Blaise Pascal

ces textes appartiennent au genre de l’essai et le troisième est une poésie en prose. Diderot et D’Alembert auteurs de l’Encyclopédie font partis du mouvement des Lumières du XVIII ème siècle. Pascal auteur des Pensées et Baudelaire des Petits poèmes en prose appartiennent au XIX ème siècle. Cependant Pascal appartient au Jansénisme tandis que Baudelaire est un Romantique. Ces trois auteurs se questionnent sur les avantages et inconvénients de la solitude. Nous allons nous interrogés sur les points

rendu possible l’émergence de l’Empire Napoléonien et la guerre de 1870 qui a permis l’unification de la nation allemande. Michel Foucault met également en évidence la nature paradoxale de la loi au travers de ce texte. En cela, il rejoint Blaise Pascal qui, dans ses Pensées, démontre que la loi n’existe que s’il y a une force pour la faire respecter : « La justice sans la force est impuissante; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu’il y a toujours

classicisme. b. L’héritier des humanistes - La même foi en l’homme et en ses capacités (l’homme est perfectible). - S’inspire des sagesses antiques comme l’épicurisme et le stoïcisme. - Ne pas remettre l’existence de Dieu en question. 2. Blaise Pascal 3. François de La Rochefoucauld : un moraliste

(1755), essai. * Voltaire, Candide (1759), conte philosophique. * Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782), roman épistolaire. Lecture Analytique : * Alain, Propos sur le bonheur (1913), essai très structuré. * Blaise Pascal, Pensées (1670), essai. * Marivaux, L'ile des esclaves, scène VI (1725), pièce de théâtre. * Corneille, L'illusion comique, scène V ( 1636), pièce de théâtre. * Jean de la Fontaine, Le Philosophe scythe (1693), fable. Jean de la Fontaine

L’inutile est utile. Un paradoxe ? Certes non, puisque la littérature est en soit inutile car elle est un divertissement mais un divertissement est utile d’après Blaise Pascal puisqu’il sert à nous faire oublier que nous allons mourir. Ainsi Michel Tournier constate que « la littérature est aujourd’hui considéré comme un ornement inutile ». Nous pouvons nous demander si la littérature (« l’ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique » Larousse) est vraiment inutile

leur condition. Ils ne pensent pas et sont ainsi ignorants. C’est pourquoi on ne peut pas dire qu’ils ont atteint le bonheur. Par ailleurs le Christianisme et Blaise Pascal ont mis en avant le fait que le bonheur ne peut être atteint car c’est un état qui dure toujours, de repos. Or l’H n’est pas tranquille, il est agité selon pascal et le plaisir est inconstant et éphémère. On peut aussi rajouter que la parole n’est pas une condition du bonheur car le bonheur lui-même est inaccessible car si

réfutation des existentialistes montrent bien que la religion est en fait l'asile de l'ignorance. Ainsi, la religion ne serait qu'un asile de l'ignorance, mais la signification même de la religion, les démonstrations de Descartes, les convictions de Pascal, et la connaissance absolue de Dieu montrent que la religion peut en fait être un résultat de la connaissance. Connu de tous, être parfait, et parfaitement supérieur à l'Homme, Dieu lui-même est un résultat de la connaissance. Dieu est même le résultat

de référence et de point d'attache pour émettre ses jugements. Et ces lois sont imparfaites. Tout d'abord, les lois sont créés par les hommes. Or, l'homme est par nature faillible et incapable d'atteindre la vérité absolue. En effet, selon Blaise Pascal, l'homme ne peut pas atteindre les extrêmes et ne peut donc atteindre la perfection. Les lois, de par l'imperfection humaine, comportent donc nécessairement une part de fausseté et d'erreur. De plus les lois ne sont pas des outils idéaux pour

lors d’un test. « Le pari », Blaise Pascal, p 22-23 Il s’agit ici du pari de croire à l’existence de Dieu, et donc au paradis, et à cette vérité transitoire qui nous mènera à vivre encore et à nouveau, ou de ne pas y croire et de ne rien avoir. Il faudrait être fou pour refuser d’y croire, puisqu’y croire nous permettrait d’obtenir un gain infini, alors que l’autre ne nous mène qu’à une seule conclusion : nous vivons, puis c’est le néant. Par un odieux chantage, Pascal nous dit que ce serait renoncer

Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie (Blaise Pascal) 1669 cette citation est parue dans les pensées. Cette citation indique qu'il doute. Pascal a décidé de croire en dieu car il prenait ainsi moins de risque au cas où il se serait trompé. S'il n'avait pas cru en dieu il avait peur au moment du jugement dernier de s'être trompé et d'aller en enfer. Alors que croire à tort ne l'exposé à rien s'il s'était tromper. Contexte historique : C'est au XVIIe siècle que se produit une révolution