Brume

prototype de robot géant nommé Talos, un géant de bronze et meurt après avoir réussi à le détruire. Tout en étant attaqués par des guerriers squelettes au barrage Hoover, Percy rencontre Rachel Elizabeth Dare, une fille qui peut voir à travers la brume. Elle sauve Percy en embrouillant les squelettes, permettant à Percy et ses amis de s'échapper. À San Francisco, ils apprennent que Bessie, l'Ophiotaurus, est le monstre qu'ils recherchent car son sacrifice et la combustion de ses entrailles leur

jeune fille est livrée a elle même dans un milieu sombre et stressant, nous finirons par démontrer la mise en scène d'une nuit intérieur. I Une fillette seule dans un lieu pesant a)La forêt au caractère obscure La forêt est caractérisé par la brume(L.3)le froid et le vent(L.6)le sifflement des buissons(L.8)le bruissement des herbes(L9.10) La jeune fille a aucun moyen de se rassurer dans un milieu comme celui-ci. b)Une nuit pleine de frisson La nuit sombre donne a Cosette une forte imagination

artistique par sa forme mais aussi car elle correspond à un nouveau mouvement artistique « expressionnisme ». Description de l’œuvre. Sur le tableau on peut observer une évolution dans le temps au cours des panneaux. A gauche dans la brume du matin, ont voit les soldats partir au front. Au centre ont peut observer des cadavres, qui sont dans une tranchée et ont voit arriver une personne avec un masque à gaz. En arrière-plan on y voit des ruines, on peut supposer que sont celle de Verdun

parfois discutables, ne traduisent une réalité que pour les pays tempérés de l'hémisphère nord. « Pluie de juin n'est que fumée. » (dicton de Provence) « Le temps qu'il fait en juin le 3 sera le temps du mois » (dicton du Poitou) ou « en juin, brume obscure, trois jours seulement dure. » « Juin larmoyeux rend le laboureur heureux » (dicton des Alpes) ou « s'il tonne au mois de juin année de paille et de foin » (dicton de l'Indre) ou « pluie en juin donne belle avoine et chétif foin. » (dicton

champ lexical de l’ombre et de l’obscurité : « à l’ombre » (v.1), « coucher du soleil » (v.2), « en un lointain obscur » (v.6), « bois sombres » (v.9), « crépuscule » (v.10), et la métaphore du « char vaporeux de la reine des ombres », qui désigne la brume de la tombée de la nuit. Le locuteur se compare lui-même à une « ombre errante » (v.19). Cette thématique de l’obscurité témoigne bien du vague à l’âme du poète, et la nature qui l’environne traduit donc cette sensibilité romantique. un lyrisme

renforce le soupçon : « Ça n’est pas étonnant qu’il te ressemble si peu ». Pierre trouble le repas avec les sienset celui - ci commencent à faire des projets. Sorti en mer, il est torturé par le soupçon éveillé par les phrases de ses amis. La brume l’oblige à rentrer. Il commence « une enquête minutieuse » et plutot pénible pour découvrir la vérité. Un souvenir lui revient : Maréchal, dont un portrait accroché au mur avait été enlevé après la naissance de Jean, « blond, blond comme Jean. »

Ces côtes ne sont pas lisses mais rugueuses. - le bateau : c’est la tâche noire (voire grisée car elle est confondue avec le blanc) au centre. Là encore le peintre a utilisée une brosse afin d’estomper les couleur ce qui forme une espèce de brume.

Nuit de Sine : 4 strophes : 2 de 6 vers (la 1er et la dernière) 2 centrales de 4 vers Poème en vers libres Strophe 1 : le décor 6 Vers longs et rythmés : mouvement doux (balancées, brise, berce) Ambiance feutrée : brume, profond, Personnification de l’Afrique : battre son pouls Sens auditif : bruissent, chanson, chant, écoutons, pouls, silence rythmé Sens tactil : les mains Image de la femme : nourricière (nourrice), mère (berce) protectrice (balsamiques) Lieu : village d’Afrique

Sorti en mer, il est atrocement torturé par le soupçon éveillé par les phrases de ses amis, et il cherche avec acharnement la raison pour laquelle seul Jean a hérité de la fortune, alors que Maréchal le connaissait depuis qu'il était tout petit. La brume l'oblige à rentrer. Il commence alors « une enquête minutieuse » et particulièrement pénible pour découvrir la vérité. Un souvenir lui revient : Maréchal, dont un portrait accroché au mur avait été enlevé après la naissance de Jean. Maréchal était

Meister de Dresde. -couleurs principales : gris noir pour les gravats, la mort et les cendres et le rouge et le marron pour le sang et la boue -panneau de gauche : soldats en armes portant un sac à dos, disparaissant dans la brume composition assez tranquille : lignes à dominante horizontale (bande de brouillard ; énergie et dynamisme des troupes : corps et fusils légèrement inclinés mais bien ordonnée) -panneau centrale : premier plan : exprime la fureur