Bienséance

déroulement d’une histoire réelle). c. La règle de bienséance Le souci de plaire est au cœur de l’esthétique classique : l’auteur se veut donc en harmonie avec la morale et les goûts de son public de manière à rencontrer son adhésion. La personne royale est, bien entendu, l’arbitre suprême du bon goût. S’instaure dès lors une règle tacite : celle des bienséances (= conduites en accord avec les usages). Il en existe de deux sortes. • La bienséance dite « interne » : elle prescrit que le comportement

règles, la bienséance, la vraisemblance, et les trois unités (unités de temps, de lieu, et d'action). La bienséance (adjectif bienséant) - ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. Elle est donc variable d'une époque à une autre et d'une culture à une autre. (Pensez à l'évolution de ce qu'on montre à la télévision au cours des 30 dernières années.) On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre

humaines en lutte entre elles ou contre le destin.
Dans une tragédie, les personnages s’expriment sur un ton élevé ou sublime, et en vers (→ alexandrins).
La tragédie classique répond à des règles : La règle des trois unités et la règle des bienséances ; Elle est composée de cinq actes ; Il y a une progression dramatique (exposition, nœud, dénouement). Structure de la tragédie classique: L'exposition (début de la pièce, premières scènes): elle «doit contenir les semences de tout

règles du théâtre : règle des unités, respect de la vraisemblance et de la bienséance.
 Les points communs et les différences entre le théâtre Antique et Classique : Lors des représentations de pièces de théâtre Antique, il y avait : -la règle des trois unités. Boileau résume en vers ces contraintes : ” Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli.” -la règle de bienséance. Boileau le résume: ” Ce qu’on ne doit point voir, qu’un récit nous l’expose

d'Espagne et utilise la relation qu'elle entretient avec son valet qui avait menti sur son identité... Situer le passage : scène de dénouement. Acte 5 : "Le tigre et le lion". Développement : Dénouement tragique mais original ? -Contre les règles de bienséances (des 3unités) -Victor hugo utilise le spectaculaire : =longue agonie lente de RB -> rythme décroissant des répliques. =gestuelle très démonstrative =dynamisme + présent que dans les pièces classiques (cf: vbe de mouvement) Différents

Ainsi, Tartuffe, aux yeux du spectateur tend à se métamorphoser.BienséancesConvenances ; elles font partie des règles classiques, à côté des trois unités et du vraisemblable. Les bienséances exigent du théâtre le respect des mœurs. Les bienséances « internes » veulent que les mœurs d'un personnage soient en

cela qu'existent les règles de bienséance. La bienséance «interne» doit faire correspondre l'intrigue et le comportement des personnages à leur âge, leur statut social, aux mœurs et coutumes du pays dans lequel ils vivent. On peut pour exemple donner le cas de Phèdre, où c'est Oenone qui est responsable de la calomnie et non l'héroïne. C'est sans doute dans l'esprit de ne pas choquer le public que Racine a décidé de ne pas «salir» Phèdre. On parle aussi de bienséance «interne», celle-ci repose sur

parfaite (cultivée, élégante, belle, vertueuse, courageuse…), comme les héros de contes de fées ou plus encore ceux des tragédies classiques, partagées entre le bonheur et leur devoir (ex Phèdre de Racine, amoureuse de son beaux fils). Elle incarne la bienséance, le raffinement. Texte 1 : La première Rencontre : Cette scène est racontée avec un point de vue omniscient car Mme de LaFayette connaît les pensées de tous les personnages. : 1er pdv : celui des courtisans « on admira ». 2e pdv : celui

respectant la bienséance ? Intro Pièce classique VIIe siecle (présenter titre, auteur, date, à quel moment s’iscrit le passage dans la pièce) On dit souvent que le VIIe est le siecle du théatre et nous avons ici pour preuve un passage significatif. Cet extrait est une tirade de Burrhus, qui vient interrompre Agrippine et Junie isolées. Il est très choqué par ce qu’il vient d’apprendre. Il va cependant s’attacher à décrire cet événement de façon très vivant tout en respectant la bienséance. I]

appelle également bienséance, et qu’il définit en ces termes : « Cette Decence ou bonne grace regarde trois choses, la Parole, la Contenance & les Vestemens »[3], définition dans laquelle on reconnaît sans peine des préceptes longuement discutés par des théoriciens de l’esthétique, pour qui le respect des bienséances « externes » passe justement par le refus de vêtemens inappropriés, de comportements inadéquats ou de paroles malhonnêtes.[4] Et si cette question des bienséances est à ce point difficile