Bourse des valeurs

3 Méthodes dualistes 5 1.3 Détermination des taux d’actualisation 6 2 Evaluation de la société « X » 8 2.1 Objectif de la mission 8 2.2 Limites de la mission 8 2.3 Résultats de la mission 9 2.3.1 Méthodes retenues et valeur de la société 9 2.3.2 Justification de la valeur 9 3 La démarche détaillée de l’évaluation 10 3.1 Evaluation proprement dite de la société « X » 10 3.1.1 Méthode patrimoniale (Actif net comptable et l’Actif net comptable corrigé) 10 3.1.2 Méthode des Flux (Actualisation

particulièrement depuis 1995. BMCE Bank a fortement augmentée ses fonds propres en 1996 par recours notamment au marché international des capitaux à travers l'émission de 60 millions de dollars d'actions GDRs (Global Depositary Receipts) cotées à la Bourse de Londres, une opération inédite au Maroc et dans la région. L'expérience internationale de la banque est également renforcée par une présence en Europe en France depuis 1973 à travers une succursale et un réseau d'agences et de bureaux de

savoir l’assurance, le leasing et autres, et c’est ce qui les a conduit à vouloir se regrouper afin de promouvoir un groupe qu’on nomma plus tard « Attijari Wafabank ». Et c’est comme ça que ce projet porteur d’une dynamique forte de création de valeur a vu le jour. III. L’ambition stratégique : Ce projet, se basant sur la performance, l’éthique, la citoyenneté et le développement durable s’est fixé comme objectifs : ➢ Encourager l’investissement. ➢ Contribuer au développement

L’environnement juridique des affaires au Maroc a connu depuis les années 1990 un effort de modernisation important : - la réforme de la Bourse des valeurs de Casablanca, la création du Conseil déontologique des valeurs mobilières en 1993, - le code du commerce en 1995, - les lois sur les sociétés et autres groupements de 1996 et 1997, en particulier la loi sur les sociétés anonymes qui protège les actionnaires et consacre l’appel public à l’épargne - la loi sur la propriété industrielle, littéraire

justifie la nécessité d’examiner leur statut juridique et leur typologie. I-1-1 : Statut juridique des OPCVM : La notion d’OPCVM recouvre deux réalités juridiques différentes : ➢ Celle du fond commun de placement FCP, copropriété de valeurs mobilières sans personnalité morale et qui a par conséquent besoin d’une entité qui est la société de gestion ➢ Celle de la société d’investissement à capital variable SICAV, société anonyme dotée de la personnalité morale et donc de dirigeants

contrat. Ces membres s’organisent dans les statuts mais aussi dans les pactes extrastatutaires. Contrat en dehors des statuts. d) Apparition d’un droit spécifique des sociétés côté en bourse Réglementation était restreinte. Les choses ont évoluées, en 1967 > création de la COB (commission des opérations en bourse). Elle devait aider à retrouver l’information des actionnaires (contrôle). Puis les choses ont changées (aujourd’hui AMF > autorité du marché financier). Peut aujourd’hui imposer des

disponibles. Si acheteur comme vendeur ne fondaient leurs décisions que sur des faits, les prix ne changeraient qu’à l’annonce de nouveaux résultats ou d’informations sur la valeur. Or, ils évoluent aussi pour d’autres raisons. C’est, selon la théorie des marchés efficients, parce qu’une place de marché libre et transparente, comme la bourse par exemple, intègre et digère une masse de données, internes et externes qui font varier les prix. La majorité du contenu de l’analyse technique est directement liée

l’entreprise conduit à une mise en concurrence différente et à une modification des marchés pour les autres institutions qui viennent en soutient de l’entreprise en question. Il en est de même pour les marchés boursiers, il y a eu des fusions de la bourse en Europe mais aussi outre atlantique, et bien c’est peut être là encore le signe de cette fameuse internationalisation. Est-ce qu’il est plus pertinent d’être côté à Paris ou à New York quand on a des établissements qui sont à Paris et à New York 

risques et charges. 21 d- Variation du poste fournisseurs 21 e- Evolution de la trésorerie passive 22 1-2- Elaboration des bilans financiers 22 A- Les retraitements mis en œuvre 23 a- Le traitement des non-valeurs : 23 b- Le traitement des immobilisations incorporelles : 23 c- Le traitement des immobilisations financières : 23 d- Le traitement de l’actif circulant : 23 e- Le traitement du financement permanent : 23

45 Cas pratique……….…………………………………………………………....49 PARTIE III : Dépréciation des immobilisations corporelles selon la norme IAS 36…………………………………………………………………………….55 I-Définition et méthodes de détermination des UGT………………………………57 II-Pertes de valeur des immobilisations corporelles………………………………...61 III-Comptabilisation et suivi des dépréciations selon la norme IAS 36…………....71 IV-Difficultés pratiques de la mise en place de la norme IAS 36………………....77 Cas pratique…………………………………………………………………