Blame Et Eloge

lignes 45 à 47 ( « Lorsque nous […] nous vêtir. » ) et marquent bien l'antinomie entre ces deux peuples complètement différents. Dans son discours, le vieillard donne son opinion sur les mœurs de son pays mais aussi sur celles des Européens. Il fait un éloge parfait de la vie naturelle : il présente les Tahitiens comme un peuple tout à fait innocent mais heureux, « nous sommes innocents, nous sommes heureux » ( lignes 19 et 20 ) que les Européens qualifieraient comme de l'« ignorance » ( ligne 43 )

de leurs ouvrages, en pierreries, en plume, en coton, en la peinture », Un peuple riche en valeurs et qualités morales : « dévotion, observance des lois, bonté, libéralité, loyauté, franchise » Cet éloge aux Indiens cache en fait la vraie pensée de Montaigne, il s'agit donc d'un réel blâme de la civilisation Européenne. Montaigne attribue aux Européens divers défauts plus ou moins explicites. Tout d'abord, il souligne leur ignorance en présentant leurs connaissances en science comme étant

il montre la misère de l’H. « atome tourmenté » mais aussi ses illusions et ses vanités : « Ce monde ce théâtre d’orgueil et d’erreur. » déictique qui rapproche monde/théâtre ( illusion… fait « d’orgueil et d’erreur. » ( discours apodictique (éloge/blame) ( cet H. qui se veut grand montre sa petitesse. V 34 : cet H. cherche un bonheur qui fuit devant lui car il a une représentat° trompeuse de lui-même. L’H. est indécis, il ne peut trouver le bonheur mais ne veut ni quitter cette existence, ni renaitre

Texte 1 Aux XVe et XVIe siècle, une des grandes préoccupations des poètes est de valoriser et glorifier la langue française, on parle alors d'éloge. Cette tradition de l'éloge et du blâme remonte à l'Antiquité. Au XVI siècle, l'éloge prend souvent une forme poétique, comme on peut le voir dans les poèmes de Ronsard, qui traitent de sujets épicuriens, dignes du fameux carpe diem (« Profite du jour présent ») du poète latin Horace, ou encore de sonnets faisant l'éloge de la femme aimée.On peut retrouver

Richelieu et du roi Louis XIV il était très populaire auprès des milieux mondains de l’époque, Isaac de Benserade était également très intéressé par le théâtre et a consacré beaucoup de temps à son écriture. Dans son poème, de Benserade nous propose une éloge de la ville de Paris et nous confronte à sa prise de position personnelle concernant la cité. La deuxième œuvre de cette anthologie s’intitule «Rêves parisien », c’est un poème de Charles Baudelaire publié dans le recueil Les fleurs du mal paru en

les mérites du confort de leur “manière de dormir”, il écrit “ c'est là une bien douce manière de dormir” et la compare à la manière occidentale “je m'y suis mieux trouvé que sur les tapis que nous possédions”. Le navigateur florentin continue son éloge avec l'hygiène de ceux-ci, “ils ont le corps propre et net, puisqu'ils se lavent très souvent”, pour “faire leurs besoins ils ne doivent être vus de personne”. Ensuite, Vespucci parle de l'absence de “loi” et de “contrat”, et des libertés des mariages

femme/femme et femme/homme. L’amour cherche à rétablir l’unité et devient donc la meilleure expression de dévotion. 6. Discours d’Agathon Agathon estime avoir entendu plus de louanges envers les Hommes que vers le Dieu lui-même. Il propose ainsi un éloge du Dieu en question : celui-ci n’est pas le + jeune des Dieux, contrairement aux dires de Hésiode et Parménide car à l’origine des temps régnait la discorde et non l’amour. Il est le + délicat car il pénètre les âmes = ce qu’il y a de + délicat chez

| |CL imperfection : « débiles corps », « langages |Blâme de la condition humaine | |insuffisants », « opinions insensées » | | |Hyperbole « toi qui as tout donné » (l.4) |Générosité, sacrifice, éloge de Dieu | |Pronom personnel possessif « ton » (l.15)

misère). Il est conscient que son discours est un 1er pas décisif, il est dans une perspective temporelle propre à la politique. b) Un homme conscient des dissensions existante au sein de l'assemblée On a un éloge finale de le cohésion sur de telles questions en même temps que le blâme implicite de le dissension c) Un homme qui a les yeux ouverts sur ce qu'il l'entoure Victor Hugo utilise des exemples concrets suscitant la pitié, ce qui heurte et qui provoque la révolte. Par exemple, lorsqu'il

Dans ce même poème, il parle d’une rose rouge (« allons voir si la rose (…) sa robe de pourpre au soleil », v.1-3), le symbole de l’amour. De plus, les deux auteurs complimentent leurs bien-aimées, Queneau en lui rédigeant un blason, c’est-à-dire un éloge d’une partie d’un corps féminin (« ton teint de rose / ta taille de guêpe / tes mignons biceps / tes ongles d’émail / ta cuisse de nymphe / et ton pied léger », v.15-20) et Ronsard en comparant Cassandre à une rose (« son teint au vôtre pareil » v