Bienséance

souvent malheureux, en général, c'est la mort. Elle aborde des thèmes comme la passion, la vengeance et l'héroïsme. Les deux auteurs principaux sont Corneille, après 1640, et Racine. La mort n'est jamais représentée sur la scène à cause de la règle de bienséance. le drame romantique : MUSSET le drame romantique est un genre théâtral qui est né au début du XIXe siècle à la suite des réflexions d'écrivains romantiques, en particulier Victor Hugo. Ce genre nouveau marque la volonté des dramaturges de s'affranchir

La règle des trois unités : Cette règle avait pour but de ne pas éparpiller l'attention du spectateur avec des détails comme le lieu ou la date, lui permettant de se concentrer uniquement sur l'intrigue. Elle permettait à la fois de respecter la bienséance (et ainsi de ne pas choquer le spectateur) et de donner un caractère vraisemblable aux faits représentés. Tout cela pour satisfaire le spectateur du XVIIème siècle. Boileau, dans son Art Poétique de 1674 résume en vers les trois unités : « Qu'en

grecque comportait peu de personnages et un choeur qui commentait l'action, représentant les citoyens d'Athènes, et qui psalmodiait et dansait. La tragédie classique respectait les règles des 3 unités ainsi que les règles de vraisemblance et de bienséance. La tragédie moderne (XXe siècle) est une réactualisation des mythes (Giraudoux, Cocteau, Anouilh) ou se spécialise dans l'absurde (Beckett et Ionesco). Voilà pour les principales différences. Le point commun est qu'en général il y a 5 actes, des

malheureux Evoque les sentiments des personnages Face à des choix difficile (passion/raison), dilemme tragique Epoque reculée ou mythique En alexandrins Composée de 5 actes Règles des 3 unités (unité d’action, de lieu et de temps) Règle de bienséance Suscite la crainte et la pitié Les caractéristiques de la tragédie classique ont été établit après le courant classique en cherchant les points commun entre les oeuvre de la tragédie. Il est possible qu'une de ces œuvres ne réponde pas à tout

Règles du théâtre  La théâtre est soumis à une série de règles, la bienséance, la vraisemblance, et les trois unités (unités de temps, de lieu, et d'action). La bienséance est ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. Elle est donc variable d'une époque à une autre et d'une culture à une autre. On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre tragique un théâtre surtout de paroles. Ce qu'on ne

c’est à dire stérile. * * 2/Dans le vers onze: « A Racine effaré, nous préférons Molière », Victor Hugo exprime son désir de se défaire des exigences et des règles de bienséance en dépréciant Racine, grand dramaturge tragique au profit de Molière, qui écrit des comédies qui ne respecte pas les règles de bienséance externes et internes ce qui rend la pièce plus vivante et plus drôle pour les moins instruits. * * 3/Dans le vers douze : « O pédants! à Ducis nous préférons Rotrou »

grands auteurs du XIXe siècle prônent le renouvellement du théâtre, en l’opposant au classicisme qui a marqué le XVIIe siècle. En effet, ce nouveau genre théâtrale s’affranchit des règles strictes du théâtre classique (règles des trois unités, bienséances), abandonne le vers au profit de la prose et cherche à montrer le monde dans sa totalité, en mêlant le sublime et le grotesque. Problématique : Comment Musset respecte-t-il l’esthétique et l’idéologie du drame romantique ? Plan : I. Prise

demeurent pour lui un modèle absolu. II Accomodation au goût de l'époque III • certaines notions et règles de la tragédie ne viennent pas d'Aristote. Deux types de bienséances: - bienséance interne: cohérence de l'oeuvre, unités etc - bienséance externe: accord de l'oeuvre avec les valeurs de l'époque • • Lien entre bienséance et vraisemblance: ce qui est crédible est en accord avec les valeurs. l. 27 préface de Phèdre: Hippolyte ne peut avoir violé sa belle-mère (comme il en est accusé dans

de duels et autres... Ces scènes sont q uant à elles soumises à la règle de bienséance qui interdit touts actes susceptible de choquer le spectateur (pas de sang etc), toutes ces violences physiques doivent donc etre rapportées sous forme de recit par un ou plusieurs personnages. On peut néammoins considérer quelques exceptions telles que le suicide de Phèdre. La règle de bienséance ne s'applique pas seulement aux combats physiques mais aussi à touts actes allant

de trois unités, est soumis aussi à la bienséance et la vraisemblance : La vraisemblance , elle ordonne le rapport de l’écrivain avec son public. Le spectateur doit pouvoir adhérer et croire à ce qui est joué devant lui. Il existe deux sortes de bienséance , la bienséance interne c'est ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public. On ne montre sur la scène ni la violence, ni la mort sanglante, ni le contact physique. La bienséance rend le théâtre tragique un théâtre surtout