Booz Endormi

| s'étend sur plusieurs éléments | « [...] et Ruth se demandait,[...]Quel Dieu, quel moissonneur de l’éternel étéAvait, en s’en allant, négligemment jetéCette faucille d’or dans le champ des étoiles » — Victor Hugo, La Légende des siècles, Booz endormi | l’hypallage | épithète impertinente constituant une métaphore par le décalage de la relation logique entre les éléments d'une phrase | « le mélancolique animal » — Jean de La Fontaine, Le Lièvre et les Grenouilles « Automne malade »

4m x 7m) Puis il descendit seul sous cette voute sombre. Quand il se fut assis sur sa chaise dans l’ombre Et qu’ on eut sur son front fermer le souterrain, L’œil était dans la tombe et regardait Caïn. « Booz endormi » Ainsi une autre grande vision : celle du vieux Booz qui se désespère de ne pas avoir de descendance dans laquelle le poète fait un majestueux hymne de paix et de fécondité. Le poème comporte vingt quatre quatrains Et Ruth se demandait, Immobile, ouvrant l’œil

faucille d’or dans le champ des étoiles » | | | | |— Victor Hugo, La Légende des siècles, Booz endormi | | |l’hypallage |épithète impertinente constituant une métaphore par le décalage de |« le mélancolique animal »

de natures incompatibles (concret/abstrait) en jouant sur la polysémie du verbe initial ou de l'élément qu'ils ont en commun. Exemple : "Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques Vêtu de probité candide et de lin blanc." (Victor Hugo, « Booz endormi », La Légende des siècles, 1859, 1877 et 1883.) 2. Les figures d'insistance a. La répétition et l'anaphore On distingue la répétition simple de l'anaphore qui reprend un même mot à la même place, souvent en tête de phrase ou de proposition. Exemple

l’auteur établir des jonctions entre ce qu’il vit à la guerre et le monde symbolique qui lui vient de sa culture. Il raconte comment il est couché sur une botte de blé et il pense tout de suite à une figure de l’ancien testament : personnage de Booz endormi. Destin qui s’accomplit, conséquences très profondes (lire le poème de victor hugo, texte magistral) Le soldat se trouve projeté dans la grande histoire, dans le temps du sacré. Cri de l’apocalypse qui monte à ses lèvres « jusqu’à quand seigneur

André Breton, Nadja Lewis Caroll, Alice au pays des merveilles Eri de Luca, Montededio Grégoire Delacourt, La liste de mes envies Robert Desnos, « J’ai tant rêvé de toi», C0rps et biens Fatou Diome, Le Ventre de l’Atlantique Victor Hugo, Booz endormi, La pente de la rêverie Martin Luther King, I have a dream La Fontaine, «La laitière et le pot au lait » ; « Les Souhaits » Haruki Murakami, 1 Q84 et Kafka sur le rivage Nerval, Aurélia Georges Perec, Les Choses Arthur Rimbaud, «Rêvé pour

un seul exemple emblématique de métaphore filée en rendra compte : « (Ruth se demandait …) Quel Dieu, quel moissonneur de l’éternel été / Avait, en s’en allant, négligemment jeté / Cette faucille d’or dans le champ des étoiles », (Victor Hugo, Booz endormi). Les grandes orientations de la poésie [modifier] Pierre Ronsard La définition de genres poétiques a toujours été discutée en débattant de critères formels et/ou de critères de contenu (d’objet) et, par ailleurs, la poésie moderne en faisant

homme, ou «flambeau», luminaire travaillé, où la flamme est maîtrisée, qui représente le sentiment serein du vieil homme. Et cette distinction en fonction de l’âge est poursuivie : si, «jeune homme, on maudit» l’amour, c’est que sa force (dans “Booz endormi”, Hugo écrira : «Quand on est jeune on a des matins triomphants») le met en compétition avec d’autres passions, tandis que, quand on est vieux, on l’adore justement parce qu’il nous échappe. Le vers présente un chiasme par lequel «jeune homme»

deux ! - Souvenir de la nuit du 4 - L'expiation : « Il neigeait…/Waterloo ») - Les Contemplations (1856) (Demain dès l'aube… - A Villequier - Le Mendiant - Ce que dit la bouche d'ombre) - La Légende des Siècles (1859-1883) (La conscience : Caïn - Booz endormi - L'aigle du casque - Les Pauvres gens). Gérard de Nerval (1808 – 1855), dense et mystérieux : Les Chimères (1854)(El desdichado) En réaction contre l'effusion égocentrique du romantisme, un mouvement se fait jour: le Parnasse, qui veut recentrer

implication émotionnelle, distanciation et action. Pour conclure, nous nous livrerons au jeu qu’elle-même suggère, faire la liste « des bribes et éclats » qui nous reste de la lecture de son livre : l’explication de l’explication par Pierre Michon de « Booz endormi », la présentation de Georges-Arthur Goldschmidt et de sa souffrance, une lecture renouvelée de « La chèvre de Monsieur Seguin » et l’expression, si émouvante, qui désigne le livre-rencontre : « le “mon livre” ». Christine Moulin 174 Comptes