Britannicus Tragédie

Néron, il y a du présent d’énonciation ce qui donne au récit l’impression d’être témoin de la scène. Ça donne aussi un effet de didascalie. - au point de théâtraliser, de mettre en scène ce meurtre comme un coup de théâtre. En effet rappelons que Britannicus s’est rendu au Banquet de Néron pur se réconcilier mais Narcisse l’y a empoisonné, les gens présents au banquet était comme un public «on se tait ce coup frappe tous les esprits  La moitié s'épouvante et sort avec des cris »  III] mais une

d’Agrippine, essaie de la détrôner du pouvoir ainsi que Britannicus (fils de l’Empereur Claude). Il cherche à épouser de force Junie, qui aime Britannicus (aimé de Junie). Narcisse, le confident de Britannicus, trahit ce dernier et aide Néron à persécuter Junie. Burrhus, confident de Néron, essaie d’empêcher le conflit entre Néron et Britannicus en s’alliant avec Agrippine. Junie révèle son amour à Britannicus. Néron fait arrêter Britannicus et Agrippine puis menace Burrhus. Croyant reprendre

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corpus de textes théâtraux où les personnages sont en pleine situation de rapport de force. Nous avons premièrement Antigone de Sophocle, datant de 442 avant J.C., ainsi qu'un extrait de L'Avare de Molière publié en 1668, puis une pièce de Racine, Britannicus, de 1669. Nous avons ensuite deux oeuvres de Musset, Les Caprices de Marianne et Lorenzaccio, publiées respectivement en 1933 et 1934. A travers ces différents extraits, nous pouvons nous demander comment s'expriment les rapports de forces entre

Britannicus : acte I scène 1 : La scène I de l'acte I dont nous allons étudier le début, est un dialogue entre la mère de Néron, Agrippine, et Albine, sa confidente. Elle correspond en tous points à ce que les classiques appelaient une scène d'exposition, c'est à dire une scène qui se donne pour objectif d’informer rapidement le spectateur, de la manière la plus naturelle possible. Spectateur de B trouve grand nombre d’info dès début de B. Notons d’abord que nous avons à faire à un début « in medias

de séduction aupres de junie quitte à briser l'union qui le lie à son épouse légitime, ainsi que celle de Britannicus à Junie. Mais aussi une Intrgue politique car durant toute la pièce Néron tente de se détaché de l'emprise qu'a sa mère Agrippine sur lui, l'empereur. Pour arriver à son but, l'empereur est prêt à tout. Entre les arguments de son conseillé et Narcisse (traitre de Britannicus), de Burhus et d'Agrippine, Néron se retrouve perdu. Il est certes très influencable et manque clairement

Néron et Agrippine Qui est Néron ? Néron était un empereur romain, dont le règne dura de l’an 54 à l’an 68. Néron s’appelait de sa véritable identité, Lucius Domitius Ahenobarbus, il était né en l’an 37 après J.C. et est mort, en l’an 68 après J.C. Il faut savoir que Néron avait été proclamé empereur romain par sa mère Aggripine avec l’aide de Sénèque. Neron accéda à sa fonction après la mort de son grand-oncle qui était aussi son père adoptif Claude, Claudius Néron, dans les premiers temps, régna

qu'elle fût, par lui peser tellement, qu'il résolut sa mort. Il n'hésitait plus que sur les moyens, le poison, le fer, ou tout autre. (2) Le poison lui plut d'abord; mais, si on le donnait à la table du prince, une fin trop semblable à celle de Britannicus ne pourrait être rejetée sur le hasard; tenter la foi des serviteurs d'Agrippine paraissait difficile, parce que l'habitude du crime lui avait appris à se défier des traîtres; enfin, par l'usage des antidotes, elle avait assuré sa vie contre l'empoisonnement

se montre un administrateur capable et un grand bâtisseur public. Son règne voit l'Empire s'agrandir : cinq provinces s'ajoutent à l'Empire dont la Bretagne, en 43, (où il se rend pour obtenir les triomphes, se voyant ainsi décerner le surnom de Britannicus, ainsi qu'à son fils), la Lycie, la Mauritanie, la Norique et la Thrace. Il s'intéresse personnellement aux affaires publiques, se penchant sur les lois et présidant les procès publics. Il va jusqu'à publier vingt édits par jour.Il étend la citoyenneté