Brume

Nancy y voit la figure de Constantinople, dominée par le mystère, la peur de l’inconnu, qui pourtant ne peut rester inassouvie. Tout est plongé dans la brume, impression d’autant plus grande que le terme est répété trois fois, Nancy ne voit que le plus évident, ce qui domine (« le dôme », « la pointe ») elle ne plonge pas encore dans cette brume. La métaphore architecturale souligne le lointain, l’immense, l’imposant, mais que Nancy pour le moment ne devine qu’à peine. Un monde tend à la séparer

n’importe ou , on déduit le contexte de cet extrait à l’aide de ce coup de pouce discret de l’écrivain car il n y a un seul lieu évoqué mais pas de date . Le gaz n'est pas évoqué au début ; l'auteur parle seulement d'une « aube olivâtre », d'une « brume verte ». ( abstrait ) Ce n’est qu'à la fin du premier paragraphe que le lecteur sait qu'il s'agit (l.14) «des premiers filets de gaz» . Ce mystère est introduit dans le texte d’entrée grâce à l’atmosphère pesante mise place et une description peu

dans une loggia. Derrière apparaît un paysage à dominante minéral, semblant irréel, présenté en surplomb, c'est-à-dire vu du dessus. La peau et les mains ressortent dans un contraste clair obscur très prononcé, le tout semblant baigner dans une brume d'or. COMMENTAIRE: La Joconde est une représentation réaliste de cette femme, Lisa del Giocondo, nommée aussi Mona Lisa, dans sa loggia au dessus d'un paysage imaginaire, peint d'une manière illusionniste. Le trompe l'œil est obtenu grâce

dégénéré » avant qu’il ne soit caché des nazi qui auraient pu le détruire. Analyse de La Guerre d’Otto Dix Ensemble des panneaux On peut observer une évolution dans le temps au cours des panneaux. Ils racontent une histoire. A gauche dans la brume du matin, on voit les soldats partir au font. An centre on voit la terrible bataille et ses mots. A gauche, on peut voir le soir ou la nuit avec des flammes en arrière-plan. La lumière nous donne quelques indices et l’on peut distinguer une bande de

Et d'autres encore... IV – Quelles sont les conséquences de la pollution ? Voici un exemple de la pollution à pékin qui est un petit film vidéo sorti sur BFMTV le 30 janvier 2013 : http://www.youtube.com/watch?v=SvT1tpIVVp4 Le SMOG est une brume brunâtre épaisse, provenant d'un mélange de polluants atmosphériques, qui limite la visibilité dans l’atmosphère. Il est constitué surtout de particules fines et d'ozone. Le smog est associé à plusieurs effets néfastes pour la santé et pour l'environnement

rayonnement, sur sol (chaud) vers l’atmosphère (air froid). Il apparaît souvent aux intersaisons. On considère qu’il y a du brouillard lorsque la visibilité est inférieure à 1 000 m BR : BRUME On considère qu’il y a brume lorsque la visibilité se situe entre 1 et 3 kms. En aéronautique en deçà de 3 Kms, on dit que la visibilité est réduite. ST : SRATUS De 0 à 1 000 ft Ils font partis de l’étage bas, ils

élévation est associé à des sentiments de douceur et de bien-être. - La présence des 5 sens révèle également une forme de plénitude : o Ouïe : écouter, chanter, carillons. o Toucher : feu, doux, palpite. o Goût : amer. o Odorat : fume. o Vue : feu, brume. B – La cloche comme célébration du lyrisme poétique vigoureux - Cette élévation est permise par le chant de la cloche. - Personnification de la cloche : « chanter », « gosier », « vieillesse », « cris », « bien portante », « alerte ». - Champs

j’la vide! Quand j’ai vidé la table comme faut… Quand j’ai vidé la table comme faut, y’a une espèce de brume épaisse qui entoure ma table, pi j’vois pus les autres… Chus tu-seule, dans’ taverne! Pis chus ben ! (p.35) J’m’installe devant la table vide… J’demande au waiter d’la remplir, pis… j’la vide! Quand j’ai vidé la table comme faut… Quand j’ai vidé la table comme faut, y’a une espèce de brume épaisse qui entoure ma table, pi j’vois pus les autres… Chus tu-seule, dans’ taverne! Pis chus ben ! (p

l’extrait. Nous allons donc parler dans un premier temps de l’effroi de Cosette pour ensuite parler d’une peur universelle qui se propage jusqu’au lecteur. I/La Frayeur de Cosette 1) Un décor propice à la Peur Hyperbole « une épaisse couche de brume qui lui donnait une rougeur horrible. » La rougeur de l’horizon pourrait être qualifiée de magnifique, magique, mais l’auteur a ici choisi de qualifier cette rougeur d’horrible. Chaque élément est qualifié afin d’être rendu terrifiant, chaque partie

j’eu le temps d'examiner l'endroit : Une gigantesque mer blanche constituant à elle seule tout le paysage se trouvait entourée de brume elle aussi, il était impossible de distinguer l'horizon, j'avais comme l'impression de me retrouver dans une bulle, l'atmosphère était lourde, je sentais des rayons de soleil qui essayaient timidement de traverser la parois de brume. J'étais persuadé que quelque chose se trouvait derrière cette barrière naturelle cachée de tout regards.. Les muses nomment ce lagon