - L’unité de lieu : un même lieu - L’unité d’action : une action 4) La règle de la vraisemblance et de la bienséance - La règle de la vraisemblable : respecter ce que le public peut tolérer comme étant possible - La règle de la bienséance : ne pas montrer sur scène des choses choquantes comme des scènes de violence ou la mort 5) La séparation des genres : Une tragédie classique adopte un unique genre qui est le tragique

des évènements crédibles, que les sentiments éprouvés par les personnages doivent être conformes à la sensibilité de l’époque. ( Donc, le naturel classique est asservi à une convention sociale et culturelle. Au XVII ème siècle, on appelle la bienséance le fait que la pièce qui est joué respecte certains principes de cohérence. Par exemple : - Les faits historique doivent être vraisemblable, par exemple si on fait référence à Achille il doit être courageux, représenté comme le public le connaît

sur trois grandes règles, dont celle de la bienséance , qui consiste notamment à ne pas faire mourir les personnages sur scène . À cette époque , deux camps s'opposent : les classique et les romantiques, les uns souhaitant des bases du théâtre classique , et les autres étant à la recherche d'un théâtre plus libre . L'un des auteur ayant bouleversé le théâtre classique est victor hugo , qui, avec hernani ou Ruy Blas , a su briser la règle de la bienséance, et celle de l'ordre classique des alexandrin

Observations générales du correcteur : Votre texte passera automatiquement à la ligne suivante à ce niveau pour laisser une marge au correcteur Commencez à saisir votre devoir ci-dessous : Question sur le corpus 1) La règle de bienséance sert à ne pas choquer la sensibilité ou la moralité du spectateur. Elle empêche donc la représentation sur scène d’action trop violente et des interprétations trop marqué à la sexualité, à la nourriture, à la vie du corps en général. Nous allons

II- La mort dans la tragédie Pourtant, les règles classiques interdisent la représentation de la mort. Comment les classiques ont-ils pu « purger » les lecteurs de leurs passions : A- Les règles classiques • Bienséances => afin de ne pas heurter le public : tout ce qui va contre la morale est banni (les scènes de violence, la mort, etc. Dans ce siècle dominé par le classicisme, la distinction entre les genres théâtraux est nette : la tragédie et la comédie ont des caractéristiques

le spectre ) la mort sous entendue : vision d'objet de sang, attitude, gestes, phrases, ( roméo et juliette dans le tombeau ), parfois un personnage meurt hors de la scène la mort présente : violence sur scène, vision d'horreur les règles de bienséance : ( racine évoque la mort de ses héros dans les tirade : phèdre ) dans cyrano de bergerac nul mort n'est mise en scène Depuis le XVII siècle, la tragédie est définis par de nombreuses règles et principesfondamentaux, l'un de c'est principe est

unités Cette règle a pour but de ne pas éparpiller l'attention du spectateur avec des détails comme le lieu ou la date, l'autorisant à se concentrer sur l'intrigue pour mieux le toucher et l'édifier. Elle permet à la fois de respecter la bienséance (et ainsi de ne pas choquer le spectateur) et de donner un caractère vraisemblable aux faits représentés et ainsi, satisfaire le spectateur du XVIIe siècle. Unité d'action : (appelée aussi unité de péril) La pièce ne met en scène qu'une seule

bien l'absurdité de la vie, son absence de logique, de sens, de raison d'être. En premier lieu, Fin de Partie méprise les conventions du théâtre classique. Cette pièce ne respecte ni la règle des trois unités, ni celles de la vraisemblance et de la bienséance. Tout d'abord, il n'y a plus d'unité de temps, il n'y a plus de temps tout court. Dans Fin de Partie, pas d'actes, pas de scènes, donc pas d'ellipse. Le spectateur n'a aucun repère temporel fiable, aussi bien par cette construction de la pièce,