Brahmane

c’est-à-dire du nirvana. 2- La croyance fondamentale est celle du cycles des réincarnations; des réincarnations succesives de l’âme et de la libération finale. 3- Il décrit le résultat du concept Brahman. F- 1-Les deux concepts fondamentaux sont: 1- Le concept fondamental du fait que tout est Brahman 2- Le concept fondamental de l’atman.

Seuls les brahmanes pouvaient réciter les mantras, transmis de père en fils. Les Védas constituèrent la première pierre de base de la religion. Ils furent complétés par treize Upanishads, textes explicatifs. Veda et Upanishads constituent les fondements de la civilisation indienne et de la pensée hindoue. Le peuple aryen influença l'organisation de la société en castes : L'organisation sociale se basa en tout premier lieu sur la couleur de peau et sur les rôles sociaux "brahmanes, guerriers

est un noble guerrier et Nikiya une bayadère. Ils sont passionnément amoureux l'un de l'autre, et vu que leur union est impossible, ils veulent s'enfuir. Le Grand Brahmane est aussi amoureux de Nikiya mais celle-ci l'ayant repoussé, il est furieux. Surprenant Solor et Nikiya au moment où ils projettent de s'enfuir, le Grand Brahmane décide de s'en servir pour se venger. Solor est censé se marier avec Gamzatti, la fille du rajah. Il la rencontre et apprend que le rajah veut qu'ils se marient dans

fils". Parce qu'elles sont une incarnation de la Mère Divine, les vaches sont, en Inde, protégées de l'abattage. Le Mahabharata explique également qu’il est interdit de consommer de la viande de chèvre ou de paon. La consommation de viande par les brahmanes, la caste la plus pure, est formellement interdite. Certains même refusent de manger des tomates et des betteraves car ces légumes ont la couleur du sang. Les castes intermédiaires consomment du poulet et du mouton. Les intouchables peuvent manger

castes : Les brahmanes : prêtres, enseignants et professeurs. 6% de la population (48 millions de personnes) Les Kshatriya : roi, princes, administrateurs et soldats Les Vaisyas: ceux qui détiennent le pouvoir économique, artisans, commerçants, hommes d'affaires, agriculteurs. Kshatriya + Vaisya = 19% de la population, soit 150 millions de personnes. Les Sudras : serviteurs des 3 autres castes, 50% de la population, soit 400 millions de personnes Selon les écritures sacrées, les brahmanes (prêtres)

................................................252 Bouddha et les castes ........................................................................256 Le sermon aux Kælæma.....................................................................260 Le brahmane Pañcagga .....................................................................261 Le sermon au Vénérable Cþ¹amælukyaputta.....................................263 Le moine malade, soigné par Bouddha.............................................265

d’universitaires d’origine coréenne des grandes universités nord-américaines. L’Inde peut être considéré encore aujourd’hui comme l’archétype d’une politique éducative « brahmane », alliant des techniciens compétents et une grande partie de la population analphabète. Il existe un lien entre ces architectures (mandarinale, brahmane ou académique), et le choix et le statut (respectivement : science administrative, savoir sacré, matière académique) des matières enseignées. L’architecture mandarinale

dont l’appartenance est déterminée dès la naissance : 1. Les Brahmanes. Il s’agit des prêtres et des enseignants. C’est la caste la plus élevée. 2. Les Ksatriyas. Ce sont les guerriers, les princes et les rois. 3. Les Vaishyas. Ce groupe est constitués de commerçants, d’agriculteurs et d’artisans. 4. Les Shudras se situent à la dernière place des castes et sont des serviteurs D’après un mythe célèbre du védisme, les brahmanes seraient sortis de la bouche de Brahmâ, dieu de la création, les

B- La critique implicite de l’intolérance religieuse Chacun des interlocuteurs du croyant prétend détenir la vérité. On peut penser que chaque interlocuteur est le représentant d’une religion et peut être même un responsable religieux : « un brahman qui passait par la » l.14 Le « chaque » l.3 nous montre que chacun est un avis différent et le champ lexicale de la volonté « veut » l.3 et 6, « exige ». Il y a une mise en doute par le croyant de la pertinence des propos qu’on lui tient : «prétendent»

la multiplicité des castes, chacune étant territorialement définie. Y. L. – En quoi une caste a-t-elle une dimension territoriale ? Au-delà des varnas, les quatre grandes divisions de l’orthodoxie brahmanique que l’on met toujours en avant, les brahmanes, les kshatriyas, les vaishyas et les shudras, et qui définissent un modèle hiérarchique panindien, dans la réalité une caste se définit pour la plupart des Indiens par un territoire, qui correspond à l’extension du système endogamique auquel on appartient