Brume

Auteur : Baudelaire Titre : La musique Époque : 19 ième Oeuvre dont est tiré le titre : Les Fleurs du mal La musique : La musique souvent me prend comme une mer ! Vers ma pâle étoile, Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther, Je mets à la voile ; La poitrine en avant et les poumons gonflés Comme de la toile J’escalade le dos des flots amoncelés Que la nuit me voile ; Je sens vibrer en moi toutes les passions D’un vaisseau qui souffre ; Le bon vent, la tempête et ses convulsions

qui font rêver d’éternité », il part du réel mais le transforme par son regard artistique (« ciels » au lieu de « cieux » est une formule de critique artistique), puis devient un peintre du clair-obscur, évoquant un paysage nocturne plongé dans la brume, il se ferme finalement au monde extérieur pour « évoquer le printemps avec sa volonté » (vers 24). Il part donc du réel, pour s’élever vers les clochers, vers les gens ciels, le firmament et fermer son esprit au monde extérieur et plonger dans un

nouvelle qui crée le plus l’ambiance fantastique recherchée par Maupassant. La brume est souvent utilisée au cinéma pour créer une scène effrayante. Rare est le moment où une scène joyeuse sera illustrée dans un décor rempli de brouillard. Sans cet élément de la nature, l’environnement où se trouvait le personnage principal n’apparaîtrait pas autant angoissante pour le lecteur. La façon dont l’auteur introduit le moment où la brume s’installe est révélateur du sentiment de peur contenu dans l’histoire :

des villes détruites, de la brume, des morceaux de bois qui laissent une ambiance lugubre. Les couleurs rouges et brunes du sang dominent. DIAPO 7 : Le panneau de gauche représente les soldats partant au front, on ne voit pas leurs visages, ils sont de dos. On ne peut pas les compter, ils marchent en « troupeau ». Otto Dix rend ces soldats anonymes. Le ciel est chargé et rouge, cela annonce les violences qu'il va y avoir au combat. Les soldats se déplacent dans la brume où ils semblent se perdre

créativité et son avant gardisme en représentant un concept très peu détaillé dans l’oeuvre de référence et en y conférant une atmosphère cauchemardesque, presque fantastique en usant de procédés visuels comme le clair-obscur ou la représentation d’une brume environnante, il s’inscrit néanmoins dans un style de peinture très académique avec certains codes que le

opposition entre deux sentiments antagonistes, La cloche fêlée II est amer et doux, pendant les nuits d'hiver,D'écouter, près du feu qui palpite et qui fume,Les souvenirs lointains lentement s'éleverAu bruit des carillons qui chantent dans la brume. Bienheureuse la cloche au gosier vigoureuxQui, malgré sa vieillesse, alerte et bien portante,Jette fidèlement son cri religieux,Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente! Moi, mon âme est fêlée, et lorsqu'en ses ennuisElle veut de ses

climatique ; il les ‘couvent‘ comme une mêre couve son enfant. Le jardinier gaspille aussi beaucoup d’énergie pour s’occuper de ses plantes comme le traduis l’accumulation de verbes d’actions ‘il les bassinait, les aérait, enlevait avec son mouchoir la brume des cloches’. Tout ces verbes sont à l’imparfait, ce temps exprime la répétition, l’habitude. Il effectue régulièrement les mêmes gestes, comme une mère avec un enfant en bas âge quand elle doit l’habiller, le changer, ect... Pécuchet éprouve donc

début de roman présente quelques éléments classiques. Des indications de lieux, telles que « porte » « couloir dérobé du palais de justice «  ou « petite place » nous sont données. D’autres permettent également de situer l’époque de l’année : la « brume » et les « marches mouillées » peuvent nous faire penser à l’automne, à une fin de journée de pluie. Mais ce n’est pas tout, l’héroïne de l’histoire, personnage éponyme, nous est présentée. Son nom est énoncé à la première ligne : « Thérèse Desqueyroux »

de couleur : les petits sont " noirs dans la brume ". Ils sont dans le sombre, alors que la " neige " les entoure et le " trou clair " les " illumine ".  De plus, par le " grand soupirail ", - alors qu'ils sont petits -, on remarquera l'inaccessibilité.  Derrière leur grille, devant le " trou chaud soufflant la vie ", les petits, misérables, derrière leur treillage, voyant le médianoche s'emparer du pain, deviennent dans la " neige " et la " brume " de " pauvres jésus de givres ", payés par

dégénéré » avant qu’il ne soit caché des nazi qui auraient pu le détruire. Analyse de La Guerre d’Otto Dix Ensemble des panneaux On peut observer une évolution dans le temps au cours des panneaux. Ils racontent une histoire. A gauche dans la brume du matin, on voit les soldats partir au font. An centre on voit la terrible bataille et ses mots. A gauche, on peut voir le soir ou la nuit avec des flammes en arrière-plan. La lumière nous donne quelques indices et l’on peut distinguer une bande de