Bonheur Inaccessible Freud

le punir ou le récompenser n’est plus nécessaire : il « fonctionne tout seul », il s’est approprié 5 ces injonctions, il les a faites siennes ; autrement dit, il s’est doté d’une conscience morale. - Par censure La théorie des pulsions (Sigmund Freud) nous enseigne que l’individu refoule hors de sa conscience certains désirs condamnés par la culture. Il apprend par ses relations sociales quelles sont les formes légitimes, instituées par la culture, de satisfaction des ses pulsions (de vie et de

emploie la formule « je suis un autre » pour évoquer l'aliénation mentale. Rimbaud utilise une métaphore pour expliciter sa formule, une métaphore musicale. Le poète ne serait que l'instrument d'expression Le poète est capable d'exprimer plusieurs voix. Freud est pour l'inconscient individuel et Jung est pour l'inconscient collectif. « je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant. Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens » Rimbaud arrive à la poésie par

Sigmund FREUD (1912) TOTEM et TABOU Interprétation par la psychanalyse de la vie sociale des peuples primitifs (Traduit de l’Allemand avec l’autorisation de l’auteur en 1923 par le Dr S. Jankélévitch. Impression 1951.) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web:

Quelques problématiques : ⇒ Peut-on dire que le vrai est ce qui réussit ? ⇒ L’opinion a-t-elle toujours tort ? ⇒ Peut-on nier l’évidence ? ⇒ Faut-il préférer le bonheur à la vérité ? (Sujet TES Bac 2006) ⇒ Puis-je être sûr de ne pas me tromper ? «Il vaut mieux ne jamais chercher la vérité sur quelque objet que ce soit que le faire sans méthode.» (Descartes) La possibilité du mensonge, de la dissimulation, nous amène à poser une question : puisque nous pouvons nous passer de la vérité, quel besoin

d’être en phase avec sa vision pour admirer l’esthétique de l’œuvre et la qualité des symboles utilisés. Enfin, chaque individu n’est pas doté des mêmes capacités d’interprétation : nous n’avons pas tous la même finesse, ce qui prive certains du bonheur que procure l’art et ce qui empêche surtout de persuader autrui de la beauté d’une œuvre d’art. De surcroît, d’un point de vue moral, un tel vouloir de persuasion, s’avère illégitime et non-conforme à la morale (énoncée par Kant, par exemple). Vouloir

ignore la réalité de son état. Autrement dit, le malade est roi dans le palais de sa maladie. Le cas d’Anna O. est un des moments fondateurs de la psychanalyse. Il a été traité par Josef Breuer, maître de Sigmund Freud, et relaté dans les Cinq leçons sur la psychanalyse rédigées par Freud. Cet exemple permet de beaucoup mieux comprendre ce que Breuer a nommé la « talking cure » (thérapie par la parole), qui est à l’origine de la psychanalyse : c’est en parlant avec Anna O., ainsi qu’en la faisant

un thème récurrent des réflexions humaines et partant de la littérature, en particulier romantique. Il vise toute situation où, par une magie quelconque (accord avec le Diable, découverte d'un talisman, …), un personnage peut obtenir facilement le bonheur - ou du moins ce qui peut le représenter à ses yeux - contre une aliénation désastreuse dont il ne perçoit pas a priori l'importance : typiquement, la fortune contre son âme. Voilà pour les personnages effrayants des contes dont les situations

disaient euxmêmes incapables. La nature et l’intensité de la satisfaction ressentie est alors le plus souvent en étroit rapport avec le sentiment éprouvé, en regard du chemin parcouru, ayant permis d’obtenir un diplôme, préalablement considéré comme inaccessible pour soi. Cette réussite conduit fréquemment à reconsidérer sa propre représentation de soi-même. Dans certains cas, il est à remarquer que cette réussite a ensuite des effets très positifs dans l’exercice du métier. D’aucuns, en effet, voudraient

diriger sa vie comme un musicien conduit un opéra Adolescent, il ressemblait à beaucoup de personnages de ses contes, qui sont de fabrique plus fine que leur entourage, hantés par une image rêvée de la beauté, fascinés par toutes les formes d'une inaccessible liberté. Pendant dix ans, il fut fonctionnaire. Sa famille, honnêtement, veillait sur lui et le préparait à une honorable carrière administrative. Un grand-oncle, notaire, le prit d'abord comme clerc, puis on l'envoya à Glogau, en Silésie, chez

Sigmund FREUD (1901) Psychopathologie de la vie quotidienne Application de la psychanalyse à l'interprétation des actes de la vie quotidienne Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection fondée et dirigée