Brasse Bouillon

une des premières à remettre aussi brutalement en cause l’autorité parentale. Analyse de la couverture : La couverture du livre reprend l’affiche du filme sortis en salle le 6 Octobre 2004 Les photos de Folcoche ( Catherine Frot) et de Brasse Bouillon (Jules Sitruk) mise cote a cote , annonce déjà une opposition entre ceux deux personnages, le fait que leurs photos soient disposées au dessus du titre montre également que se seront eux les personnages principaux de l’histoire. Le père, ( Jaques

lui surnomment « Folcoche » parce qu’elle se montre rapidement méchante envers eux. Document 1 : résumé du roman d’Hervé Bazin : En 1922, après la mort de leur grand-mère paternelle qui les a élevés, le narrateur, Jean Rezeau surnommé « Brasse-Bouillon » et son frère aîné Ferdinand retrouvent leurs parents et leur petit frère Marcel, revenus de Chine. Mais ce retour dans la maison familiale, la « Belle Angerie », se révèle vite dramatique : leur mère, surnommée « Folcoche » (contraction de

yeux semblables à ceux d’une vipère transmettant un regard strict. Résumé : L'histoire débute durant l'été 1922. Un enfant découvre une vipère. Il la saisit et l'étouffe de ses mains. 25 ans plus tard, Jean Rezeau (surnommé Brasse Bouillon), "l'enfant de 1922" est le narrateur de l'histoire. Il évoque la propriété de sa famille, La Belle Angerie. Au début il présente sa famille ( sa grand-mère paternelle, chez qui lui et son frère aîné, Ferdinand (surnommé Chiffe), ont passé quelques

lorsqu'ils recherchent tous le chapeau. On peut également voir ce « Ciel » comme une annonce que le chapeau de paille se trouvera là où ils ne pourront l'atteindre facilement, à savoir accroché à un réverbère, donc près du ciel. Dans la mise en scène de Bouillon, Anaïs est un personnage hystérique, qui a une voix très aiguë quand elle représente sa panique face à la découverte de son adultère. Cela rend d'autant plus les répliques « Ciel » totalement comique et tire vers le ridicule. Le rôle de Beauperthuis

« folle » et « cochonne »), une mère sèche et cruelle, constamment à la recherche de nouveaux moyens d'oppression et de brimade (voir par exemple l'histoire de la fourchette), et ses enfants, dont, en premier lieu, le narrateur, Jean Rezeau, surnommé Brasse-Bouillon. Maurice Nadeau apprécie ces « Atrides en gilet de flanelle », selon l'expression d'Hervé Bazin. Ce roman connait un immense succès après-guerre et est suivi de nombreux autres qui décrivent, avec un certain naturalisme et un art du portrait psychologique

père est très riche et il achète beaucoup de choses à son fils (« il gagne des tas et des tas d'argent »). Quand il apporte quelque chose à l'école, il aime faire son mystérieux et ses copains viennent toujours vers lui lorsqu'il a un paquet sous le bras. Ce dernier aime venir à l'école déguisé. Geoffroy est plutôt fier de son luxe et à force de se vanter, il s'est fait une réputation de menteur chez ses camarades qui depuis croient rarement ses histoires. Quand les mamans sont demandées à l'école

déroule en Anjou; l'histoire se présente sous forme d'un huis clos, l'intrigue tournant autour de cinq personnages principaux, les parents et leurs trois enfants.   Résumé :   Leur parents vivant en Chine, Jean, le narrateur, dit Brasse-Bouillon, et son frère, Frédie dit Chiffe, vivent une existence paisible et heureuse à la Belle-Angerie, le manoir familial, avec leur grand-mère paternelle et bon nombre d'oncles, de tantes et de domestiques. A la mort de leur grand-mère, leurs parents

Résumé - Vipère au poing : Vipère au poing est un roman largement autobiographique d'Hervé Bazin, publié en 1948. Le livre relate l'enfance et l'adolescence du narrateur, Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et détaille ses rapports avec sa mère, dite Folcoche. Celle-ci avait été séparée de ses enfants en bas-âge pour mauvais traitement présumé, et ne les retrouve qu'à la mort de la grand-mère qui les élevait jusque-là. S'ensuit un fascinant huis-clos entre la mère indigne, les trois enfants

Le narrteur Jean Rezeau se souvient que, 25ans plus tôt, alors qu'il n'avait que 4 ans et qu'on l'appelait Brasse-Bouillon, il étouffé une vipère. Il vivait alors ac sa grd-mère et son frère aîné Ferdinand, ds le dommaine de la Belle Angerie, la riche propriété de sa famille. Quelques années plus tard, ses parents reviennent de Chine avec leur 3eme fils Marcel. Hélas! Mme Rezeau, bientôt surnomméé Folcoche, est une trés mauvaise mére, et Mr Rezeau est un père soumis à sa femme. Les enfants subissent

revu depuis que je suis parti des J2suites. 5/Etiez vous vraiment comme Brasse bouillon dans Vipère au poing ? Aussi audacieux et fougueux ? J'étais même pire (rires). J'ai en réalité fugué plusieurs fois de chez moi au lieu d'une seule dans Vipère au poing. Brasse-bouillon était mon vrai surnom, mais je n'ai pas inclus les plusieurs fugues pour ne pas casser le rythme de l'histoire. Sinon j'étais exactement comme Brasse Bouillqon j'avais le même caractère que lui. 6/ Avez vous écrit d'autres