Brasse Bouillon

dans le contexte de l’a retrouvée. 2) Ce roman est composé de 237 pages et de 25 chapitres. Il a donc volume moyen et des chapitres plutôt courts. Le point de vue narratif est interne : le narrateur s’appelle Jean REZEAU ou autrement appelé « Brasse-Bouillon », il s’agit donc d’Hervé BAZIN, l’auteur durant sa jeunesse. Le titre « Vipère au poing » fut choisi par rapport à une des scènes au début livre ; Jean, enfant, brandit une vipère et l’étrangla jusqu’à son dernier souffle

Le narrateur, Jean Rézeau dit Brasse-Bouillon, est élevé avec ses deux frères, Frédie et Marcel, à la Belle-Angerie. Sa famille appartient à la haute bourgeoisie de province, ruinée mais tenant à préserver les apparences. Jean et ses frères sont éduqués par un abbé, surnommé > car il est le septième à occuper ces fonctions. Les garçons, menés par Jean, sont en conflit ouvert avec leur mère qu'ils surnomment Folcoche (contraction de Folle et cochonne). Celle-ci leur inflige un règlement très strict

sont généralement indépendantes les unes des autres bien que parfois Nicolas cite une anecdote d'une histoire précédente. L'ensemble de l'œuvre peut être lue sans ordre particulier des histoires. Certains passages tels que l'origine du surnom du Bouillon, la description du terrain vague ou encore le fait qu'Alceste est "un copain qui mange tout le temps" sont repris très régulièrement et contribuent au style enfantin de la narration. Origine et publications[modifier | modifier le code] On rencontre

étrange jusqu'à rendre mal à l'aise. De plus, Camille fait une allusion à son futur assassinat sans le savoir : « Il ne ferait pas bon de piquer une tête dans ce bouillon là ». « Piquer une tête » fait allusion au moment où celui-ci se retrouvera dans l'eau en pleine lutte avec Laurent. « Ce bouillon » renvoie à l'expression boire le bouillon qui signifie avaler de l'eau, se noyer. Ceci est donc une ironie tragique. Dans un dernier temps, nous observerons les éléments symboliques présents dans l'extrait

Seulement, au début du livre lorsque Paule revient d’Indochine, Ferdinand seconde Jean dans ses manigances contre Folcoche. En effet il l’admire pour son courage et son audace d’affronter leur cruelle mère. 2) Avec Jean Jean est surnommé Brasse-Bouillon, et est donc le narrateur de cette histoire. Il est détesté par sa mère, et se rebelle contre elle. Il lui tient tête, ce qui met Folcoche dans une colère noire. Pour ce qui est de la dureté de caractère et de son physique, Jean a hérité de sa

dans la rivière. — Fichtre! que c'est froid! s'écria-t-il. Il ne ferait pas bon de piquer une tête dans ce bouillon-là. Laurent ne répondit pas. Depuis un instant il regardait les deux rives avec inquiétude ; il avançait ses grosses mains sur ses genoux, en serrant les lèvres. Thérèse, roide, immobile, la tête un peu renversée, attendait. La barque allait s'engager dans un petit bras, sombre et étroit, s'enfonçant entre deux îles. On entendait, derrière l'une des îles, les chants adoucis d'une

enfants n'ont pas de vie sociale en dehors de la Belle-Angerie, ils ne peuvent pas partager leurs souffrances, morales comme physiques, avec des camarades extérieurs, ils n'ont aucun confident qui saurait les aider à se tirer des bras de Folcoche. Par exemple, lorsque Brasse-Bouillon s'évade de la maison pour entreprendre en voyage chez ses grands-parents maternels, il aurait pu aller voir un ami s'il était scolarisé et lui raconter combien il est maltraité

paroleset les pensées austyle indirect libre. On utilise de nombreux verbes deperception. Il donne une vision subjective du temps et de l'espace. Il se confond avec un ou plusieurs personnages. Le garcon et le narrateur c’est la meme person – le Brasse-Bouillons. Le narrateur se souviens et analyse la premiere rencontre avec sa mere. Rappelés par télégramme, M. et Mme Rezeau mirent huit mois à rentrer. Nous pouvons dire que c’esr du regard de narrateur que est deja adulte et a la possibilite d’analyser

La famille Rezeau composé de Jacques Rezeau, le père qui est à l’écoute de ses enfants et passionné par les mouches, Paule Pluvignec, la mère autoritaire et sèche, et de leurs enfants Ferdinand dit Chiffe, le plus grand des frères, Jean dit Brasse-Bouillon , l’enfant qui ressemble le plus à sa mère et le meneur et Marcel dit Cropette, le plus petit qui est revenu de Chine en même temps que ses parents, est une famille dispersé par des plans diaboliques qui troublent la vie sereine familiale. Jean

lys pur, des oriflammes sous les murs dont quelque pucelle eut la défense ; l'ébat des anges ; - Non... le courant d'or en marche, meut ses bras, noirs, et lourds, et frais surtout, d'herbe. Elle sombre, ayant le Ciel bleu pour ciel-de-lit, appelle pour rideaux l'ombre de la colline et de l'arche. II Eh ! l'humide carreau tend ses bouillons limpides ! L'eau meuble d'or pâle et sans fond les couches prêtes. Les robes vertes et déteintes des fillettes font les saules, d'où sautent