Bruit de fond

nazis envers les juifs, elle était allemande. Irena a caché des enfants dans le fond de sa boite à outils qu’elle transportait à l’arrière de son véhicule ainsi qu’un grand sac (pour les enfants plus grands) Elle avait aussi un chien à l’arrière qu’elle a entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlait à l’entrée et à la sortie du ghetto. Les soldats ne pouvaient rien contre le chien qui couvrit en fait le bruit que pouvait faire les enfants. Elle sauva 2500 enfants en les cachant ainsi.

du personnage, qui se souvient d'un événement qui y a eu lieu. On peut aussi constater que cette description ressemble beaucoup à celle de l'incipit.focalisation interne Le travail grondait partout, les coups de rivelaine qu'il croyait saisir, au fond de la terre, tapaient maintenant d'un bout de la plaine a l'autre. Un coup, et un coup encore, et des coups toujours, sous les champs, les routes les villages, qui riaient à la lumière : tout l'obscur travail du bagne souterrain, pour en distinguer

"), et en particulier son incapacité à fixer ses idées. On trouverait des métaphores comparables chez Baudelaire. V. par exemple le poème " Spleen ", n° 78, des Fleurs du mal : Et qu’un peuple muet d’infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux. Antithèse donc, entre l’animal familier aristocratique, qui a la charge de consoler sa maîtresse de ses frustrations d’une part, les animaux prosaïques et affligeants de banalité de la campagne rouennaise et l’inquiétant motif

A une femmeA vous ces vers de par la grâce consolante De vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux,De par votre âme pure et toute bonne, à vous Ces vers du fond de ma détresse violente.C'est qu'hélas ! le hideux cauchemar qui me hante N'a pas de trêve et va furieux, fou, jaloux, Se multipliant comme un cortège de loups Et se pendant après mon sort qu'il ensanglante !Oh ! je souffre, je souffre affreusement, si bienQue le gémissement premier du premier hommeChassé d'Eden n'est qu'une églogue au

le pronom « vous ». Devenant ainsi une seule entitéindivisible. Cette fusion est exprimée aussi par la figure de l’hypallage du vers 2 et 3 : «ton coeur se distrait quelques fois de sa propre rumeur». Et du vers 10 et 11 : « Homme, nul n’a sondé le fond de tes abimes O mer nul ne connait tes richesses intimes » Les attributs de la mer et de l’homme sont inversés. Cette inversion crée une sorte d’union entre ces deux entités protagonistes. Cet amalgame est rendu aussi prosodiquement par l’alternance

(Bruits de la gare, annonce d'un train, musique en fond) Il est 8 heures du matin. Parmi les nombreux pendulaires qui sillonnent la gare de Lausanne, certaines personnes ne semblent pas se hâter pour parvenir au bureau à temps. Ces gens, munis d'instruments de musique ont pour mission d'égayer les passages sous voies des halles de chemin de fer. Tous les jours, ces musiciens de tout âges et de tout horizons nous livrent leur répertoire musical. Allant des airs sud américains aux concertos à l'accordéon

un autre plat et sur la nappe ; on le suit à trace. Il mange haut(3) et avec grand bruit ; il roule les yeux en mangeant ; la table est pour lui un râtelier(4) ; il écure(5) ses dents, et il continue à manger. Il se fait, quelque part où il se trouve, une manière d'établissement(6) , et ne souffre pas d'être plus pressé(7) au sermon ou au théâtre que dans sa chambre. Il n'y a dans un carrosse que les places du fond qui lui conviennent; dans toute autre, si on veut l'en croire, il pâlit et tombe en

| |Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, |Et tout mon sang va s'en aller  | |Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, |S'en aller à ta recherche  | |Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, |Mon amour 

fumées industrielles nuisibles à la végétation, à la forêt, aux légumes de nos potagers. Cette eau qui filtre à travers le sol déjà pollué lui aussi peut donc être néfaste pour les nappes phréatiques. - Une pollution moins importante c’est le bruit, même si elle ne cesse d’augmenter car nous sommes de plus en plus nombreux à nous déplacer. Voyez les grandes villes aux heures de pointe, tout cela devient difficile à vivre. - Et enfin la pollution du sol en espérant qu’elle n’est pas irrémédiable

deux semaines chez elle. Je fus ravie, cela tombait bien car je ne m' entendais pas très bien avec mes parents. C'était donc un bon moyen pour prendre du recul et faire le vide dans sa tête. Ma tante s' était installée dans un petit bout de terre au fond de l' Ecosse. Elle y avait acheté une ancienne demeure nouvellement. J' arrivais chez elle deux jours après qu' elle m' eut invité. La maison de ma tante était assez vaste et grande dans l' ensemble. L' extérieur semblait prévoir l' état de ce qui