Brume

dure en amour Mais parfois à la place ça fait mal" Parfois ça dure en amour Mais parfois à la place ça fait mal, oui Tu sais comme le temps s'envole Seul hier fut le meilleur moment de nos vies Nous sommes nés et avons été élevés dans une brume d'été Liés par la surprise de nos jours de gloire Je déteste débarquer à l'improviste sans y être invitée Mais je ne pouvais pas rester à l'écart, je ne pouvais pas lutter contre ça J'avais espéré que tu verrais mon visage Et que tu te rappellerais

dans mes souvenirs,l'été est torride morne et déprimant, la maison est vide et triste…Et pourtant la vie continue, alors il faudra que je m'habitue a vivre sans toi je pense à toi, quand je regarde l'horizon,a l'heure où le soleil disparaît sous la brume, laissant à l'infini le rêve ou l'amertume… Et par-delà le temps, par-delà les saisons, au moment où le jour se glisse dans la nuit, où la terre s'endort, où la brise s'envole, tandis que chaque fleur referme sa corolle, mon cœur oublie le monde et

principalement ternes : gris et noir. II C : Analyse panneau par panneau Le panneau de gauche : représente les soldats partant au front, on ne peut pas voir leurs visages, on ne peut pas savoir combien de soldats sont présents, ils disparaissent dans la brume. II C : Analyse panneau par panneau Le panneau central : représente sans retenue une vision d’horreur du champ de bataille (cadavres, entrailles bâtiments brûlés ou écroulés). II C : Analyse panneau par panneau Le panneau de droite : représente

montrer qu’il est capable de mener un peuple vers un avenir rayonnant. Il représente un homme nouveau, il est le symbole de la race aryenne, son grand projet. A gauche, on voit le Rhin, qui symbolise La grande Allemagne Le ciel est nuageux, il y a de la brume, ce qui peut peut-être évoquer la crise économique. L’aigle est représenté comme une protection divine pour les nazis et Hitler est comme un dieu qui vient sauver le peuple allemand. C’est une affiche de propagande pour un régime qui deviendra par

haute cheminée où quelques flammes veillent Rougit le plafond sombre, et, le front sur le lit, Une femme à genoux prie, et songe, et pâlit. C’est la mère. Elle est seule. Et dehors, blanc d’écume, Au ciel, aux vents, aux rocs, à la nuit, à la brume, Le sinistre Océan jette son noir sanglot. II L’homme est en mer. Depuis l’enfance matelot, Il livre au hasard sombre une rude bataille. Pluie ou bourrasque, il faut qu’il sorte, il faut qu’il aille, Car les petits enfants ont faim. Il part

professeur principal elles ont madame Johnson, elle est belle, mince, grande … Madame Johnson attend que tous les élèves soient installés et se met à expliquer le règlement et leur parlent de leurs professeurs . La journée se termine par une brume glaciale. Alyssone et Julie arrivent près de là où elles ont vu le vieil homme le matin même, il est très étrange et sa maison donne la chair de poule, mais ce soir il n'est pas là heureusement. - Haaaaaaaaaaaa ! Crient Julie et Alyssone tout

Homme et Femme contemplant la Lune, Caspar David Friedrich, 1830-1835, Berlin, huile sur toileQuand la lune apparaîtQuandla lune apparaît dans la brume des plaines, Quand l'ombre émue a l'air de retrouver la voix ,Lorsque le soir emplit de frissons et d'haleines Les pâles ténèbres des bois, Quand le boeuf rentre avec sa clochette sonore, Pareil au vieux poëte, accablé, triste et

lumière Forme : de nuit, des éléments ressortent alors qu’ils seraient passés inaperçus en plein jour. On saisit quelques aspects particuliers de la ville puis autour de Carthage : opposition terre (montagnes, banc de sables..) et mer (golfe, lac, brume, lagune..), impression d’espaces avec les pluriels, vaste horizons. Dernière phrase longue → panorama, écrin au temple d’Eschmoun, beaucoup d’éléments souvent juxtaposés. 2. Auditives Absence de bruit, la nuit, le silence qui règne, calme

faisant écho aux « malheurs nouveaux » et « inouïs », exprimés par le chœur. Mais pourquoi tant de larmes ? Elles sont certainement dût à l’évocation des « désastres meurtriers de la guerre ». Comment ne pas verser tant de larmes devant « une brume de mort » qui « s’est répondue » sur ce peuple Perses, faisant périr « toute » leur « jeunesse » ? le fait que « leur vaisseaux à triple rang de rames » et l’armée des Perses ait « péri », ainsi que la répétition de « ils ne sont plus » à la forme

plus générale qui tocuhe à la représentation même de la poésie. La femme-aimée se voit ainsi tout d'abord évoquée sous le regard pénétrant de l'autre, amenant le « honte » d'une poète qui semble là faire allusion à une sexualité impudique, la « demi-brume » se posant sur le décor achevant de le troubler plus encore. Ce poème vous montre une construction classique mais le choix des métaphores et l'emploi d'un language populaire basculent le poème dans une forme autre. La mort et l'amour se trouvent