Bonheur Abstrait

vérités de raison », elle est extérieure au champ de la rationalité. Hume écrivait en ce sens: «Si nous prenons en main un volume quelconque de théologie ou de métaphysique scolastique, par exemple, demandons-nous : Contient-il des raisonnements abstraits sur la quantité et le nombre ? Non. Contient-il des raisonnements expérimentaux sur des questions de fait et d·existence ? Non. Alors, mettez-le au feu, car il ne contient que sophismes et illusions». Enquête sur l·entendement humain. 1748. 2)

plus______________________________________ 24 Technique de la respiration complète____________________________________________________ _ La respiration naturelle___________________________________________________ _____________ 25 26 La véritable source du bonheur ____________________________________________ 28 Qui êtes-vous ? ____________________________________________________________ _____ 28 Le secret caché de la pratique _____________________________________________________ 29 La qualité indispensable

plus_________________________________________ 24 Technique de la respiration complète___________________________________________________________25 La respiration naturelle______________________________________________________________________26 La véritable source du bonheur __________________________________________________ 28 Qui êtes-vous ? _____________________________________________________________________ 28 Le secret caché de la pratique ________________________________________________________ 29 La qualité indispensable

acquitté à la satisfaction du ministre. Tanié fut désolé de cette marque de distinction. Il était si content, si heureux à côté de sa belle amie ! Il aimait ; il était ou il se croyait aimé. — C’est bien dit. — Qu’est-ce que l’or pouvait ajouter à son bonheur ? Rien. Cependant le ministre insistait. Il fallait se déterminer, il fallait s’ouvrir à Mme Reymer. J’arrivai chez lui précisément sur la fin de cette scène fâcheuse. Le pauvre Tanié fondait en larmes. « Qu’avez-vous donc, lui dis-je, mon ami ? »

son bonheur, fonde son existence sur des principes hédoniste. Mais la question qu’il faut poser qu’est-ce que cet utilitarisme ? Quel lien fonde-il avec la pauvreté ? Utilitaristes classique et une doctrine philosophique morale qui pose comme principe fondamental que la vie et bonne, et que l’homme n’a pour but que la satisfaction de ses besoins et la réalisation de son bonheur. Pour Bentham la nature a placé l’homme sous l’emprise de deux maitres, les peines et les plaisirs. Le bonheur est

qu’elle soit innée ou acquise, consiste à se mettre à la place d’autrui et suppose : douceur, tact, délicatesse, empathie. La justice est d’abord de l’ordre du sentir. La justice requiert également une prise en compte effective de la notion abstraite d’égalité. C’est une vraie force d’avoir compris qu’on ne valait ni mieux, ni moins qu’un autre, sans quoi on serait potentiellement toujours, par excès ou par défaut comme le dirait Aristote, injuste. Bref, agir justement, c’est savoir relativiser

pratique visant à rendre les hommes meilleurs. Aristote commence définir la fin, le but qui est le bien, le bonheur ; l'homme agit en fonction de cette fin. Vertu est perfection de cette fin, vertu humain est bonheur. Dans œuvre Aristote : vrai bonheur humain, que l'homme peut acquérir ici bas et qui est durable. Ce n'est pas idéal qui ne peut être atteint. Vertu humaine a cette fin au bonheur. Pas une science ou théorie toute faite. Vertus restent des dispositions, en fonction de notre choix, elles

», tandis que le plaisir sensuel lui serait « charnel » ? Évitons de confondre « spirituel » et « intellectuel ». Fausse opposition car le sensible est précisément à mi-chemin entre le sensuel le plus concret et vital et l’intellectuel le plus abstrait et mental. Si devant une oeuvre d’art, je me détourne pour spéculer, commenter, analyser, je vais certes y trouver un plaisir intellectuel , mais est-ce cela le plaisir esthétique ? Je me suis détourné de l’oeuvre pour la penser. Je n’y suis plus

sensibilité inquiète et triste, au désarroi que lui causait ses amours malheureuses, il joignait de la sensualité et une musicalité suggestive. On trouve dans le recueil une ardeur poétique heureuse parfaitement canalisée par les réflexes parnassiens, le bonheur d’écrire, et la certitude que ces poèmes sont adressés à une destinataire dont le nom est tu. ____________________________________________________________ _____________________ En 1869, alors même qu’il brutalisait sa mère au cours de scènes

manifeste par une certaine tendance à ne plus tout à fait nous maîtriser, puisque ce sont des objets, plus ou moins abstraits, qui semblent orienter nos comportements, parfois jusqu’à semer dans nos vies de véritables désordres. Pourtant, on est aussi assez spontanément réticents devant les discours qui condamnent totalement le désir : après tout, celui-ci est en partie associé à l’idée de bonheur, et on sent bien que renoncer à l’un nous condamnerait à abandonner aussi l’autre. Le problème, c’est que les