Blame Et Eloge

Sujet : Un(e) utopien(ne) écrit à un ami vivant à l'extérieur d'Utopie. Rédiger cette lettre qui présentera les principaux aspects de la société utopienne et prendra la forme d'un blâme, d'un éloge ou d'une appréciation mesurée de l'utopie de Thomas More. Consignes : Lettre Première personne Soit pour/contre, soit les deux Dire : « mieux si c'était comme ça... » Fait à Amaurote, Utopie Le 17 janvier A ma si chère amie, si loin, Cela faisait tellement longtemps que

quoi ce texte fait-il l’éloge du libertinage ? Dans un 1er temps nous montrerons une apologie du libertinage et de l’infidélité puis un autoportrait paradoxal. I Une apologie d’une libertinage La tirade est construite, structurée : notre héros blâme tout d’abord l’amour unique et fidèle c'est-à-dire le mariage, et il loue l’inconstance qui est réprouvée. Il fait preuve de persuasion en s’appuyant sur un schéma argumentatif classique : il réfute les propos de Sganarelle à l’aide d’interrogative

Sganarelle annonce a Gusman que Dom Juan ne reviendra jamais vers Done Elvire. C’est une scène d’exposition, ayant un début « in mediares ». Le portrait de Dom Juan par son valet est mis en avant par la série de questions posées par Gusman. Eloge du tabac avec un champ lexical de la passion, honnête. Le tabac est définit comme un remède (l.5/6) Au niveau des personnages: Gusman écoute attentivement, il pose des question, et a un niveau de langue soutenu. Dom Juan lui est comparé a un

serait fatal pour chacun d'eux et il leur prévoit un avenir sombre. Puis il s'adresse à Bougainville, « le chef des brigands », avec mépris. Il le blâme de son influence néfaste sur les Tahitiens et fait un portrait machiavélique des Européens qui ont eu pour seul but de détruire leur bonheur. Très rapidement le discours se transforme en un éloge de la vie sauvage et un réquisitoire contre les Européens. Il énumère les différents méfaits causés par l'expédition : les dénaturer, éveiller en eux

apparaît que cet éloge de la figure du « Bon Sauvage » permet à ces trois auteurs humanistes de faire, plus ou moins explicitement, la critique des Européens. Tout d’abord, Las Casas et Montaigne mettent en évidence par des énumérations et un champ lexical de la violence la cruauté des Européens : l’emploi de termes forts tels que « mettre en pièce », « tuer » ou « détruire » par le premier, et « rôtir » ou « barbarie » par le second le prouve. Las Casas renforce même son blâme par un rythme ternaire

Grange et Du Croisy. Scène 16 : Gorgibus arrive et sermonne sa fille et sa nièce suite à l’affront que la famille a subi. Scène 17 : Gorgibus frappe les violonistes du bal qui veulent être payé et maudit les précieuses et leurs divertissements. Eloge de la pièce : Dans cette pièce, Molière arrive à décrire en un seul acte et de manière époustouflante le ridicule de ces précieuses provinciales qui jouent les gentes dames avec leurs grands airs, qui se pomponnent toute la journée et rêvent de succès

l'utopie d'un monde passé idéal qu'il plaide ensuite pour un bonheur sur terre. Blâmant le bonheur simple d'autrefois sur un ton badin et irrévérencieux, le mondain se définit en « honnête homme » sur fond d'apologie de la civilisation. I/ Le blâme du bonheur simple d'autrefois sur un ton badin et irrévérencieux 1. La dénonciation du mythe de l'Age d'Or 2. Le grief: la simplicité primitive comme pure ignorance 3. Le ton de la provocation: impertinence et libertinage II/ Le credo d'un

caractéristiques, les lire à la lumière des genres littéraires et des objets d'étude au programme. Respecter les contraintes du sujet • Vous pourrez être invité à rédiger un article (éditorial, article polémique, article critique – éloge ou blâme, etc.), une lettre (réponse à une lettre présentée dans le corpus, courrier des lecteurs, lettre ouverte, lettre fictive d'un personnage tiré d'un texte, etc.), un monologue délibératif, un dialogue théâtral, un essai, un récit didactique(fable

susciter celle de ses lecteurs sur les agissements des esclavagistes et l’injustice faite aux esclaves, et les qualités qu’il attribue aux esclaves et dénie aux esclavagistes montrent que son épître constitue un plaidoyer en faveur des premiers, et un blâme des seconds. a- La double énonciation : une dédicace anticonformiste Ce texte de Condorcet vise de manière peu orthodoxe deux destinataires. Tout d’ abord l’auteur s’adresse aux  esclaves  en partageant sa douleur « … mon cœur déchiré par le spectacle

Dubois qui cache quelque chose. R.2 : Exclamation et tutoiement : Dorante supérieur à Dubois/ ils se connaissentR.3 : L’imparfait décrit une action longue et inachevée / Dubois le vouvoie en retour (infériorité) / idée de stratagèmeR.4 : Registre du blâme, ton méprisant : mépris social pour les domestique de la part de Dorante / Mode impératif montre encore l’échelle sociale / un domestique est évoqué mais tout n’est pas dit : ton mystérieux.R.5 : 1ère vrai phrase de Dubois (avant répliques courtes