Bipartisme Rigide

des règles juridiques qui se proposent de régir la composition et le fonctionnement les pouvoirs publics. Au sens formel, la Constitution est un texte original établi par un organe spécial et suivant une procédure particulière. Une constitution rigide est celle qui ne peut être modifiée ou abrogée de la même manière qu’une législation ordinaire. Elle exige pour cela une procédure spéciale, généralement plus compliquée et plus longue que celle de la législation ordinaire ainsi que l’intervention

britannique. Les britanniques vont donc être obligé de «  fabriquer » des lois constitutionnelles. On voit apparaître le scrutin proportionnel. Et il n'y a pas de majorité au parlement d'Edimbourg, à chaque fois il y a une coalition, c'est le fin du bipartisme car on voit apparaître des coalitions sur le plan national. En cas de contentieux, si le parlement écossais vote une loi incompatible avec les obligations internationales, et s'il surpasse ses capacités => ministre pour l'Ecosse à Londres peut interdire

pas une représentation exacte de l'opinion. Cependant, il est efficace dans la mesure où il oblige les tendances voisines à se grouper pour bloquer leurs voix sur un seul candidat; cela conduit généralement au bipartisme qui est lui-même une condition de la stabilité politique. Le bipartisme actuel se traduit par la domination de deux grands partis aux Communes :  - les conservateurs (Tories). Ce parti est appelé conservateur depuis 1836. Il est idéologiquement favorable au capitalisme libéral et

système parlementaire ne prévoit pas d’imbrication des compétences. Cette séparation dite « rigide » ou « stricte » se caractérise par les éléments suivants : Elle suppose d’abord une spécialisation claire des compétences de chaque organe du pouvoir. Le législateur a l’initiative des lois et les vote. L’exécutif s’occupe de leur exécution et le pouvoir juridictionnel juge. La qualification de séparation « rigide » s’explique par l’absence de moyens d’actions réciproques susceptibles de remettre en cause

régime parlementaire, nous allons maintenant voir la rigidité du régime présidentiel. B- La rigidité du régime présidentiel Opposé au régime parlementaire, le régime présidentiel est défini comme étant un régime de séparation stricte ou rigide des pouvoirs. Ce qui signifie que les pouvoirs législatifs et exécutifs sont réellement séparés et indépendants l’un par rapport à l’autre. Ainsi, le président ne peut pas dissoudre le Parlement et celui-ci ne dispose pas du pouvoir de le renverser

le système électorale à la formation de systèmes de partis. Les modes de scrutin possède des caractéristiques propres présentés par ces 3 lois fondamentales : premièrement, la représentation proportionnelle tend à un système de partis multiples, rigides, indépendants et stables (des mouvements passionnels pouvant toutefois bouleverser cette logique), deuxièmement le scrutin majoritaire uninominal à un tour tend à un système dualiste, avec alternance de grands partis ou coalitions indépendants les

de recueillir le vote de voix d'un bord différent et il ne faut pas un poids fort des extrêmes au détriment des centristes, car il faut un minimum de consensus sur le système politique et économique pour permettre l'application d'un programme. Le bipartisme quasi-intégral qui prévaut aux États-Unis permet la réalisation de ces deux conditions. Le régime parlementaire est beaucoup plus largement appliqué et a été un idéal européen, selon le principe de « gouvernement modéré » de Montesquieu. La responsabilité

la doctrine qualifiera par la suite de séparation des pouvoirs souple). Après Sieyès, on va considérer que la forme de distinction des pouvoirs de Montesquieu était une forme de séparation souple, à l'opposé d'une séparation des pouvoirs stricte ou rigide, qui qualifiait la séparation présentée par Sieyès. Cette différence entre les deux se traduit dans les régimes politiques par une différence entre  d'une part, les régimes parlementaires où il y a interdépendance des pouvoirs (moyens d'action réciproques

constitution ( l’existence du cabinet repose sur une convention). Ce caractère non écrit donne au régime une constitution souple qui permet une évolution en douceur du système politique. L’exécutif Le législatif Les relations entre les deux le bipartisme britannique L’exécutif Si le cadre institutionnel britannique est resté identique depuis le 15eme siècle, les pouvoirs des différentes institutions ont évolué. Le monarque au sein de l’exécutif et la chambre des lords au sein du législatif

distingue 2 types de constitution : Les constitutions dites rigides, sont toujours des constitutions écrites, qui se caractérise par le fait qu'il existe à l'intérieur même du texte de celle-ci une procédure particulière pour la réviser. Cette procédure est volontairement complexe et se distingue par la procédure d'adoption des lois ordinaires par le Parlement, ainsi par exemple la constitution de 1958 est une constitution écrite et rigide en effet à l'intérieur même du texte constitutionnel l'article